Alerta màfia

Chapitre 16

Un an est passé et je suis toujours ici, aucun transfert n'a été fait et je ne suis pas si sur de vouloir changer de prison.
L'année, à mon plus grand étonnement est passer vite et a été calme.
Les filles et moi sommes devenus très proche.
Rebecka ne m'a plus ennuyé.
Ma mère et mon frère vienne me rendre visite 2 fois par semaine.
Marco ne m'adresse jamais la parole mais en se moment je trouve qu'il est bizarre.
Il ne me regarde plus avec mépris.
Il porte un regard différent sur moi mais je n'arrive pas à savoir lequel.
Il a l'air moins .... méchant.

Beaucoup de choses ont changés en un an.
La nourriture est devenu meilleur.
Fini la mauvaise purée verte.
Les douche sont maintenant fille d'un côté et garçon de l'autre. Ce qui est pas pour me déplaire.
Le directeur a eu éco que certains détenus y fricotaient.
J'ai repris l'entraînement au combat avec les filles pour ne pas perdre tout se que j'ai pu apprendre durant mon séjour à la maison d'arrêt.

- Oh ! La lune m'entend ?!

Clara me fait sursauter et me sort de mes pensées.

- Quoi ? Dis-je perdu.

- Je te disais, si tu veux pas tes frites moi je te les mangent. Reprend-t-elle.

- Tu rigoles ? Je vais pas te donner mes frites ! Dis-je en enfournant une grosse bouchée dans la bouche.

Clara me regarde avec des yeux de chien battue.

- Même pas la moitié ?

- Même pas la moitié. Dis-je la bouche pleine.

- Oh non ! Par pitié ferme la bouche quand tu manges ! On a pas besoin de voir tout se qui se passe à l'intérieur ! S'exalte Elie.

Je lui lance un regard noir mélangé à de l'amusement, se qui la fait sourire.

Je continue mon plat tranquillement en écoutant Carla essayer de corrompre Adela pour qu'elle lui donne son tiramisus.
C'est pas possible, jamais elle s'arrête de manger celle là ?

La fin du repas de midi, comme depuis un an, se termine sans encombres. Et nous retournons à nos cellules.

Un peut plus tard vers 16h après être allé une bonne heure à la bibliothèque, je rejoints les filles dans la cours.
On discute de tout et de rien, de nos voisins de cellules, de qui est-ce qu'on apprécie et qui on aime pas, de la nouvelles nourriture qui est à tomber par terre ... etc

Comme tout les jours mon regard prend la même direction.
Ma tête fait un 160 degrés vers la droite et mon regard se pose automatiquement sur Marco qui est entrain de faire son sport quotidien.
Il est entrain d'entraîner la fille qui est toujours avec eux et qui d'après les filles s'appelle Lucia.
Elle lui envoie des coups qu'il évite facilement puis c'est à son tour à lui de lui en mettre.
Elle se débrouille bien, elle esquive tout.
Mais je doute qu'il ai mit toute sa force.
Je l'ai déjà vu s'entraîner avec un de ses gars et c'était bien plus violent. Tout les deux se prenaient des coups mutuellement jusqu'à en saigner.
Je n'aimerais pas avoir à m'entraîner avec se brute, moins une il me casserait une dent.

- Au faite ! T'as eu des nouvelles de ton ex ? Dit Elie.

Je me retourne vers elle en me rendant compte que je fixais Marco depuis un petit moment.

- D'après ma mère il arrive en fin de rééducation, il parle normalement mais il doit encore marcher avec des béquilles. Son équilibre est encore fragile.

Quand Clément c'est réveillé du coma il a du raconte sa version des faits.
Comme par hasard il a dit que j'ai essayé de le tuer par jalousie de sa nouvelle petite amie.
Je ne sais pas si je dois avoir la rage contre lui car il a menti ou parce qu'il me fait passer auprès des gens que je connais pour une jalouse complètement folle bonne à interner en psychiatrie.