Chapitre 12

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Nous savons tous que la nuit n'est pas un moment pour se balader, surtout lorsque l'on est une jeune femme seule !
Mais toute femme nourrit l'espoir d'être secouru par un bel homme célibataire.
Cependant espérons que jamais personne n'ait besoin de se faire secourir.
Le rêve d'être secouru n'est qu'un fantasme que chaque femme imagine mais un fantasme que personne n'aimerait assouvir.

Ce soir là, après une après-midi pareil elle se sentait quelque peu fatigué mais elle avait par dessus tout envie de peindre. Elle savait que toute la haine qu'elle avait pu accumuler en ce jour. Elle avait revêtit une robe orangée plutôt légère est agréable.

Ce soir elle irait seule chez son oncle, son père devait se rendre chez l'un de ses amis

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Ce soir elle irait seule chez son oncle, son père devait se rendre chez l'un de ses amis. Ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ça, le trajet était plutôt court et elle aimait marcher donc ça ne la dérangeait pas le moins du monde.

Une fois chez son oncle, elle le salua chaleureusement avant de comme la semaine dernière, cette fois-ci elle arriva un peu plus tard et alors qu'elle ne pensait pas le revoir ici après l'incident de la semaine dernière, elle vit Benedict Bridgerton assit à côté de sa propre place.

- Pourquoi Benedict Bridgerton est encore là ? Souffla-t-elle à son oncle en fronçant ses sourcils.

- Je l'aime bien, il est prometteur et il te plait alors c'est d'une pierre de coup ! Affirma son oncle et la jeune fille cru qu'elle allait s'étouffer.

- Il ne me plait absolument pas pardi ! S'écria-t-elle un peu trop fortement puisque le concerné tourna son visage vers eux et Sofia se sentit rougir.

- Bien si tu le dis mais je suis sûr que tu ne t'en rends pas encore compte. Lui chuchota-t-il avant de la laisser prendre place à son chevalet.

- Miss Turner, comment va votre poignet ? Lui demanda Benedict à peine fut-elle assise.

- Mon poignet va bien Monsieur Bridgerton, vos chevilles sont-elles toujours aussi gonflées ? Répliqua-t-elle avec humour et pour la première fois elle entendit un rire franc de la part de son voisin.

- Je dirais qu'elles ne font que grossir grâce à vous ! Sourit-il et la jeune fille leva les yeux au ciel avant de s'allumer une cigarette.

- Vous m'en donnez une ? Reprit le brun avec un sourire charmeur.

- Seulement si vous me laissez peindre en paix. Commenta-t-elle en lui donnant une cigarette. Puis comme elle l'avait demandé, il l'a laissa tranquille bien que lui lançait quelques phrases de temps à autres mais il voyait bien qu'elle était trop absorbé par son oeuvre qu'elle n'écoutait rien de ce qui l'entourait. Il fut une fois encore fasciné par sa beauté même lorsqu'elle restait totalement naturelle. Elle savait pertinemment qu'il l'a regardait depuis un moment mais ne dit rien, elle avait glissé un regard sur sa propre toile et avait remarqué avec effarement que c'était elle qu'il dessinait. Elle fut impressionnée par les traits parfaits qu'il traçait, il avait l'oeil sûr et son croquis était très ressemblant.

Le diamantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant