Quand L'amour Nous Est Interdit [bxb] (EN COURS)

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Les deux garçons rentrèrent en parlant chez eux.
Leurs cheveux goutaient encore l'eau du lac et leur vêtements était humides, car en mettant leur uniforme, ils ne s'étaient pas sécher.
Mais ils s'en fichaient, car il avaient passer un bon moment tous les deux.

Après ça, et pendant casiment 1 mois, les deux adolescents allèrent tous les jours au lac, passer le temps après les cours, quand évidement, la jeunesse n'avait pas de rendez-vous nocturne pour des grands discours des nazis.

Hanse s'était avéré être un excellent élève, recevant les compliments de ses professeurs, et faisant la fierté de sa classe et de son niveau.
Fred en était un petit peu jaloux, mais il était surtout fière d'avoir l'élève le plus intelligent comme ami.

Fred lui aimait vraiment sortir avec Hanse et parler avec lui. Le brun lui apprenait plein de choses dans leur conversation, et lui avait même fait la lecture pour que Fred s'endorme sur le ponton.
Le brun prenait soin dj blond, et le blond prenait soin du brun.

En rêvant le l'école un mercredi apres midi, une lettre attendait Fred chez lui. Une lettre de de son père.

Le blond passa la porte de chez lui et sa mère était assise dans le salon à lire cette fameuse lettre les larmes aux yeux. Son maris lui manquait énormément, elle avait peur pour lui chaques jours et priait matins et soirs pour le revoir rentrer chez eux.

-je suis rentré ! Souriait Fred en s'approchant de sa mère qui leva les yeux vers lui.

- viens Fredy chéris, viens lire la lettre de papa, il parle de toi !

Il n'en fallu pas plus au blond pour bite commencer à lire la lettre au dessu de l'épaule de sa mère.

22 octobre 1940.

Chers Louise, chers Fred,

Ici tout va bien, je voyages d'allemagne en France, le villes en villes et de campagne en campagne.
La France est un beau pays malgres toutes les choses que l'on peut dire. Les habitants eux par contre, sont aussi mauvais que l'on pouvait l'entendre.

J'ai hâte de rentrer. La vie ici, n'est pas aussi agréable que les après midi passer avec toi Louise, et avec mon petit Fred, qui a bien grandit.
L'uniforme lui va bien, je suis fière de lui, il est beau.
Il tient de toi mon amour.

Je vous aime, les deux amours de la vie.

Mathias.
Heil Hitler.

Fred était fou de joie. Ça avait mit du temps, mais la réponse de son père était arrivée!
Il avait une envie folle d'aller lire la lettre au brun, mais ne le dit pas, car, c'était quelque chose de familial.

Il fit un bisous à sa mère, sur la joue.

- J'ai hâte de revoir papa!

Sa mère souria et elle rangea la lettre comme il faut avant de se lever et d'aller la mettre avec d'autres lettres entouré d'un élastique.
C'etait toutes les lettres qu'ils avaient reçus de Mathias, le père de Fred.

Susanne, la mère de Fred, alla à la cuisine se remonter les manche pour faire à manger pour ce soir.
Le blond lui, monta vite dans sa chambre faire ses devoirs.
Aujourd'hui, il ne pourrait pas sortir avec Hanse car celui ci devait aller aider sa tante à aller cueillir des champignons dans la forêt. Malheureusement, pas celle du lac mais une autre, un peu plus loin.

Et Fred s'avoua intérieurement qu'il en était plutôt triste. Il avait eu l'habitude de sortir avec lui, de l'observer, de l'écouter.
Sa voix était plaisante et.... Il était plus que agréable à regarder.

Fred arrêta d'écrire pour ses devoirs.

- hein?...

Il ne comprenait pas ce qu'il venant de penser ? Il aimait regarder Hanse, car il le trouvait très beau.
Mais ? C'était étrange dit comme ça non ? Ce n'est pas ce qu'un garçon devrait penser de son ami.
Il devrait penser qu'il aurait hâte de pouvoir se bagarrer de nouveau, ou alors que la prochaine fois, ils joueraient aux billes.
Fred ne faisait pas tout ça avec Hanse. Lui il jouait seul, mais le brun était toujours à coter, en train de lire, l'évent parfois les yeux vers le blond pour s'assurer qu'il ne s'était pas fait mal.
Avec Hanse la vie était douce et belle. Par là, je veux dire que Hanse prêtait attention à la beauté. Et lui même était magnifique en la regardant.
Le brun lisait et le blond faisait du bruit.
Mais ça leur allait très bien.
Fred avait même arrêter de sortir les soirs avec ses autres amis. Il les voyait la journée, durant la recreations et la classe, mais durant son temps libre, il n'y avait que Hanse avec lui.

Hanse aussi avait d'autres amis ? Ce serait étrange, le blond le l'avait jamais vu parler avec d'autre personne assez longtemps pour que ce soit un ami.
Fred y faisait très attention et le regardait souvent dans la cour pour savoir ce qu'il faisait.

À son avis, Fred devait juste être un peu jaloux avec son nouvel ami. C'est normal non ? Il le voulait pour lui, car il était incroyable. Il ne voulait pas que la débilité des autres changent Hanse. Ça aurait été un gâchis monstrueux.
En plus, ça lui ferait trop mal au coeur de la voir être avec quelqu'un d'autre que lui pour ami.

Fred en était sur, il était jaloux.

De son coter là, Hanse changeait de vêtement, dans sa chambre, bien heureux de pouvoir enfin enlever ce foutu uniforme de malheur.
Il mit un pantalon marron à betrelle avait une simple chemise blanche.
Il remonta les manches jusqu'à ses coudes pour être à l'aise et descendit sans ses lunettes, il savait que il ne pourrait pas lire, vu qu'il allait ramasser des champignons dans la forêt.
Il aurait sans doute préféré sortir avec Fred, mais ne le pensa même pas.
Il s'adaptait à tout sans broncher. Le vouloir de Louise était le sien aussi.
Il lui devait bien un peu de son temps pour une cueillette de champignons. Ils sortirent tous les deux juste après avec des paniers, puis marchèrent jusqu'à la forêt.

Louise était au courant du très bon travaille de Hanse. Elle en était très fière et au moin, les habitants du village le voyaient d'un très bon oeil.
Ils disaient de lui que c'était un petit génie, et eux même étaient très fière d'avoir un gamin comme ça dans l'école de leur enfants, espérant que ça les motiveraient à bien travailler.
Que ne ni mais rêver ça ne fait pas de mal.

Hanse trouva ça agréable de ramasser les champignons. Quand il était chez lui, il ne faisait jamais ça, il préfèrait rester dans le salon à lire, pendant que son père jouait du piano, et que ça mère faisait de la couture sur la belle table en bois de la salle à manger juste à côté.

Mais finalement, c'était pas mal, au contraire, il reviendra avec Louise pour l'aider si possible.