Chapitre VI

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Salut ! J'espère que vous allez bien, je voulais vous prévenir que j'ai relue les premiers chapitres, et enfaite je ne suis plus aussi fière de ceux-ci qu'avant, donc je pense que je vais sûrement les refaire, l'histoire ne sera pas différente mais c'est juste quelques petites fautes d'orthographe, des fautes d'expression et certaines idées qui ne me plaisent pas. Voilà, c'est pas très important mais je voulais le dire !
Bonnes vacances d'été !

PDV externe:
???: Au voleur ! Au voleur !
Attrapez la !

Un marchand au ventre bien rebondi, criait à l'adresse de quiconque pouvait l'entendre, et l'aider. Ses petits yeux bleus clairs et ses quelques mèches d'un gris-blanc ressortaient bien sur la peau rouge écarlate du marchand.
Ses traits de visage étaient tendus sous la colère du vol qu'avait fait une petite ombre. Cette petite ombre aussi anodine soit-elle se glissait facilement sur les toits et pouvait glacer le sang d'un regard. On l'appelait « l'Ombre » d'ailleurs depuis quelques années dans les bas-fonds; on l'appelait ainsi car plusieurs vols, à plusieurs degrés d'importance, avaient été commis dans la plus discrétion possible. On parle même d'une dizaine de meurtres, sans coupable(s) connu jusqu'ici d'un prénom et d'un nom de famille, bien que ces dernières avaient été déchirées dans les bas-fonds.

Mais le plus important avec cette petite ombre, c'était qu'à chaque soleil levant, une mélodie s'élevait dans le cours silence de la ville souterraine, tantôt à l'harmonica, tantôt une petite voix légèrement tiraillée, avec un petit grain de tristesse dans la mélodie que même le cœur le plus dure et la peau la plus froide aurait pu remarqué. Cette mélodie aurait pu représenter un arrêt dans le temps, comme ci elle représentait la détresse et le peu d'humanité qui restait au fond de chacun. Une respiration, un battement d'aile, un battement de cil, une gorgée,
Voilà ce que représentait cette mélodie dans tout le désastre de cette ville...

PDV (t/p):
Je courrais dans les sales rues pour échapper aux quelques individus qui tentaient de me rattraper. Après quelques minutes de course j'arrivai chez moi...chez nous. Je cambrai mon dos et déposai mes mains sur mes genoux pour reprendre ma respiration. Après quelques secondes, je me relevai, montai rapidement les marches de pierres froides, et m'engouffrai furtivement dans la pièce en vieux bois après avoir vérifié les alentours.

Je jetai sur le canapé, même canapé où je mettais réveillée quelques années plus tôt, le pauvre bout de pain que j'avais réussi à voler plus tôt, et mon corps suivi. Je m'affalai et lançai ma tête en arrière. Mes yeux se fermèrent, et ma respiration se calma peu à peu. Quelques coups de feu retentissaient dans les rues mais rien de si alarmant, je respirais à pleins poumons l'air moisi de la pièce; le bois craquait, la poussières recouvrait les meubles, l'humidité était présente partout autour de soi. Je me demande encore pourquoi dois-je faire tout cela, pourquoi je dois avoir peur constamment, pourquoi je dois voler pour survivre, pourquoi je dois être autant égoïste, pourquoi n'ai-je pas le droit de dormir ? Pourquoi n'ai-je pas le droit de rire avec Isabelle, pourquoi n'ai-je pas le droit de me lancer dans débats sans fin avec Furlan, nous n'étions pourtant jamais d'accord mais nous nous obstinions jusqu'à des heures bien tardives...

Flashback :
   PDV Isabelle :
-Mais je te dis....
-pourt....
Les deux continuaient encore et encore leurs débats si longs ! Mes yeux me piquaient et le sommeil s'emparait peu à peu de moi, je sombrais...
« Eh ! Isabelle ! Tu veux monter dormir ? »
-Hein de quoi ? Dis-je ensommeillée
-je vais l'accompagner, j'entendis (t/p)
-d'accord »
Je sentis deux bras me prendre la taille et les bras,
Je marchai les paupières tombant, l'air penaud.
Quelques instants plus tard je me trouvais sous une couette, et m'endormis directement.
Fin du Flashback

Seulement quelques notes... (Livaïxreader) (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant