chapitre 18

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***« le centre du monde »***

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***« le centre du monde »***

Mon uniforme mis, mon make up fait et mes cheveux brossé, je sors de ma chambre pour rejoindre la salle à manger vide, je m'assois à ma chaise et commence à manger quand je fus rejoins par ma génitrice qui se sert un café dans le silence. Je lui lance aucuns regard et je continue de tcheker mes réseaux sociaux.

-Comment vas-tu aujourd'hui ? me demande soudainement la femme que je suis sensé appelé maman

-Pourquoi ça t'intéresse ? dit-je agressivement me demandant ce que ça pouvait cacher

-Je m'intéresse à ma fille, ça aussi tu vas me le reprocher ?

-C'est trop tard tu ne pense pas ?

-Oh allais tu ne vas pas me reprocher la même chose tout le temps, surtout que désormais je vivrais ici définitivement. dit-elle me rappelant leur mariage

-Jusqu'à ce que tu décide de te barrer une nouvelle fois.

-Qu'est-ce que tu peux être rancunière bon sang, tu tiens bien ça de ton père. soupire t-elle

-Il a pas l'air si rancunier que ça, la preuve t'es ici. dit-je avant de me lever pour partir, attrapant mon sac au passage

Je rejoins Greg qui attendais devant l'entrée, je le salut et nous voilà partir pour un trajet dans le silence jusqu'à Las Encinas, arrivé là-bas je sors de la voiture et parcours le parking d'un léger regard quand celui-ci se pose sur une voiture que je reconnais bien, je m'approche de celle-ci pour voir Valerio endormis dedans, non mais j'y crois pas. Je toque à sa fenêtre le réveillant dans un sursaut, il me vois et vient ouvrir sa fenêtre un sourire aux lèvres alors que je reste sans mots.

-Je ne dirais pas non à un réveil plus doux la prochaine fois beauté. dit-il en me regardant

-Tu dors dans ta voiture ? dit-je toujours sur le choque

-Ouais disons que mon père n'a plus la patience pour s'occuper de moi.

-Mais, et ta mère ? demandais-je

-Hm elle aussi semble avoir perdu la patience. soupire t-il en ouvrant sa portière pour sortir

Il me dépasse de plusieurs centimètres qui font toute une différence, je ne m'éloigne pas de lui alors qu'il enlève ses lunettes de soleil pour me regarder dans les yeux. Je soupire attristé, Valerio est le mouton noir de sa famille, depuis toujours, mais malgré ça il a toujours su profiter des situations et de la vie que ça pouvais lui donner. Et je l'admirer pas mal pour ça.

-Tu sais, si t'as besoin d'un toit ma porte est ouverte, mon père est jamais là et ma mère aussi, enfin elle est quand même un peu trop présente à mon goût mais bon ça sera toujours mieux qu'une voiture posé au milieu du parking du lycée. repris-je

The Silence - ELITEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant