la mort

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La mort, en fait, elle a été le sentiment et elle est toujours le sentiment le plus dominant au plus profond de nous, c'est  elle notre plus grande peur, elle a animé  nos cris des fois nos larmes et a enlevé  les personnes les plus cher.  Mais tel n'est pas son unique définition,  la mort a une définition plus grande et plus majestueuse que l'idée de désolation qu'elle apporte, elle nous permet de nous questionner de ralentir nos acte d'être prudent,  elle nous rappel qu'au delà de nos complexes et de notre vie , on va tous y passer. Au delà de la tristesse et des blessures qu'elle engendre en nous, elle délivré les autres d'un poids lourd, celui qui est mort s'en va dans un rêve profond où il n'y  a plus de moqueries, il n'y  a plus de douleur,  plus besoin de se battre pour son pain, par ce qu'il n'y a plus de tourment plus de pensée  encombrantes. On est libre...

Que vos donc cette liberté ? Cette liberté  vos  notre vie, et on l'appela la mort. Dans chaque mauvais il y a un bon. La mort elle n'est  pas mauvaise, elle e fait pas mal, ce n'est  que nous qui la voyons aussi cruelle car on ne l'a  jamais vraiment compris, jamais vraiment ressenti.
L'adolescence  c'est  comme une pensée qui lutte dans un corps qui meurt, il nous questionne sur nous, sur ce qu'on est sur ce que l'on veut devenir . Je suis pour, oui la mort peut blessé des fois mais c'est  mieux comme ça,  ne t'attache pas mordicus au gens et ne lié pas vos destin en fonction d'eux,  à prenne à  vivre seul car dès fois cela vous éloigné de plus de mal....
Quand un e parlais qu'elle a bercé mon enfance, elle a été la porte sur les questions de la vie, les plus profondes et les plus douleureuse .... j'avais  6 ans quand j'ai perdu mon seul ami,  mon oncle Tara.. je ne m'étais jamais habitué au autres je n'avais jamais voulu savoir ce que c'était de pouvoir être sociable avec les autres alors j' ai continuer comme ça, je n'en avait rien à foutre, j'avais un seul confident , un seul ami à cet époque j'étais jeune, il mourut, et on n'eut l'audace de me l'annoncer au téléphone,  pendant tout ce temps, j'aimais un mort, son sort étais régler depuis bien long  temps. Je ressentis la plus horrible douleur traversé mon coeur et mon esprit ce jour là,  je tais devenue un fantôme.

Malgré  cela, j'ai continuée ,  continuée à me poser des questions, me troublée et finalement me perdre. Mais je peut vous dire avec exactitude que la mort, si vous la regarder attentivement,  elle enlève nos douleurs.
Je voudrai insister sur un fait , la mort est différente du suicide.
L'acte suicidaire est un acte de faiblesse,  être  faible n'est pas un péché,  mais resté faible en est un. On mesure la grandeur d'un homme par les épreuves qu'il traverse,  vous êtes tombé,  vous en avez mard... tant que la mort ne vous appel pas, cela veut dire que vous avez encore à faire et à  apprendre. On ne juge aucun homme sur le nombre de fois qu'il réussi mais le nombre de fois qu'il échou et se relève,  la mort est une délivrance le suicide n'en  est pas. Tell est ma vision de la mort

les couleurs de l'adolescence Où les histoires vivent. Découvrez maintenant