Note de l'auteur : Il y aura une évolution d'Izuku. Vous comprendrez.
PDV d'Izuku Midoriya (Aka le brocoli)
Je rentre chez moi comme tous les jours depuis des années après l'école. Ma mère est encore en train de boire du bon saké de chez nous. Elle s'en fout que je revienne avec des blessures chaque jour. Elle trouve cela normal pour un sans alter de ce faire marcher dessus, de se faire humilier, maltraiter et harceler. Elle pense que je mérite tous cela, elle pense aussi que je suis un châtiment que Dieu lui a envoyé.
Je ne vois pas pourquoi Dieu me ferait souffrir pour une faute que ma mère aurait faite. Cela n'est pas juste, les enfants ne sont pas responsables de la faute de leur parent.
Comme d'habitude, dès qu'elle m'entend rentrer, elle m'arrose d'insulte.
Mais quelque chose d'inhabituelle est présent. Il y a une valise près de l'entrée. On dirait qu'elle est bourrée par mes affaires.
-Inko : Casse-toi, je pense que j'ai suffisamment souffert par cette faute dont j'ignore tout. Disparais et ne reviens jamais ici. Je t'ai déjà préparé ton sac, il y a un peu de nourriture. Pas la peine de demander de l'aide aux autorités, si tu le fais, je dirais que tu es un putain de vilain, que tu as déjà essayé de m'agresser aux couteaux.
Le pire c'est que les autorités croiront d'office ma mère vu que je n'ai pas d'alter.
Je prends mes affaires et je me casse.
-Izuku : Sache juste une chose, je suis peut-être un insecte mais je suis quand même un être vivant, je crois bien que ton cher Dieu, te jugera là-haut. Tu fais comme ces djihadistes qui disent faire le dijhad sans comprendre que le Dijhad est un combat intérieur.
Avant qu'elle ne me lance sa bouteille, je pars de là.
Je me mets à marcher dans les rues. Je ne vois pas trop où je pourrais me mettre. J'ai mon sac de cours avec tous mes cours dedans. Mais cela ne va plus trop me servir, ma mère ne va plus payer les frais de l'école.
Non, le plus urgent c'est de trouver un endroit où dormir.
Je finis par trouver un petit bâtiment abandonné. Je m'y cache pour aller dormir.
Je m'endors dans le froid.