La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 1

— sors de chez moi je ne veux plis jamais te voir tu entends, plus jamais. s'écrit il avec rage, si j'ai le malheur de te revoir un jour je ferais de ta misérable vie un enfer, tu me répugne, reprend t'il avec cette même rage et ce dégoût mêlé dans sa voix si rauque.

J'étais là en pleure, impuissante, à le supplier mais rien à faire, il refuse de m'écouter, comme s'il était sourd à toute mes supplications
comme en sommes nous arriver là.

— quand je pense t'avoir faire confiance, j'ai tout faire pour toi alors que toi tu t'amusais avec ce petit bâtard, dit il avec un rire amer, bon sang qu'est-ce que je suis con.
— j-jace je t'en prie é-é-écoute moi, je n'ai rien avoir avec tout ça, c'est u-un mensonge je te le jure mon amour, c-ces photos ne sont qu'un ramassis de mensonge je te le jure, crois moi s'il te plait. dis je en pleurant de plus belle, ma gorge était sèche, j'avais du mal à respirer, ce sentiment d'impuissance qui me serre le cœur est insupportable.
— La ferme, ferme la, crie-t-il il d'une voix tellement forte que j'en sursaute de peur. Tu  n'es qu'une salope comme tout le reste. Hurle t- il encore plus fort. Quand je pense m'être laisser attendri par tes grands yeux et tes je t'aime à la con. crache t'il avec tout le dégoût que je l'inspire.

Moi je continue à pleuré je ne sais plus quoi dire ou faire pour qu'il m'écoute juste 1 minute, il se rapproche de moi d'un pas rapide et glisse une main dans mes cheveux pour rapprocher mon visage du sien, je me retiens de crié tellement sa poigne est forte.

— Écoute moi bien, je vais sortie d'ici et à mon retour tu as intérêt à ne plus être là compris, sa voix est tellement menaçante qu'elle me fait froid dans le dos je ne reconnais plus cet homme qui quelques heures plutôt disait m'aimer. Et tu as intérêt à avoir signé ces papiers sinon je serais beaucoup moins gentil avec toi espèce de....il ne termine pas sa phrase mais il est facile de deviner ce qui allait suivre, ces yeux parlent pour lui.

Du dégoût, de la haine se lisaient facilement dans ces yeux, je fermais les miens pour échapper à cette vision qui me déchire un peu plus chaque second, pour échapper à toute cette merde qui me tombe dessus mais la réalité me rattrape bien vite quand il me lâche brusquement et commence à faire les cents pas en se passant une main dans les cheveux puis soudain il me tourne le dos et s'en va en claquant la porte, je me laisse tomber et pleure toute les larmes de mon corps, je n'arrive comprendre ce qui se passe, mon esprit à du mal à ce reconnecter à la réalité.

Pourquoi tout sa n'arrive qu'à moi hein? Qu'est-ce que j'ai faire pour mérité ça ?

Après je ne sais combien de temps à pleuré et à essayé de réfléchir je me relève en puissant dans mes dernières forces, je ne sais pas quoi faire je tourne en rond depuis plus de 15 minutes mais je ne trouve pas de solution, je me sens impuissante, faible, minable même.
Je me dirige vers la table où est posé ces fameux papier et je manque de m'effondré quand je lis en gras Demande de divorce. d'une main tremblante je saisis le stylo, en repensant à tout ce que nous avons vécu toutes ces dernières années, nos moments de joies, nos disputes, nos crises de jalousies totalement absurdes mais qui nous rapprochaient encore plus chaque fois.
Tout sa est partir en fumé parce qu'il refuse de m'écouter, sa y ai ils ont gagné, sa putain de famille a réussir à nous séparé, à cette penser j'ai un rire amer, je crois que je deviens folle.
Je me rends compte de cette évidence que je refusais de voir, il ne m'a jamais faire confiance, il a toujours préféré les croire eux.
Je porte une main tremblante sur mon ventre, qu'est ce que je vais faire, je ne sais même pas où aller. Orpheline depuis mes dix ans j'ai toujours été seul et maintenant je ne sais pas vers qui me tourné, il était tout pour moi, une main sur le front je réfléchis, il est claire qu'il ne veut plus de moi alors pourquoi s'acharner, je renifle une dernière fois de manière très peu glamour, prend mon courage à deux main et signe, je retire ma bague et la met près des papiers.
Je regarde une dernière fois cette maison qui a été mon refuse tout ce temps, les larmes inondant mon visage, je les essuie d'un geste rageur, il ne mérite même pas que je pleure pour lui, alors pourquoi j'ai cette douleur dans la poitrine hein.
J'ai l'impression d'étouffer, je fais une crise d'angoisse, je prends mon sac et sort de cette maison de malheur en courant , à peine je suis dehors que mes jambes me lâchent et je m'écroule sur cet pluie qui s'accorde si bien avec mon état.
Une voiture me fonce dessus et j'entends à peine le bruit des pneus qui s'arrêtent brusquement devant moi, tout deviens flou autour de moi, avant de sombré une pensé travers mon esprit, plus jamais je ne laisserais cet homme me fait souffrir.

Non plus jamais je ne souffrirai pour Jace Andersson, c'est terminé.