J'ai entendu des voix, les gens criaient de bonheur. Clarke est descendu, hurlant le contraire et j'ai suivi Octavia. Elle s'est arrêtée, fixant celui qui parlait à Clarke.
-Bellamy !
Je ne m'attendais pas à ça. Il était là. Octavia a couru dans ses bras, le serrant de toutes ses forces. J'ai souri en voyant ça, me figeant en reconnaissant la personne devant eux. John. Mon frère. Je ne l'avais pas vu depuis presque deux ans. Depuis qu'il a été enfermer. Il ne m'a pas vu, et je me suis mélangée à la foule.
-C'est Octavia Blake ! Celle qui a vécu dans un placard !
J'ai regardé Octavia, la voyant devenir folle de rage. Bellamy l'a retenu, me voyant. Ils étaient les seuls à savoir pour John et moi. La règle était clair sur l'arche, un enfant par famille, les femmes devaient avorter lorsqu'elles retombaient enceinte. Quand Bellamy m'a vu, il a voulu faire signe à mon frère mais j'ai fais non de la tête.
-Si on ouvre la porte, on risque de tous mourir.
-Si on reste ici aussi !Bellamy a regarder tout le monde. Il était habiller comme un garde. Il ne devrait pas. Il avait les cheveux plus long qu'avant. Son regard noir était toujours aussi intense. Il a fusillé Clarke du regard, ouvrant la porte en chuchotant quelque chose à sa sœur. Cette dernière a sourit, et la porte s'est ouverte. Par réflexe, tout le monde a retenu sa respiration, avant de voir que rien ne se passait. Octavia a avancer doucement, posant ses pieds sur le sol, ce mettant à rire.
-ON EST DE RETOUR SALOPE !
Tout le monde a rit avant de se mettre à courir dehors. Je suis restée là, au milieu du vaisseau, à sourire en voyant mon frère sourire. Il ne m'avait pas vu. Je me suis approchée de Bellamy qui m'a regardé.
-Tu ne lui a pas dis ?
-Je ne l'ai pas vu depuis presque 2 ans, je n'étais pas censée être là.
-Moi non plus.Il m'a sourit, me prenant dans ses bras. Un vieux réflexe d'avant tout ça. J'ai souri, sortant, découvrant l'air frais, le vrai. Celui qu'on a plus envie de quitter. Celui de la terre. Celui de chez nous. Clarke est descendue à côté de moi, admirant la forêt devant nous. C'était beau. Vert. Il n'y avait que ça, à perte de vue. Octavia est arrivée vers moi, me prenant la main, me faisant courir avec elle. On se sentait libre. Une liberté qu'on avait plus depuis longtemps pour la plupart. Je me suis arrêtée en voyant mon frère me fixer. Il a sourit, courant vers moi, s'arrêtant devant moi. Il était plus grand que moi, pas beaucoup, à peine une tête. On avait les mêmes yeux, ceux de notre père. Il m'a sourit, me prenant contre lui, me serrant de toutes ses forces.
-Anaëlle !
-John.Il m'a lâché, me fixant en levant les sourcils. J'ai ri en me souvenant.
-Murphy, excuse.
-T'as perdu l'habitude, je t'en veux pas.
-Tu n'as jamais aimé ton prénom, j'aurais du m'en souvenir, surtout en ce moment.J'ai passé ma main sur sa joue, embrassant cette dernière. Il a sourit, passant sa main dans mes cheveux. Moins long qu'avant, il m'arrivait aux épaules. Il a regardé la navette, me fixant.
-Comment t'es arrivée ici ?
-J'étais au blocage moi aussi, mais que depuis 4 mois.
-Quoi ?
-Je voulais te voir.
-Anaëlle..
-J'aurais du te protéger, je ne l'ai pas fait.
-Tu n'as rien fait, son père si.Il a fixé Wells derrière nous, qui parlait avec Clarke. Bellamy nous a regarder et Murphy a lâché ma main, allant vers Wells. Il l'a toujours détester, surtout depuis qu'on a vu nos parents se faire expulser, tout les deux, ensembles. J'ai couru derrière Murphy, le voyant provoquer Wells. Ce dernier était déjà au sol. Clarke fixait mon frère. Un garçon s'est interposé avant que je le fasse, sautant de la navette. Octavia à côté de moi l'a dévoré des yeux, me faisant rire.
-Il est déjà au sol, ca suffit.
Murphy a regarder Wells, et je me suis avancée vers lui, posant ma main sur son torse. Le garçon m'a regardé, me fixant moi et Murphy, l'un après l'autre.
-T'es trop vieille pour être là toi.
-Finn, laisse la.Clarke est passé à côté de moi, relevant Wells, partant avec lui. Bellamy m'a regardé et Murphy est parti. J'ai fixé Finn qui s'est rapproché de moi. J'ai reculé par réflexe, voyant Clarke établir un groupe. Octavia était avec eux. Bellamy lui a fait signe, et Finn les a rejoins, partant. Bellamy est venu à côté de moi.
-Ils savent pas ce que c'est d'avoir des frères ou des sœurs, ils peuvent pas comprendre.
-Peut-être, mais eux ils ont encore leur parents.J'ai tourné les talons, rentrant dans le vaisseau. La nuit allait tomber. Et on avait aucun moyen de savoir ou on pouvait trouver de la nourriture. On allait devoir se débrouiller tout seul. Et ce putain de bracelet pèse plus lourd que moi. J'ai voulu l'arracher, prenant un morceaux de fer qui traînait. J'ai remarqué des petites pointes, enfoncer dans mon bras, dans mon sang. Ce n'était pas normale. Même ici on était encore des criminels. Je suis ressortie de la navette, trouvant Bellamy avec Murphy et d'autres garçons. Tout le monde était revenu. Et tout le monde chuchotait quand je marchais entre eux. Je me suis arrêtée plus loin, fixant l'horizon. La forêt.
-Faut trouver de l'eau, et de quoi se nourrir.
-Les autres y sont pas partis?
-Si, mais on auras le temps de mourir avant qu'ils reviennent.J'ai regardé Bellamy qui parlait avec Wells. Je le croyais parti avec Clarke. Il est allée derrière la navette, et j'ai remarqué qu'il boitait. Murphy est revenu, et je suis allée vers Bellamy.
-On doit avoir des sacs, des affaires de survies dans la navette.
-Trouve-les.
-Tu vas rester là a attendre ?
-Non, je vais trouver un moyen de vous enlever ça.Il a pris mon poignet ou se trouvait le bracelet électronique, et je l'ai regardé sans comprendre. Il est parti avec mon frère, et je suis allée dans la navette, trouvant des vieilles malles, pleine de sacs, de couvertures, de tentes, de gourdes. Les gourdes étaient vides. J'ai sorti tout ce que je trouvais, le répartissant par terre. J'ai entendu Wells arrivé. Il s'est arrêté en me voyant, me contournant pour essayer d'atteindre la radio.
-Elle est morte.
-Je peux essayer de la réparer.
-T'as été vérifier si les antennes étaient toujours en place ?Il m'a regardé, repartant. J'ai ri, voyant Bellamy et mon frère arrivé, pince en main tout les deux. Murphy n'avait plus son bracelet. Je me suis levée, regardant son poignet. Des marques de piqûres. Wells est arrivé, fixant le bracelet non attacher.
-Qu'est-ce que tu as fais ?
-Je l'ai enlevé !
-Le bracelet permet de transmettre tes signes vitaux à l'Arche, ils vont croire que tu es mort, ta famille va le croire.
-J'ai plus de famille, personne se soucie de moi.Murphy a sourit, et je l'ai fixé, lui rappelant que c'était faux. Wells a regarder Bellamy.
-Ils penseront que la terre n'est pas viable.
-Réfléchis, tu crois qu'ils vont nous faire quoi quand ils viendront ? On redeviendras des criminels, alors que toi tu vivras ta petite vie tranquille.J'ai regardé Wells qui a voulu contredire Bellamy mais ce dernier m'avait déjà attraper le poignet. Il a mis sa pince sur mon bracelet, le détachant. Bellamy m'a sourit, tendant sa pince à Wells. Il a fait non de la tête, et j'ai vu que les autres ramenait du bois. Certains essayait de faire un feu. La nuit tombait presque. Bellamy a regarder derrière moi.
-On a quoi alors ?
-Plusieurs tentes, des couvertures, des sacs, des gourdes, des rations de survies, des lampes, des couteaux aussi, et des vêtements.
-D'accord, on attends le retour des autres et on réparties les affaires équitablement pour tout le monde.
-Certains peuvent dormir ici, y auras pas de tente pour tout le monde.
-On se mets à plusieurs dedans.J'ai regardé Murphy qui me fixait, et j'ai entendu des cris, sortant dehors. J'ai aperçu les cheveux blond de Clarke, voyant Octavia, en pleure. Bellamy a couru vers elle, et je les ai suivis. Un personne manquait. Un garçon parti avec eux. Je n'ai pas eu besoin d'écouter pour comprendre. On était pas seuls ici, d'autres sont là, les survivants de la guerre.
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we are the 100
Fiksi Ilmiah*histoire complètement inspirer de la série the 100* Le vaisseau venait de heurter quelque chose. J'ai regardé à côté de moi, voyant Octavia, le sourire aux lèvres. Elle s'est détachée, marchant vers la porte qui se trouvai en dessous. On était 100...