chapitre 51

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Entré dans cet endroit me fou la trouille mais j'ai besoin de voir cet homme qui a mis la vie de mes enfants en danger, cet homme mauvais qui m'a privé de ce bonheur d'être mère pendant tellement longtemps, ce même salopard qui a tuer mes parents par pur jalousie, chaque larme que j'ai du versé, chaque souffrance que j'ai du enduré, et jace, oh mon dieu jace qui a dû supporté cet être détestable presque toute sa vie, il aurait tout donner pour satisfait ces gens mais sa n'a jamais, non, ils en voulaient toujours plus.
— madame vous pouvez entré, me dit l'un des gardes en face de moi en me tenant la porte.
— merci, dis je en voulant pénétré dans la salle mais une main retiens mon poignet je me retourne et voir Owen qui me regarde sérieusement avec une lueur inquiète dans les yeux.
— tu es sur de toi danie?
— non, mais j'en ai besoin s'il te plait Owen.
Il souffle puis me lâche.
— tu sais qu'il ne sera pas content hein.
— je sais.
— Ok. Au moindre soucis tu cris compris.
J'hoche la tête et entre dans cette pièce froide qui me tressaillir le bruit de la porte qui ce referme ne fait que augmenter mon angoisse mais je me retiens en serrant plus fort mon sac contre moi, je prends place et attend qu'on amène mon pire cauchemar. Quand au bout de quelques minutes il se présente en face de moi je ne peux retenir un cri devant cette vu, mon dieu, quand jace m'a dire s'être occupé de lui je ne m'attendais pas à sa.
Il ne reste plus rien de l'homme respectable d'avant, il est complètement défiguré son nez complètement détruit, il lui manque des dents, il a perdu du poids à tel point qu'on voit presque ces os il lui manque quelque doigts et le milieu de sa tête semble être brûler.

Seigneur j'ai envie de vomir

qu'est ce que tu fou ici? Tu es venu me jeté ton soit disant bonheur au visage sale garce. Me crache t'il au visage la haine que je lis dans ces yeux elle part contre n'a pas changé je me retiens de pleuré pour cet homme qui ne le mérite pas, alors je lève la tête et m'arme de mon plus beau sourire.
— c'est exactement sa Peter, je suis venu pour te montré tout ce que tu aurais pu avoir si vous n'étiez pas aussi obsédé par le pouvoir, vous avez blessé l'homme que j'aime un nombre incalculable de fois mais à chaque fois il s'est relevé plus fort que jamais vous savez pourquoi ? Eh bien simplement parce qu'il n'a jamais été seul alors que vous, vous êtes seul et plus misérable que jamais, dites moi un peu où est votre femme hein? Vos nombreuses maitresses? Eh bien nul part parce qu'elles vous ont toutes abandonné et vous le méritez bien, et vous savez quoi? Même si je le vois bien que jace en souffre encore j'espère que vous allez pourri ici pour tout ce que vous nous avez faire. Je vous souhaite bonne chance pour votre survie très cher beau papa et sachez que je vais rendre jace très heureux, à dieu.
Puis je récupère mon sac et me dirige vers la sortie sous ces cris de rages.
— ça va? Me demande Owen un peu inquiet de me voir si pâle les larmes pleins les yeux.
— o-oui, je veux juste retrouver ma famille, merci Owen. je quitte cet endroit de malheur sans un regard en arrière plus légère que jamais.

— je suis rentré, dis je depuis le seuil de la porte en retirant mes chaussures, la maison est étrangement calme, je regarde un peu partout mais personne je m'inquiète un peu jusqu'à ce que le petit cri de Gabriel me provient d'en haut, je suis le bruit et me retrouve devant une pièce entrouverte, je vois mes amours avec de la peinture à la main qui rigolent.
— non non ne le met pas dans la bouche gabi, mélodie lâche sa ma puce, oh mince mais comment faire votre mère. La voix de jace se fait presque désespéré ce qui me faire rire, j'entre dans la pièce et mes petits diables me repèrent aussitôt et foncent sur moi en rampants à vive allure.
— bon sang vous allez vous faire mal, dis jace en venant vers moi.
Je ris encore en les récupérant, je claque un baisé sonore sur leurs petites joues rebondir ce qui les faire rires au éclats.
— alors comme sa le grand Andersson se fait martyrisé par ces enfants d'à peine un an mais quel honte. Me moquais je avec un sourire en coin qui se transforme en fou rire face à son regard noir sur nous.
— ah ah très drôle, je suis sur que tu les as monté contre moi, dit il en boudant on dirait tellement à notre fils quand il fait cette tête, comme pour le contredire mélodie tend les mains vers lui avec des yeux doux qui le fait craquer.
— tu vois, elle au moins m'aime encore dans cette maison, dit il en me tirant la langue, et je ris encore plus fort en serrant Gabriel encore plus fort en respirant son doux parfum de bébé.

Quand plus tard les jumeaux dorment enfin jace vient me retrouver dans notre chambre et m'enlace tendrement, je lâche un soupire de plaisir et me calle plus confortablement contre lui.
— ça va toi? Me demande s'il, je sais qu'il est au courant de ma visite à la prison alors autant mettre tout à plat.
— tu es fâché? Demandais je d'une petite voix, il semble réfléchir avant de poussé un soupir.
— non, je suppose que tu avais besoin de sa pour tourné la page, sa t'a faire du bien?
— oui, beaucoup.
— alors c'est tout ce qui conte, alors maintenant on peu vraiment passé à autre chose.
— oui. Oh jace je t'aime tu sais.
— moi qui pensais qu'il y'avait que mélodie qui m'aimait dans cette maison, dit il et j'éclate de rire.
— idiot.. Dis en l'embrassant
— je t'aime aussi cara, je t'ai aimé depuis le premier jour que nos regards se sont croisé et je t'aimerai jusqu'à mon dernier souffle. Me lance t'il alors qu'une larme de bonheur glisse de mon œil, je l'embrasse avec tout l'amour que je ne peux traduire avec des mots.

Oui nous avons réussir à reconstruire ce bonheur qui nous a été voler et il est encore plus fort qu'avant, si je devais refait des choix dans ma vie alors je ne changerais rien parce que mon bonheur est parfait comme il est.

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                   FIN

La Vengeance De Jace AnderssonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant