Bonjour tout le monde.
Tout d'abord merci à tous pour vos votes et commentaires sur ma dernière histoire : Mais je t'aime toujours.
Je suis de retour avec une histoire Malec. Univers Shadowhunters modifié.
J'utilise les noms et un tout petit peu l'intrigue de la série télévisée Shadowhunters mais elle n'a rien à voir avec la série. Certaines parties y seront dédiées où vous pourrez y lire de petites références.
⚠ Petite précision avant de vous lancer dans cette nouvelle histoire.
*Alexander n'est pas un Lightwood.
*Début difficile pour notre couple. (J'ai remarqué que mes histoires commencent toujours mal pour notre couple... Pourquoi ? Bien, je ne sais pas) Enfin si je le sais, cela vient de mon cerveau tordu.
*Des avertissements seront ajoutés au début de chaque chapitre si cela est nécessaire.
*Toutes scènes de violences ou scènes à contenu sexuel vous seront mentionnées ou directement avant les scènes comme je l'ai fait sur ma dernière histoire (Mais je t'aime toujours). Pour que vous puissiez passer la scène si vous n'aimez pas le sexe entre hommes.
*La mise à jour des chapitres se fera aléatoirement, je ne sais pas la fréquence (une fois ou deux par semaine peut-être) Soyez juste patient avec moi s'il vous plaît.
Le chapitre suivant est prêt et sera bientôt à votre disposition.
Bonne lecture.
Chapitre 1 : Le commencement.
Le jeune Khorne a dix ans quand tout ce qu'il a connu de sa toute petite vie s'écroule. Tout ce qu'il ressent à ce moment-là, n'est rien que de la douleur quand il regarde sa propre mère. La femme qu'il aime tant, soufflé le nom de l'ange pour illuminer et lever son poignard au-dessus de sa poitrine pour lui retirer la vie. Alors, il fait cette chose qui a amené sa mère à vouloir le tuer... Cette chose qui peut le sauver et qui peut le garder en vie. Il tend son bras qui s'illumine d'éclairs de lumière orange et rouge, avant de poser sa petite main sur la poitrine de sa mère. C'est ce qu'il a fait pour arrêter l'homme qui frappait sa mère, mais il ne savait pas qu'il pouvait faire ça, il n'a pas fait exprès.
Il le savait, le sentait qu'il était différent. Mais il ne savait pas qu'il était un sorcier, sa magie s'est réveillée à cause de la peur. Cet homme qu'il voyait comme un père, il a tué celui qui était censé le protéger.
Il regarde ses beaux yeux bleus s'éteindre, le couteau ainsi que le corps sans vie de sa mère entrent en collision avec sa poitrine. La douleur du couteau s'enfonçant dans son flanc, n'est rien comparée à celle de son cœur. Les larmes viennent, les cris et les sanglots sortent et rebondissent horriblement sur les murs de la pièce.
Quatre jours il a fallu à Khorne pour quitter le corps sans vie de sa mère et pour l'enterrer derrière leur petite cabane. Il ne soigne pas la blessure de son flanc, il ne sait pas comment faire.
Deux semaines, il a erré sans but avant d'être recueilli et sauvé de la rue, du froid et de la faim par un couple de sorciers.
Les sorciers changent son nom, Khorne devient Alexander Loss-Fell. Les sorciers prennent soin de lui, ils le soignent, le nourrissent, le berce quand il pleure la nuit.
Ils lui apprennent la magie et tout ce qu'ils savent. Puis avant tout, les sorciers lui donnent un toit, de l'affection, il se sent en sécurité et aime être avec eux. Il rencontre plusieurs fois des gens avec des tatouages appelés Néphilims, le peuple de sa mère. Ses gens venaient les voir pour avoir de l'aide pour des sorts, des invocations ou des potions.
Ils lui expliquent le sens de ses tatouages qui ornent leurs bras et leurs cous. Il les avait déjà vus sur sa mère, mais elle ne lui a jamais dit ce que signifiaient ses tatouages. Des Néphilims, des personnes au sang d'anges avec des runes. Il trouve les runes tellement belles, mais il prend peur quand ils lui disent qu'ils sont là pour éliminer les démons qui causent le chaos, ils protègent les terrestres de ce monde qui leur est inconnu. Ils le rassurent que personne ne lui fera de mal.
La sorcière à la peau bleue, qu'il considère comme sa mère. Elle est très belle, bienveillante et douce, il l'aime tellement. Elle lui apprend des sorts et l'invocation d'objets, elle lui apprend à faire des portails. Il s'habitue à cette vie avec eux et il ne l'échangerait pour rien au monde.
Il a l'apparence du jeune homme de vingt ans, bien qu'il vienne de fêter ses deux cents ans avec ses parents adoptifs, il se souvient du visage de sa mère, mais la douleur est moindre.
Alexander à deux cents ans, il voit la vie, le monde changer et évoluer du haut du toit de l'appartement de Ragnor et de Catarina sur les terres de Londres. Regardant le flux des voitures, les bruits des klaxons et la population s'agitaient. Il entend les bruits des êtres sombres, les rumeurs, les non-dits... les bruits du peuple de sa défunte mère se rebellent contre leur peuple. Il a bien évidemment le besoin de protéger le peuple de l'ange, même s'il ne doit pas. Pas après ce que sa propre mère lui a fait, mais dans son cœur, elle sera toujours sa mère, celle qui lui a donné naissance. Autant qu'il la déteste, autant il l'a aimé avant qu'elle ne se retourne contre lui.
Alors quand un chasseur d'ombre renégat s'attaque à son peuple derrière leur dos, il n'a pas le choix que de choisir les siens.
Il est là au premier soulèvement. Il est là ce jour-là dans la salle des accords quand Valentin Morgenstern attaque son peuple pour voler la coupe mortelle. Il a perdu bon nombre de son peuple ce jour-là. Catarina et Ragnor n'étaient pas là, c'est pourquoi, il se retrouvait là pour les représenter, avec l'espoir de signer de nouveaux accords. Mais cela n'arrive pas, il a été sauvé par un autre sorcier... bien qu'il n'ait pu l'apercevoir que quelques secondes, il a senti que ce sorcier n'allait pas lui rester inconnu bien longtemps.
Note : J'espère que ce petit prologue vous a plu ? Comme d'habitude, dites-moi ce que vous en pensez, s'il vous plaît. Merci à toutes celles et ceux qui sont présents. Le prochain chapitre arrivera assez rapidement.
Voilà à bientôt.
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L'enfer a un nom
FanfictionIl le savait, le sentait qu'il était différent... La douleur du couteau s'enfonçant dans son flan, n'est rien comparé à celle de son cœur. Les larmes viennent, les cris et les sanglots sortent, rebondissant horriblement sur les murs de la pièce. L...