Vous êtes vous déjà demandé à quoi pouvait bien ressembler l'enfance d'Haru ? Et bien vous voilà servi. Même si entre nous je pourrais renommer cet hors série : "le palmarès de bétises d'Haru". Bref je vous laisse découvrir.
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Haru a 5 ans :
Un vendredi avec maman :
Aujourd'hui je vais faire les courses au supermarché avec maman pour la première fois ! Je suis trop contente ! Maman prenait des produits dans les étagères et me demandait d'aller lui en chercher. Je prenais soin d'oter les petits étiquettes de prix sur chaque chose que je prenais. Une fois que nous furent arrivées à la caisse, le pauvre caissier n'en revenait pas. Tous les produits que nous avions pris à l'exception de quelques uns étaient dépourvu de code barre. Pendant que j'étais hilare devant le visage paniquer et désespéré du jeune caissier, celui-ci se dandinait désespérément sous le gourou de ma mère qui exigait du magasin qu'on ne lui fasse rien payer pour ce défaut de fabrication. Pendant ce temps j'étais recroquevillé sur moi même dans un coin tentant d'opprimer mon fou-rire. Au final maman obtint ce qu'elle voulait et on ne paya pas. C'était très marrant !
Un samedi de découverte :
J'étais assise dans l'herbe du petit jardin relié à la maison qui s'étendait au derrière. Regardant les feuilles d'automne tomber de l'arbre sous lequel j'étais assise, j'observais ce spectacle coloré avec émerveillement. C'était magnifique ! Soudain un petit gazouillis terrifié des plus mélodieux retentis, une petite mésange venait de tomber devant moi. Son aile droite pendait lamentablement. Elle ne survivrait sans doute pas. Je pris le petit oiseau apeuré entre mes mains de petite fille et me saisit d'un bâton pointus qui était à côté de moi dans l'herbe. Une lueur joyeuse brillât dans mes iris verte, je me saisis du bâton et ouvrit nettement et rapidement le petit oiseau. De mes petits doigts à présent souillé de sang j'inspectais l'intérieur de la mésange. Découvrant de nouvelles choses, j'étais concentré un sourire étira alors mes lèvres pâlement rosée. J'étais heureuse et c'était fabuleux !
Haru à 7 ans :
Une sortie au musée :
Cela faisait peu de temps que je venais d'entrer à l'école primaire. Aujourd'hui nous faisions une sortie au musée, des intempéries avaient été prévu. Pourtant le soleil brillait haut dans le ciel, le parapluie que je tenais ne me servait strictement à rien. Une idée fabuleuse me traversa l'esprit, serrer entre tous mes camarades de classe je commençais à avoir chaud. Comme si j'étais enfermé dans une cage, la chaleur humaine, la transpiration des autres, leur brouhaha inssessant, leur gesticulations. Tous cela m'oppresse, non, ce qui m'oppresse, c'est le fait qu'ils soient si pitoyable. Ils essayent de m'écraser ? Ils vont voir que je leur suis supérieur ! Appliquant mon idée tout en continuant de progresser sur le trotoir, je descratchais mon parapluie pourpre puis le levais au dessus de ma tête et l'ouvrit. Tous reculèrent. Ah ! Enfin un peu de place. Je soupirais d'aise et narguais les autres du regard sous la désapprobation des professeurs me priant de fermer mon parapluie auquel je venais de trouver une nouvelle utilité. Chose que je ne fit bien entendu pas, ils avaient beau me menacer avec des punitions je n'en avais que faire, j'avais enfin de la place.
Une journée en classe des plus amusante :
Nous étions en classe, il était presque là fin de l'heure. Je cachais mon stylo bleu et fis mine de le chercher, par pure bonté ou pour jouer les bonnes samaritaines et que sais-je encore, m'a voisine de classe me préta son deuxième stylo bleu qu'elle avait en trop. Je fis semblant de finir d'écrire la leçon comme quelque un de mes camarades alors que j'avais déjà fini. Commençant à machouiller le stylo, y laissant exprès de grosse marque de dents. Rangeant mes cahiers et autres affaires à la hâte, la sonnerie retentit quand j'eu finis. Je me levais dès que le professeur l'eu autoriser, déposais le stylo machouiller devant sa propriétaire avec un sourire angélique et innocemment suspect. Me dépéchant de partir, une fois dans les couloirs je pouffais de rire. Quelle naïveté !
Haru a 8 ans :
Une idée farfelue :
C'était une journée banale et je m'ennuyais ferme dans ma froide demeure. Livrée à mes pensées suicidaire je me dirigeais vers les toilettes. Une fois que j'eu fait ce que j'avais à faire, une idée me vint. J'enlevais tout le papier toilette pour ne laisser qu'une feuille, faisant croire qu'il en restait. J'allais jeter tout ce papier dans une poubelle au dehors. Quelques secondes après que j'eu pénétré dans le hall la voix de mon frère retentit :
- HARU ! Hurla-t-il depuis les toilettes.
J'éclatais de rire, ce rire cristallin qui me caractérisait.
Un ébètement hilarant :
Mes parents avaient décidé de m'envoyer chez une psychologue suite au rapport de mes professeurs. Ceux-ci avaient rapporter que je prenais un malin plaisir à tourmenter ma classe. Prenant cela pour des troubles du comportement ils m'y emmenèrent. Nous pénétrâmes dans un grand immeuble, la psy se trouvant au deuxième étage de celui-ci. Une fois dans l'ascenseur, alors que des gens montait je me tenais prêt des boutons de l'ascenseur. Quand tous le monde fut à l'intérieur, j'ouvris les portes avec le bouton prévu à cet effet et dans un geste calculé appuyais sur tous les numéros en partant du haut avant de sortir précipitamment. En voyant l'ébétement des gens puis leur fureur une fois qu'ils eurent réalisé la situation, mon rire résonna dans le hall d'entrée dans un sadisme des plus magistral. Quand mes parents redescendirent enfin les 14 étages qu'ils avaient du faire par ma faute j'eu droit à une punition. Mais je ne regrètais rien, c'était si amusant !
Haru a 9 ans :
Une blague de mauvais goût :
Aujourd'hui nous devions nous lever tôt pour nous préparer à rendre visite à mes grand-parents vers 10 h. Nous étions que le matin et il pleuvait, il n'était que 7 h 40 quand je me suis lever alors qu'on devait se lever à 8 h. Une idée de blague me vint. Sortant dans le jardin en ne portant que des sous-vêtements je me pris une véritable douche froide. Je rentrais pour m'essuyer et renfiler mon pijama. Je revint dans mon lit et attendis. Mon frère ne tarda pas à me secouer comme un bourrin. Mes yeux étaient ouvert comme ceux d'un cadavre et ma peau froide à cause de la pluie. Je ne bougeais pas. Heichô partis alerter mes parents avec affolement, dans un premier temps ils me crurent évanouie puis morte. Alors qu'ils entouraient mon lit avec des mines soucieuses je me redressais d'un coup sec en m'écriant : "BOO !". Mes parents et mon frère sursautèrent tous en même temps. Un sermon s'en suivit mais j'avais eu le temps d'immortaliser leur tête avec une photo. Je me suis bien amuser.
Blague de supermarché :
Depuis l'épisode des étiquettes du supermarché ni mon père qui avait subit le même sort ni ma mère ne voulait retourner au magasin. Aussi ils y envoyaient mon frère, aujourd'hui il avait décider de me prendre avec lui. Pourtant nous n'en avions pas besoin, je ne comprenais pas. Il m'annonça vouloir faire quelque chose de drôle avec moi quand nous furent arrivés au supermarché. On commença par déplacer les cadis des clients sans qu'ils ne le sache dans d'autres rayons à leur opposer puis on alla chercher un cadi. Je me demandais pourquoi on arrêtait car c'était très drôle de les voir en rogne, alors que nous étions cacher à l'angle du rayon, complètement hilare. Soudain, alors que nous le remplissions à ras bord, je compris. Une fois rempli on le mis dans un rayon fréquenter et on s'en alla. Rien que d'imaginer la tête des employés on pouffa de rire. Alors que nous étions toujours dans notre fou-rire un employé du magasin sortit rapidement du magasin, il se dirigea à grand pas vers nous. Moi et mon frère partirent en courant s'en suivit une course poursuite, bien heureusement il ne nous rattrapa pas.
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J'espère que ça vous aura plu. J'ai fait ça parce que je trouvais que c'était une bonne idée. Vous pourrez me proposer d'autre idées pour les prochain hors série.
(Et oui, il y en aura d'autres 😉)
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• 𝐀s a dead | Tsukasa Y. •
FanfictionHaru, c'est une créature vil et méchante. Bien vivante, à n'en point douter. Cette fille ce sent pourtant vide, elle attend son printemps nouveau. Elle attend la mort avec une tel dépendance qu'elle songe à l'avancer. "Part, revient, fane et meurt...