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Jeudi matijn, Fred avait de la fièvre. Il avait attraper un coup de froid après son escapade d'hier.
Trop de chaleur pour après ressentie la fraîcheur du soir, ça l'avait rendu malade.

Il était à la fenêtre de sa chambre, de là, il pouvait voir la porte de chez les Wolfman.
Quand il vit Hanse sortir, il ouvrir vite sa fenêtre.

- Eh ! Hanse, "cria" Fred.

Celui ci releva la tête étonné et vit le blond, emmitouflé dans une couverture.

- Fred ?

-Je ne vais pas à l'école aujourd'hui!

- ah... Bon d'accord..

Fred le regardait, pour voir si Hanse était triste, mais celui ci était neutre.
Le brun finit par faire un signe de main au blond et s'en alla pour le chemin du lycée.
Fred referma doucement sa fenêtre, son nez commençant à devenir rouge, ainsi que ses joues.
Il avait rêver du brun. Il avait rêver d'eux dans un champ pendant un couché de soleil.
Il s'embrassait langouresement, se touchant les joues pour se garder l'un contre l'autre.
Dans sa tête, Hanse embrassait merveilleusement bien.

Il rougit, rien que dit penser il se sentait tout chose.

- Freddy? Tu as besoin de quelques chose? Je t'ai préparé un bol de soupe bien chaud en bas, annonça la mère de Fred en pointant le bout de son nez dans sa chambre.

- Ho merci maman.

Fred était attendris par le geste de sa mère.
Il descendi en traînant les pieds, sentant déjà l'odeur délicieuse de la soupe, faite par sa maman.

Sa mère avait le pouvoir de faire les soupe les plus fabuleuse qu'il puisse manger. Il aurait préféré ce même pouvoir pour un autre plat gastronomique mais la soupe c'était bien.

En buvant sa soupe, Fred n'arrivait pas à chasser Hanse de son espris.
Il le revoyait dans son uniforme, un chaussette un peu okus basse que l'autre et son foulard mit à la perfection alors que lui avait du mal à bien le mettre.
Hanse lui semblait parfait. Il avait l'air de n'avoir aucun défaut.
Le blond se sentait comme un or la lois de penser de cette façon. Avant il trouvait l'amour homosexuel plutôt étrange et..... Assez répugnant. Mais là, il se m'était à fantasmer sur son nouvel ami.
Le brun lui avait chambouler la tête en peu de temps et ça, Fred ne le comprenait pas.

Surtout qu'il avait peur que ça se sache. Après tout, il n'y avait pas de raison, mais on ne sais jamais.
Sa mère était très.... Comment dire... Elle a le pouvoir qu'on toutes les mamans, celui de deviner quand quelque chose cloche et cela au détriment de notre volonté. C'est même plutôt énervant leur façon de le savoir. A croir qu'elles lisent dans nos pensées, c'est troublant.

En bref, Fred était même terrifié.

L'éviter ? Non... Je n'y arriverais pas. Alors, faire comme si de rien n'était ? Ça passera peut être? Après tout ce n'est peut être qu'une phase. Je me cherche peut être, pensa le blond, je pense que... Je vais arrêter de traîner avec Hanse... Juste quelques jours. Finalement, être malade est mieux que je ne le pensais.

Mais le jour d'après, Fred s'ennuyait déjà terriblement. Hanse lui manquait, il le voyait partir le matin sans lui et ça lui fendait le coeur de pas pouvoir lui parler.
Le jour suivant, c'était déjà samedi et Fred n'allait pas mieux. C'est même pire, il était transpirant, et manquait tellement de force, qu'il n'arrivait même pas à se mètre debout oiur aller espionné la maison des Wolfman.

En bas, sa mère fumait une cigarette à la fenêtre pour se détendre. Elle vit Hanse arriver avec un panier et elle sourit avant de vite venir ouvrir la porte avant même que le brun ne puisse toquer.

- Hanse! Qu'elle jolie surprise!

- bonjour madame Weber... Vous allez bien ?

-bien oui. Merci de t'en inquièter. Tu es là pour Fred?

- oui, je sais qu'il est malade, et.. Je me suis dis que comme il ne voyait plus grand monde, il aimerais peut être que je vienne le voir ?

- biensur !! Monte Donc, mais ne t'approche pas de trop, je ne voudrais pas que tu tombes malade toi aussi. Elle lui ouvrit la porte et Hanse rentra. Tu sais où est sa chambre, je te laisse monter.

-merci madame.

Puis il monta d'un pas léger.
Fred avait un gant mouiller sur son front pour atténuer sa fièvre, mais le gant était lui même devenu très chaud.

Le brun arriva dans la chambre du blond et sourit en le voyant dans son lit, à "l'article de la mort".

- Eh bien... Te voilà dans un bon état.

Hanse s'approcha doucement et Fred tourna doucement la tête vers lui, regardant étonné son ami.

Hanse portait un simple short beige avec un tee-shirt gris un peu trop grand pour lui.

Fred souria presque.

- tu.... Tu ne met jamais de tee-shirt... D'habitude, souffla Fred doucement.

Hanse souria et posa son panier de côté pour ve'ir vérifier le gant de Fred et lui enlever du front.

- je sais... C'est Tante Louise qui me l'a donner. Il est à son maris. Je ne le connais pas, il marqua une pose, je vais aller rafraîchir ton gant, je reviens.

Puis il s'en alla mouillé de nouveau le gant de Fred avant de venir, faisant attention à ce que aucune gouttes ne tombent.
Il déposa la source de fraîcheur sur le front du malade qui frissonna.

- Ça va comme ça? Demanda Hanse.

Le blind hocha simplement la tête et se cacha la moitier du visage dans sa couverture.
Hanse sourit.

- j'ai apporter un livre, pour te faire la lecture. Ça fait longtemps.

- merci Hanse....il s'appelle comment ?

- La Puissance et la Gloire, dit Hanse en lisant le titre, je l'ai pris au hasard dans la librairie que tu m'as montré.

Fred sourira, Hanse avait donc eu le courage d'y aller tout seul. Incroyable.

Hanse s'assit en face de Fred, à son plus grand plaisir et mit ses lunettes. Il commença la lecture et le blond ferma les yeux apaisé, et quelques part heureux de savoir Hanse au près de lui.

Le brun était venu juste pour lui!! Il s'était inquièter pour lui et ça, Fred était aux anges. Il n'aurait pas rêver meilleur remèdes.

Quand L'amour Nous Est Interdit [bxb] (EN COURS)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant