Chapitre IV

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Salut !
Je ne suis pas du tout sûr de cette partie de l'histoire, ce chapitre, donc je le redis encore une fois: si je fais une réécriture j'améliorerai au mieux cette partie, cette version n'est que la première version (beaucoup de fois version non ?) .
Je vous laisse...

PDV Livaï
  Pourquoi j'ai encore accepté un des caprices d'Isabelle ? Cela faisait 5 minutes que nous marchions dans les sales rues de cette ville que je connaissais si bien. À chaque croisement, nous nous arrêtions pour vérifier les alentours, la gamine n'avait vraiment pas l'air d'aller bien. Enfin je dis la gamine mais elle a l'air d'avoir le même âge que nous, voir même un peu plus vielle mais d'une année où deux seulement. Une fois arrivés, je m'affalai sur le canapé, mes deux compagnons entrèrent rapidement, l'inconnue resta quelques instants dans l'encadrement de la porte l'air gênée.

« -Oï ! Tu comptes rester là toute la soirée ? C'est pas un problème pour moi mais dans ce cas là je ferme la porte et le paillasson t'attend avec impatience ! »

  Elle sursauta très légèrement, et prit la décision d'avancer de seulement quelques pas, je m'avançai à mon tour pour fermer la porte. En passant sur son côté gauche, aillant la tête baissée, je perçue dans sa nuque (du côté gauche)  une petite cicatrice, à peine perceptible mais bien réelle. Elle avait été marqué au fer rouge, et semblait être assez profonde. Elle semblait représenter une boucle surmontée d'un trait radical.
NDA :si vous voulez elle ressemble à ça en gros (je précise que c'est moi qui ai fais le dessin)

•••élipse•••(Toujours PDV LIVAÏ)  J'avais prêter mon lit à la gamine, pendant que je dormais sur le canapé

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•••élipse•••
(Toujours PDV LIVAÏ)
  J'avais prêter mon lit à la gamine, pendant que je dormais sur le canapé. (NDA: Eh non ! Vous croyez qu'ils allaient dormir ensemble dès la première nuit ?? Pff, débutants...😂
Bon j'me casse moi, quoi je vous énerve à vous interrompre ? Bon j'avoue je suis chiante là 😅😇...)

Aillant encore et toujours ces insomnies, je m'assis sur une des chaises en bois du salon. Je jouais avec un couteau en le lançant vers la table pour qu'il finisse sa course planté dans celle-ci, je le reprenais puis recommençais encore et toujours.
Après quelques minutes, j'entendis une petite voix, à peine perceptible. Je ne reconnus ni celle de Farlan, ni celle d'Isabelle. Elle devait appartenir à l'inconnue.

Je m'aventurais alors vers la source de ces petites paroles incompréhensibles. J'arrivai devant la porte, en bois elle aussi, de ma chambre. Je collai furtivement mon oreille droite à celle-ci, pour distinguer quelques petits mots discrets intercepté par quelques sanglots. J'ouvris calmement la porte, et découvris, là, devant moi, l'inconnue, recroquevillée sur elle-même, dos à moi, en train de lancer quelques paroles en l'air, elle chuchotait presque. Quelques rayons de lumières venant de bougies, rencontraient sa peau qui avait l'air si fragile. Ses cheveux retombaient sur son visage. Je m'avançai , et me mis face à elle. Je me penchai un peu vers son visage. Elle n'avait pas l'air d'être endormie, pourtant elle ne me regardait pas.

Soudain, je vis que les draps étaient recouverts de sang, et que celui-ci venait de ses mains : de profondes entailles mesuraient toute la longueur et la largeur de ses deux mains qui n'étaient qu'à quelques centimètres de son visage vide d'émotions.

« Livaï: Oï !
Elle ne me répondis pas, je l'appelai une nouvelle fois. Cette fois-ci, elle daigna me regarder. Elle tourna la tête lentement vers mon visage. Des larmes de sel venaient couler sur ses joues qui arboraient aussi quelques fraîches coupures.
Livaï : Qu'est-ce que tu t'ai fais ?
Une silence, elle regarda ses mains puis toucha doucement ses coupures au visages. Je pu distinguer d'autres entailles sur ses bras.
(T/p): Je ne sais pas

Même si l'incompréhension régnait en moi à ce moment-là, mon regard s'attendrit. Moi-même je fus étonné par ce changement venant de ma part.
Je tendis mes bras vers elle, et essayai de la relever en position assise. Elle ne m'aida pas vraiment mais j'arrivai à mes fins. Elle baissa la tête, je ne savais que faire, je profitais quand même de ce moment, pour regarder avec plus d'attention sa marque à la nuque.

Livaï: Ne bouge pas.
Je m'approchai de l'armoire pour prendre des bandages. Revenus vers elle, je m'accroupis à son niveau. Elle ne relevait pas la tête. Je lui pris délicatement son bras droit et le posa sur ma cuisse. Je pris d'abord un bout de tissu dans ma poche et enlevais le sang encore frais autour de ses ouvertures. Je lui bandai les bras avec délicatesse. Je ne savais pas ce qu'il me prenait d'être aussi doux et attentionné. Je ne savais pas pourquoi mais cette fille avait quelques chose d'étrange et d'attirant en même temps. Elle avait l'air d'avoir vécu quelque chose de bien plus que traumatisant, mais j'ai envie de dire que c'est assez courant dans les bas fonds. Relevé  de toute ma longueur. NDA : bah y'a pas beaucoup à relever alors 😂 (s'il vous plaît pas de deuxième sens 😄😅) c'est nul ce que je viens de dire, pff...j'me fatigue toute seule 😂et le pire ?! C'est que ça dure à longueur de journée !! 🤣😂😅
 
À-vrai-dire, je ne sais pas ce que je pouvais bien faire de plus pour elle, mais elle continuait de fixer le sol de ce regard vitreux qui avait l'air rayé par la vie...je posai une main douce sur son épaule pour l'inciter à me regarder, mais elle n'en fit rien. J'approchai alors ma main droite de son visage pour le relever doucement. Elle persistait, elle ne voulait pas croiser mon regard.
Je l'a regardais longuement pour finalement, quitter cette pièce. Avant que cette pièce soit de nouveau complètement clause, j'entendis un faible « merci » venant de l'intérieur.

Je m'en allai dans le salon et repris mon activité. Cette fille...je ne sais pas pourquoi mais elle est...comment dirais-je...différente. Ce regard vitreux que je n'ai pu croiser, il m'a rappelé quelque chose...ou plutôt quelqu'un...ma mère...elle m'a rappelé ma mère, elle arborait ce même visage si fatigué, si malade, si vide d'émotions...avant de mourir...

Salut ! J'ai mis un petit peu de temps, mais l'inspiration ne me venait qu'en écrivant et je vous avoue que les idées me manquaient. Je vous incite encore une fois à commenter, ou à me faire des retours.
Bref, j'espère que vous avez aimé ce chapitre peut-être un peu court mais j'en suis quand même fière ☺️.
1080mots
Sayonara !

Seulement quelques notes... (Livaïxreader) (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant