06- for your love

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    Hey!
Je vais tenter un format post Instagram, qui s'inclue, où on voit leurs posts. Vous allez voir ça en fin de chapitre.
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Notre chemin se complique mais tourne au plus beau lorsque la voiture se fait complètement engouffrer par une foule nous dirigeant vers la boutique. Les réseaux sociaux sont si puissant, je l'ai compris avec cette famille, avec la rapidité de mon lycée à avoir découvert mon nom de famille et identité. Je souris et ne décide pas de poster sur Instagram ou autre, juste de filmer pour mon propre usage. Les filles le font et je repost. Après plusieurs passages, nous arrivons enfin. Nous devons descendre en premier, les filles autres que Victoria et les mecs dont Sandro et Antonin nous attendent à l'entrée.

— On y va. Lança Evanna, la plus courageuse pour ça et ouvrit d'un coup franc et efficace la porte, nous laissant toutes sortir.

Forcément, on s'arrêtait pour les photos, souriant, remerciant même si on avait comprit qu'on faisait parti du truc mais pas complètement, et ça nous allait. Le groupe, sous un bruit fou, faisant résonner tout, sorti à son tour. Je fixais mon point principal, ma boutique, enfin, la notre. Mais je priais pour le voir sortir de ce van.

— Damiano, une photo avec votre beau sosie!

Mon dieu, milles merci. Je crois que je paraissais folle mais courais vers l'interlocuteur de mon père et ce dernier, posant ma main derrière, au milieu de son dos et posa à ses côtés sous le regard larmoyant de ma mère ainsi que des deux garçons et des autres. Je l'espérais ce moment, le rêvais, le sanglotais et le répétais à dieu. J'avais aussi pris son suivi religieux très important.

— Grazie mille Damiano.

— Attendez, une aussi avec mon fils.

Pincez moi, les deux enfants et lui sur une photo? La dernière fois c'était Martia qui m'avait fait ça sur une logiciel de montage pour me consoler en me montrant combien je serais jolie à leurs côtés. Sandro se dépêcha, ayant peur que ce moment se brise et posa à nos côtés. S'il vous plaît, faites qu'après ça reste comme ça, que plus jamais on se sépare. J'aime mon papa.

La foule se rangea afin de pouvoir faire des groupes et passer tous un pied dans l'enseigne. Ma mère passa le ciseau à Victoria ainsi qu'aux autres femmes et toutes coupèrent la seule barrière à l'entrée. Une fois à l'intérieur, vous tombiez sur un stand de produits soin, crème, dans les rayons à gauche maquillage, à droite de même avec quelques parfums et au fond un peu de merch. Je sentis un poids s'installer contre moi. Si ce n'était pourtant pas Damiano, je ne fus pas déçue en trouvant Antonin.

— C'est superbe, bordel une boutique et photo avec ton père!!

— En espérant que demain ou tout à l'heure ce soir idem.

Il déposa un bisou sur ma joue, espérant la même chose pour moi.

— Gemm', va prendre les cinq premiers fans.

J'acceptais la proposition de ma marraine et commençais par le plus logique selon moi, les plus jeunes et leurs parents, proches. La plus petite devait avoir sept ans, la plus grande quinze ans. Les mamans me remercièrent pour ce cadeau. Je poussais la porte et les laissa entrer. Leurs « wow » me faisais craquer.

— Papa, les gars et Vic, venez. Criais-je pour les faire venir devant la boutique.

Ma mère me remerciais de tout son regard d'avoir eu ce mot gentil. Cependant mon père arriva comme si je l'avais appelé "Damiano" et pas "papa". Je n'y pensais pas trop. Il y a des fans, il ne va pas montrer un ahurissement face à un mot si facile pour les jeunes présents ici ou du moins du logique extrême que j'appelle leur idole par le rôle qu'il a, ou devrais avoir, sur moi.

𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant