Mon surveillant Et Moi

Chapitre 37

Je suis réveillé par quelqu'un qui me fait des papouilles dans les cheveux et je sens un bras autour de ma taille. J'ouvre doucement les yeux, je me tourne vers Quentin et lui souris.

- Tu sais, je vais m'habituer à se que tu me réveille ainsi.
- Ah parce que tu comptes redormir avec moi !? Pas moi, j'ai mal dormi, mais vraiment très mal.
- Connard.
Il est mort de rire alors que moi je lui fait mon plus beau doigt et je commence a me lever.mais il m'attrape par le bras.
- Eeeh ! Tu vas où comme ça ? Je veux mon bisous moi.
- Laisse moi réfléchir....
je m'approche de lui, il me lâche et j'en profite pour me préparer à courir. Quand je suis à quelques millimètres de ses lèvres, je me recule d'un coup.
- Enfaîte non.

Puis je pars en courant. En ni une ni deux, Quentin est derrière moi entrain de me poursuivre. Quand je suis presque arrivée dans la cuisine,pour aller me cacher derrière mon père, Quentin me chope et me porte comme un sac à patate. On passe par le salon pour aller dehors.

- Quentin, tu n'as pas intérêt de faire ça.

Mais il m'écoute pas et il continu son chemin, je continu donc, de me débattre. Alarmé par mes cris dès le matin, Valérie et mon père arrivent, il était temps. Quentin les a aussi vu.

- Bonjour. Dit-il.
Puis il continue son trajet vers la piscine.
- N'y pense même pas. Si tu fais ça, je te jure que je te tue de mes propres mains.
Mais il fait la sourde oreille et me jette à l'eau. Le connard, il est mort de rire.
- Bon.... au lieu de rire comme un attardé, tu veux bien m'aider à sortir ?

Il vient vers moi, me tend sa main. Je l'attrape, le regarde droit dans les yeux et je lui fait mon sourire le plus malicieux possible. Puis je le tire de toutes mes forces et il atterrit dans l'eau. C'est à mon tour de me foutre de sa gueule.
Au loin, je vois nos parents mort de rire. On sort de la piscine puis nous montons dans nos chambres pour prendre une bonne douche chaude et s'habiller.