Connor

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Elle s'était enfin calmée cette furie. J'ai bien cru que j'allais péter un câble, la situation était déjà assez houleuse. C'est vrai que j'ai l'habitude des scandales, mais là c'était gros. J'embarquais une personne lambda dans un drama pour un temps! Mais vu mon état émotionnel chelou, c'était la chose la plus tendue qui m'arrivait. La presse et le net se sont emparés de cette situation, je me demandais bien si Liam allait pouvoir tout gérer. De mon côté j'ai du éteindre mon téléphone un moment afin de pouvoir fuir les tonnes d'appels et de messages que je recevais par seconde. Sav' était bizarrement calme, mais son visage montrait une expression exaspérée. La situation était quand même assez tendu...

Nous étions assis sur le lit, côte à côte cigarette en main. On se la passait chacun à son tour. Nous ne parlions pas, nous fumions silencieusement en projetant la fumé partout dans la pièce. On aurait dis deux ados qui essayaient de jouer aux ''junkies''.
- Dis, ça fait quoi d'être connu? snif !
Je levai les épaules pour répondre. Je ne pouvais rien lui garantir, je ne pouvais rien lui dire, je n'avais pas envie de faire de fausses promesses. Même moi la célébrité m'est tombée dessus pendant que je rêvais. Tout ce que je savais était que Liam, allait essayer de tout arranger:
- C'est comme avoir des caméras partout. Lui dis-je.

Le silence était la pire des pipelettes à cet instant, seule le bruit de ses reniflements, de nos souffles relâchant de la fumée le contenait. Sav' s'allongea sur le lit en me passant la cigarette. Je tirai une dernière fois dessus, avant d'éteindre notre cigarette sur la table basse.
Nos épaules se touchèrent, le long de nos bras se touchèrent, la peau moite, mon cœur et la tête affolés :
- Je crois que je vais devenir folle...
- Sérieux? Tu ne l'étais déjà pas? Parce que moi je...
- La ferme!
Elle soupira bruyamment avant de glousser un rire discret. Elle riait et s'était déjà calmée, je crois qu'on avance bien pour le moment. On est plutôt bien là. Je restai quand même sur mes gardes, on ne savait jamais avec elle:
- Désolée pour tout, je n'ai pas arrêté de me comporter comme une peste depuis ce matin, alors que tu m'as accueillir chez toi gentillement.
Qu'est-ce qu'elle voulait? J'étais un gentil garçon bien élevé. Mais le mot ''peste'' c'était peu dire, elle se comportait comme une furie, une folle, ça elle l'avait au moins dis!
Elle s'excusait, elle s'excusait, c'était comme essayer de deviner une forme dans le noire. Depuis ce matin, elle passait d'une humeur à une autre. C'est la chose la plus inattendu venant de Sav', des excuses assez sincères... Tellement son changement de comportement me surprenait, je n'avais pas vraiment de répondant.:
- C'est cool! Répondis-je comme un idiot.

Elle ne dit rien, elle se tourna en me faisant dos. Je cru même entendre, un ''merci'' très subtile de sa bouche. La voir en lingerie, était un supplice pour mon membre depuis ce matin. Comme si ça ne suffisait pas, elle s'était retourner dans une pose assez aguicheuse pour moi. Nous sommes dans un lit très peu vêtu et Sav' me tournait le dos, enfin pour ne pas dire ''me donnait le cul''. Mon corps réagissait tout seul, avant de m'en rendre compte, ma main était déjà sous sa poitrine et mon corps contre le sien.

Ma tête tremblait, je ne réfléchissait plus du tout. J'avais envie d'une seule chose en ce moment, je désirais la femme collée contre moi. Je la serrai contre moi un peu plus, à mon grand étonnement son corps réagit aussi. Elle se colla aussi un peu plus à moi. Elle bougeait son bassin contre mon entre-jambes sensuellement. J'attrapai son sein dans ma main, puis je grognai dans son cou. Elle étouffa un soupire avant de poser sa main sur la mienne qui serrait son sein. Je commençai par déposer de petit baiser sur son cou, puis je passai ma langue le long de son cou jusqu'au milieu de son dos. Je voyais ses cheveux se dresser sur sa nuque, elle bougeait de façon langoureuse sur moi.

Je me redressai sur mon coude, puis passai ma main sous son soutient gorge. Mes doigts heurtèrent immédiatement ses tétons qui pointaient d'excitation. Je les pinçeai délicatement.
La manière dont son corps réagissait, me donnait une gaule d'enfer. Plus je la touchait, plus je voulais la posséder. L'avoir pour moi seule. Je ne tenais plus vraiment en place je me redressai complètement et la tournai sur le dos. J'étais sur elle, je pouvais sonder son regard profond et troublé. J'attendais son approbation avant de continuer, cette nuit passée avec elle m'a permis de voir qu'elle était bien plus qu'une femme de nuit. Elle méritait tout le respect que toute femme mérite en ce monde. Sa respiration était saccadée, ses petites mains était sur mes bras. Elle les remontèrent jusqu'au niveau de mes épaules et m'attira à elle. Nos visages étaient proche l'un de l'autre. Je pouvais sentir son souffle chaud contre ma face, j'avais envie d'elle. J'avais envie de passer toute ma journée à lui faire l'amour putain! Je voudrais lui faire l'amour partout, dans toutes les pièces de cette maison. Dans n'importe qu'elle position. Je veux l'entendre gémir, je veux nous voir trembler d'excitation et haletant le corps en sueur.

Sans plus tarder, je l'embrassai bestialement. Nos langues s'entrelacèrent vigoureusement, Sav' agrippa mes cheveux en m'enlaçant avec ses jambes par ma hanche. Je passai mes mains de sa taille à ses jambes fines, puis de ses jambes à ses fesses. Je les pressai fermement, puis elle s'arc-bouta dans un soupire. J'en profitai pour lui retirer sa petite culotte avant de m'allonger sur elle. Elle était légèrement tremblante, ses petites mains passèrent de mes épaules à mon dos puis sur mes fesses. Je me pressai contre elle, j'avais tellement envie d'elle, mais je voulais avant tout qu'elle me le dise d'elle même.
Je l'embrassai le cou avec ma langue jusqu'au milieu de son ventre.

Je me dirigeai vers son intimité, avec ma langue. Ma tête était entre son entre-jambes et je pouvais voir son visage remplie de désir, me supplier de lui procurer du plaisir. Alors, je passai ma langue sur la feinte de son sexe, avant de bien l'écarter. Son clitoris était déjà gonflé d'excitation. Elle aggripa mes cheveux en instant et ma langue lui faisais déjà des gâteries, je l'enfonceai comme je pouvais dans son intimité humide. Sav' gémissait de plaisir, elle tremblait et respirait bruyamment, j'étais encore plus excité, et dans mon pantalon c'était de plus en plus étroit. Je retirai ma langue langoureusement de son sein, pour croiser son regard. Je passais mon visage sur sa cuise, en laissant de léger baisers :
- T'en veux plus? Je grognais en lui demandant cela.
Elle secoua la tête pour répondre, alors j'introduis deux doigts en elle, en la fixant dans les yeux, s'arc-bouter puis retenir un gémissant:
- T'en veux plus? Je veux t'entendre me le dire...
- J'veux que tu me fasses l'amour...

Elle finit à peine de sursurer ses mots, que je la voyait déjà baisser mon pantalon. Je la repoussai sur le lit, en l'immobilisant dessus, ses bras au dessus de sa tête, nos mains entrelacés, ses yeux plongés dans les miens. Je la pénétrai doucement, pendant que sa petite bouche dessinait un petit rond. Elle était étroite et étonnamment souple, je bougeais mon basin de plus en vite. Son regard était avide et ses jambes entouraient mon bassin. Plus je me mouvais en elle, plus je la sentait étroite. Ses mains se détachèrent de mon emprise puis attirèrent rapidement ma bouche à la sienne.

Nos langues se battaient en même temps que nos souffles saccadés. Bientôt, je sentis ses griffes sur mon dos et tout son corps qui tremblait. Je me redressai légèrement pour mieux croiser son regard:
- Pu...mmm...putain! Grogna-t-elle péniblement entre deux, de mes coups de reins.
Je commençais déjà par sentir tout mon corps en ébullition. J'intensifieai mes coups de reins, puis avant de me répandre en elle je la serrai fort contre moi en soupirant. Son intimité se reserra un peu plus autour de mon membre.

Nous restions ainsi collés, haletant, nos corps suant et tremblant. Je me relevai pour m'allonger doucement à ses côtés, puis elle me fit dos sans mots dire. Je restai observer son dos, sans m'approcher, sans lui dire quelque chose. Ses actes parlaient tout seul, ils criaient tous : '' laisse moi un moment".
Vous vous demandez sûrement, comment je devrais réagir maintenant. On venait de faire l'amour, je suis censé lui dire un truc réconfortant? Comment on s'y prend? Je n'ai jamais fais ça moi...
Mais je ne voulais pas de distance entre elle et moi, tout sauf ça. Alors je lui ai sortis le truc le plus débile qu'un taré comme moi puisse dire à une femme comme Sav':
- Tu regrettes?
Elle voulu se lever et je la collai contre moi. Mon corps agissait tout seul, je ne sentais plus du tout mon cerveau:
- Je ne sais pas. Dit-elle calmement.
- Moi non.

Et dans ma tête, il y avait une voix qui me disait à ce moment '' bien jouer Connor''. Est-ce que c'était Dieu qui me parlait?
Non je je crois pas, surtout pas après ce qu'on venait de faire...
Je crois, que j'aime bien cette fille. Et qu'elle n'en a rien à foutre de moi. C'est bien la première fois, qu'une fille le donnait tant de peine.

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J'espère que tout le monde va bien. 🌹
Profitons bien des vacances en portant nos masques bien-sûr et en prenant soin de nous. 😘

Pardon pour le retard, j'espère que le chapitre vous plaira.

Merci pour votre soutien, que Dieu vous garde.
Bonne lecture à vous. 💜
Emmanuella GNANSOUNOU.
💋

Intagram: @bigheart_bigbody.
Merci de me rejoindre aussi là-bas, ça fait plaisir, et ça donne de la force. 🙏💜

Nigth-HawkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant