Chapitre 10

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Aizawa : Oui j'espère que ça ne te pose pas de problème ? se rapproche de moi, et puis cette fois si tu ne pourras pas m'échapper, me dit-il avec un sourire sournois.

Ok vous m'avez perdu.

PDV AIZAWA

Je sais pas ce qui m'a pris de l'inviter à dîner chez moi et de lui dire ça alors que j'aurais très bien pu lui donner de quoi se racheter une autre pizza...

Mais j'ai envie d'apprendre à la connaître, cette fille m'intrigue beaucoup dès qu'elle et près de moi mon regard se pose instantanément sur elle, et mes pensées n'en parlons pas elle y est constamment.

Je sais que c'est pas correct pour un professeur d'inviter une élève chez lui mais honnêtement je m'en fous un peu, j'espère que pour elle c'est pareil.

PDV T/P

Moi : Heu je vois pas de quoi vous parlez aller on y va, dis-je en marchant rapidement dans la rue.

Aizawa : T/P j'habite de l'autre côté.

Je fis demi tour sans lui répondre, en repassant devant lui j'ai pu entendre un petit rire.

Quelques minutes plus tard, on arrive devant une assez grande maison avec un jardin bien entretenu, enfin bon, vu le personnage j'imaginais plus une maison sinistre avec des chats errant de partout.

Aizawa : Tu rentres ou tu comptes passer la soirée sur le palier ? me dit-il en me sortant de mes pensées.

Moi : Oh oui oui j'arrive.

L'intérieur est plus tôt simple et assez moderne, il a de bons goûts en terme de déco.

Aizawa : Tu aimes les sushis ?

Moi : Bien sur j'adore ça !

Aizawa : Super alors je vais commander ça, tu peux t'installer sur le canapé et regarder la télé, pendant ce temps je vais aller prendre ma douche je reviens vite.

Moi : Ça marche merci.

Je ne me sens plus forcément gêner quand je me retrouve seule avec, je me sens même plutôt bien, il a une présence assez rassurante.

« Cette fois ci tu ne pourras pas
m'échapper », en repensant à cette phrase un sourire se dessine sur mon visage.

Il veut jouer ? On va jouer.

Quelques instants plus tard ça sonne à la porte, je m'apprête à aller ouvrir quand une voix venant de l'étage m'arrête.

Aizawa : Laisse j'y vais.

En me retournant pour lui faire face j'ai eu l'impression que j'allais faire une AVC, monsieur Aizawa avec seulement une serviette autour de sa taille.

Il paye le livreur, ferme la porte et se retourne vers moi, sauf que mon regard ne s'était toujours pas détaché de son corps d'Apollon.

Aizawa : Je te dérange pas ? La vue te plais à ce que je vois, me dit-il avec un sourire provocateur.

Il pense m'avoir comme ça ?

Je m'approche de lui en plongeant mon regard dans le sien.

T/P : Je dois avouer, monsieur Aizawa, que votre corps ne me laisse pas indifférente, lui dis-je en frôlant du bouts de mes doigts ses abdos tailler dans la pierre.

Je le sens se crisper à mon contact.

Alors qu'il s'apprêter à rétorquer, je lui prend le sachet des mains.

Aizawa x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant