Point de vue Anaëlle Murphy
Je marchais depuis des heures, il faisait presque nuit. Je me suis arrêtée au bord d'un fossé, voyant la forêt, toujours à perte de vue. Je n'avais pas trouvé mon frère. J'avais trouvé des traces de sang, mais ca ne menait à rien. J'ai allumé ma lampe torche, regardant au dessus de moi. J'ai planté ma lance, m'asseyant contre l'arbre, mangeant quelques fruits. Il commençait à faire froid. J'ai voulu me relever, mais j'ai entendu un souffle, des pas. Je me suis figée, prenant ma lance. Je me suis relevée, pointant la lampe devant moi. Il n'y avait rien. J'ai reculé, me retrouvant coincer au dessus du fossé. J'ai regardé devant moi, voyant un couteau s'enfoncer dans ma jambe. J'ai hurlé, tombant en arrière. Ma tête à heurter quelque chose, et j'ai entendu le même bruit. Comme une trompe, comme un avertissement. J'ai voulu me relever, mais je me suis évanouie. Quand je me suis réveillée, j'ai ouvert les yeux d'un coup, voulant me relever mais je n'y arrivais pas. Le couteau était en plein dans ma cuisse. J'ai voulu attraper ma lance mais elle était tombée plus loin. J'avais toujours mon sac sur moi. J'ai posé ma main sur le couteau, entendant un bruit. Je me suis figée, voyant une silhouette sortir d'un buisson, marchant vers moi. J'ai reculé par réflexe, me heurtant à un arbre. Je me suis stoppé, voyant que c'était un homme. Un terrien. Le visage plein de peinture, ou de boue. Il avait une hache en main. Une sorte d'écharpe couvrait totalement son cou et presque sa bouche. Il avait les cheveux en bataille, très court. J'ai levé ma main par réflexe, le voyant qui continuait de s'approcher.
-Non ! Laisse moi ! Non !
Il n'a pas répondu, gardant son regard fixer sur mes yeux. Il a regarder ma cuisse, attrapant mon bras, me jetant sur son épaule en tenant ma cuisse. Je me suis débattue, frappant son dos, mais c'était comme ci je ne lui faisais rien. Ou qu'il avait une triple couche de vêtement.
-Laisse moi !
Il a continué à marcher, et il s'est baissé d'un coup. J'ai voulu hurler mais il a posé sa main devant ma bouche, me montrant d'autres terriens courir plus loin. Je me suis figée, m'accrochant au bras de l'homme, de peur qu'il me force à aller vers eux. Il m'a serré contre lui, et on a repris notre route vers je ne sais ou.
Quand je me suis réveillée, j'ai senti une douleur à la tête. J'ai passé ma main dessus, sentant une bosse. Je me suis relevée, voyant une ombre à côté de moi. J'ai voulu attraper mon sac mais il n'était pas là. Il était plus loin. J'ai tendu le bras, poussant ce qui se trouvait à côté de moi. Ca a grogner, et j'ai reconnu les cheveux en m'approchant. J'ai attrapé son visage, la forçant à se réveiller, voyant son visage couper.-Octavia !
J'ai presque crié, la faisant sursauter. Elle a ouvert les yeux, étonnée que je sois là. Elle n'a d'abord pas compris, puis elle m'a ensuite pris dans ses bras. J'ai souri, regardant son visage.
-Qu'est-ce que tu fais là ?
-Je te cherchais, et j'ai entendu les terriens.
-Moi aussi.J'ai souri, regardant ma cuisse. Le couteau était toujours là. Octavia a regarder, et j'ai gémis lorsqu'elle a voulu bouger le couteau, la stoppant. Elle a voulu se lever mais son genou n'était pas en très bonne état. J'ai regardé devant nous, voyant des ombres. Un feu. Il y avait un feu. Ils parlaient. Ils étaient plusieurs. Une langue que je ne connaissais pas. Octavia s'est collée au mur, m'attrapant le bras quand j'ai vu les silhouettes grossir, venir vers nous. J'ai tout de suite reconnu celui qui m'avait porter dans la forêt, voyant l'autre. Ils étaient aussi grands l'un que l'autre, mais l'autre n'avait pas de cheveux, et son visage était moins maquiller. Ils se sont regardés en voyant qu'on était réveiller, et celui qui m'avait porter s'est accroupi avec un bol dans la main. L'autre tenait une sorte d'épée bouillante. Il a attrapé Octavia mais j'ai levé ma jambe, le frappant à la joue.
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we are the 100
Bilim Kurgu*histoire complètement inspirer de la série the 100* Le vaisseau venait de heurter quelque chose. J'ai regardé à côté de moi, voyant Octavia, le sourire aux lèvres. Elle s'est détachée, marchant vers la porte qui se trouvai en dessous. On était 100...