Chapitre 11 : retour dans le temps

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Appartement des Daunier, Sète 

William était sur le parking devant son immeuble. Le docteur prit sa carte et ouvrit la porte, il vérifiera la boite aux lettre grognant car il avait une facture d'électricité et les impôts a payé. Lui qui espérait ne plus avoir d'impôt grâce a un mariage avec une flic et bah non. Quelle naïveté ! Il prit les enveloppes et fit tomber un magasine de chaussure. Le chirurgien sourit. Encore un truc pour sa femme. Les chaussures et Aurore, des âmes sœur, William était presque jaloux. La moitié de l'armoire était réservé pour madame et ses chaussures ... Oh lala la vie de couple...  Il monta les escaliers et entra dans l'appart. Il vit Manon arrivait vars lui avec un nez aussi gros que son cv. 

- papa j'ai besoin d'aide...maronna sa fille en se tenant le nez, l'air blasé. Son père s'approcha de sa progéniture, il ouvra sa sacoche, pour prendre sa loupe. 

- il n'est pas cassé, sa fille soupira de soulagement, mais l'os principal c'est déplacé il faut que que je le remettre 

- HEIN ? me remettre le nez mais tu es sérieux ? 

- oui oui sinon il va prendre a air penché mais tes cartilages sont encore chaud donc je peux encore déplacer

- hum ok ...

- tu n'as pas confiance dans ton propre père c'est ça ? William fait une mine faussement triste 

- si si 

- mais comment tu t'es fais ça...

- je me suis pris une porte ...

- une porte ? ici ?

- oui je voulais sortir de la chambre mais maman est arrivé et je ne suis pris la porte...

- quelle brute celle la... William maronna 

- je vais lui dire attention ! sa fille rigola 

- va y je t'en pris.. peut être que ta mère pourra enfin m'adresser la parole 

- oh....Manon ne savait pas si elle devait lui parlé de l'appel,

- quoi ? elle t'as dit quelque chose ? 

- euh, son père lui pris ses mains 

- dis moi, je peux tout attendre.

- non rien.

-Manon, William savait très bien que sa fille lui mentait, dis moi si ta mère ta dis quelque chose,

Sa fille hésite ... 

Commissariat , Sète 

Aurore se trouvait devant la machine de café, perdue dans ses pensées. La belle flic sursauta quand mon portable sonna, avec un nom sur l'écran: la bedoche. Aurore jura. Déjà la journée était compliqué voila que la belle mère se ramène. Elle ne voulait pas décrocher car elle le sentait, elle avait se faire engeler. Comme d'habitude. Mais si elle décrocha pas, sa meilleure ennemie allait se plaindre a son fils , qui allait défoncer aurore par derrière. Elle décrocha

- allo ? demanda Aurore en essayant d'être sympathique 

- ah c'est pas trop tot ! Répondit sa belle mère avec ton méprisable, j'essaie de t'appeler depuis ce matin ! Aurore leva la yeux, deja a se pleindre...

- ben j'ai un travail..

- oui fin tu as des pauses non ? 

- oui oui, mais je l'utilise pour m'alimenter car c'est important de s'alimenter...Aurore adorait se payer la tête de sa mère...

- arrêtes de te payer ma tête ! quand je t'appelle tu me répond c'est tout ! La femme de son fils commençait a s'impatienter

- comme je vous l'ai dit je n'ai pas toujours mon téléphone sur moi, bon vous voulez quoi ? 

- pourquoi ce ton ? je n'ai pas le droit de t'appeler sans raison ? 

- il y a toujours une raison 

- pourquoi es tu toujours méchante avec moi ? je ne t'ai rien fais 

- mais bien sur... faire votre victime pour vous plaindre auprès de MON mari, et après dire que c'est de ma faute c'est votre spécialité. Mme Daunier était outré

- pardon moi faire ma victime ? et puis quoi encore, c'est pas de ma faute si MON fils s'est marié avec une dégénéré ! 

- pardon ? vous savez ce quelle vous dit la dégénéré ? 

- ne te gênes pas

- je ne vais rien dire car ca va ne retomber dessus, l'autre rigola 

- toujours se cacher derrière William ? hein je me demande ce que tu ferais sans lui...

- je me pose aussi la question 

- tu es enfin reconnaissante ! c'est pas trop tôt ! 

- non je disais ce qu'il ferait sans moi...

- toujours toi ! jamais les autres... William va le savoir ! 

- oui oui c'est ça, bon c'est pas que je m'emmerde mais j'ai des méchants a attraper ! Passer une bonne et agréable journée

- passe le bonjour a MON bébé...Aurore rigola, c'est vrai que William avait toujours la merde au c...

- oui je lui dirait quand il me fera l'amour salement entre le frigo et le micro onde, aller salut, Aurore raccrocha et poussa un long soupir. Oui elle allait se faire défoncer pas son mari, d'habitude cela ne l'a déranger pas mais bon vu qu'ils étaient en froid, ca s'annoncer compliqué pour la partie de jambe en l'air entre le miro onde et le frigo... 

Georges qui arriva et qui avait écouté toute la conversation rigola,

- alors tu racontes ta vie intime a tout le monde maintenant ? 

- non pas a tout le monde, juste a ma belle mère 

- pardon ? Georges était secoué 

- oui et elle adore ça, sa chef lui fit un clin d'œil, et parti derrière lui, Georges ne savait pas quoi dire ni quoi faire

Appartement de Eve, Sète 

    La jeune infirmière tournait en rond depuis la fin de sa garde, elle ne savait pas quoi faire de cette chemise pleine de café. Si elle a la lavait, l'odeur qu'elle aimait tant aller partir mais bon pourquoi garder une chemise pleine de café ? Elle sursauta quand elle entendit la sonnette. La belle femme se rendit donc a la porte, 

-oui ? Elle ouvrit la porte puis vis sur le palier un grand homme blond en tenue de facteur
- euh bonjour Madame, dit l'homme un peu gêné par la beauté de cette femme, j'ai un colis recommandé pour vous, Eve regarda le colis, intrigué

- merci, elle prit le colis l'air dubitative sourit a l'homme, signa le bout papier (en y laissant son numéro) et ferma la porte.  Elle posa la boite de carton sur la table. Elle prit un couteau et elle ouvrit celui ci. Dans celui-ci il y avait divers papier, article de journaux, des photo. Sur une, on pouvait lire : Nouvelle policière a Sète, ou encore une lieutenant promu capitaine dans le 15ème arrondissement de la capital, ou encore un photo de groupe en tenu de millaire sur un bateau. Elle prit cette photo, et elle vit 2 personnes qui étaient entouré en rouge. Le premier était un homme assit sur le bord d'un port bouée. Il avait les cheveux brun foncé et crépus, les yeux bruns qui pétillaient et grand sourire que Eve reconnu tout de suite. C'était William alors âgé d'une vingtaine d'année lors d'un vacation médicale auprès de la marine. Eve sourit, et en plus il avait été médecin militaire la jeune femme regarda l'autre photo, c'était la même femme que sur les autres papiers mais en plus jeune. Alors Eve réfléchi, alors il avait rencontre sa femme sur un bateau puis elle calcula, il y a 26 ans... Elle prit le bout de papier qui était collé derrière le colis, celui-ci était inscrit :

                                                   Es-tu sure de vouloir brisée ça ? 

Eve ne reconnait pas l'écriture, ce n'était pas son frère mais alors qui est ce ? 

et oui mais a qui donc appartient cette écriture ? Avez des idées ? Ecrivez-les dans les commentaires. A la prochaine pour un nouveau chapitre 





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