Elle m'a sortie de l'anorexie.

CHAPITRE 7 : Maman...

Je tenais la main de ma mère, qui était entourée de machine qui bippaient. Elle était au soin intensif, et les médecins l'avaient plongées dans un coma artificielle pour ne pas qu'elle souffre. Maman... Elle était brisée de partout, elle avait un poumons perforé et décollé, un traumatisme crânien, des vertèbres déplacées, et elle avait eu plusieurs soucis niveaux de ses organes internes mais je n'avais pas vraiment compris quoi. Tout ce que je savais, c'est qu'elle avait eu de la chance de survivre et que là, elle souffrait. Nina et David-Lincoln était venu me voir moi, ainsi que mon père.

Mon téléphone c'est mit à sonner, et je suis sortie du bloc.

-Allô?

-C'est ton ptit chou.

J'ai souris, car malgré tout ce qui se passait, Lincoln restait le même avec moi. À l'école, tout le monde me prenaient avec des pincettes, et c'était comme si à chaque fois qu'ils me parlaient, ils me rappellaient que ma mère était entre la vie et la mort.

-Salut.

-Je sais que ça n'est pas vraiment le moment, mais je me disais que tu voudrais peut-être venir avec nous au cinéma.

-Je vais en parler avec mon père.

-D'accord, tiens moi au courant.

J'ai raccroché et je me suis dirigée vers la sortie. Pendant que je marchais dans les couloirs remplis de couleur, je me suis concentrée sur tout les évenements qui c'étaient passé. Ma mère allait peut-être mourir, mon père était toujours à l'hôpital. Nina et Lincoln essayaient de m'occuper le plus possible, surtout que j'étais seule chez moi depuis plus d'une semaine. D'ailleurs, ses deux la c'étaient rapproché, et chaque fois que je les voyais rire ensemble mon coeur se serrait et je savais que j'étais jalouse. Pourtant je n'en voulais pas à Nina, ...Elle était tellement mieux que moi.
Ferme la, Valentine.

Pendant que je me disputais avec moi-même, un infirmier m'a arrêté. Il devait être quelques années plus vieux que moi, mais il travaillait à l'hôpital. Son père était le médecin qui s'occupait de ma mère, et le fils suivait le cas de ma mère avec lui. Je ne savais même pas si c'était légual.

-Oh, euh...Valentine excuse moi de te déranger, mais je peux te poser une question?

-Euh, oui docteur allez-y .

Je me sentais obligée de le vouvoyer, et de faire toutes ses choses stupide alors qu'il avait presque le même âge que moi...Simplement car je ne le connaissais pas.

Il c'est mit à rire nerveusement avant d'ajouter: 

-Laisse tomber, et dis moi tu.

-D'accord.

-Et je m'appelle Lohan en passant.

-D'accord.

J'avais l'impression d'être un robot d'épourvue de mots, car je n'arrivais plus à parler.

Je me suis remise à marcher plus vite pour aller rejoindre mon père.

-Ma chérie.

-Papa...

JE lui souriais faiblement, je n'étais pas d'humeur joyeuse depuis que maman...

-Est ce que je peux aller au cinéma?

-Oui, à quelle heure ? Car tu dois aller chez la diététicienne.

-Je peux demander à David-Lincoln qu'il me conduise?

-Il n'est pas un taxi, ma puce...

-D'accord, mais je peux?

-Oui.