The End Of The World - Eren x reader

9. Elle est dure à avaler la pilule.

-Je préfère vous prévenir. Ce chapitre contient une scène de violence. Ceux qui ne supportent pas ça, descendez jusqu'au point de vue d'Eren : ne vous inquiétez pas, vous n'aurez rien raté de l'histoire si vous ne lisez pas cette partie hehe :). Sur ce, bonne lecture ! -

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t/p, arrivée au campement ou vivent ses bourreaux
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-Pourquoi est-ce que vous avez fait ça !! Hurlai-je, sentant la colère monter de plus en plus.

Mon "père" soupira d'un air las, comme il avait l'habitude de le faire pour me signifier son dégoût et me rappeler à quel point j'étais une merde.

Sauf que ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il avait déjà signé son arrêt de mort. Plus il faisait le malin, plus mon envie de le faire souffrir croissait.

Oh, continue de faire le malin. On verra bien qui gagnera enfoiré.

Je dégainai une flèche, et visai sa main. Le projectile alla clouer sa main au sol, et il hurla de douleur.

-Mais non, faut pas crier ! Tu veux pas que je t'attache le deuxième bras, si ?

Ce fut au tour de sa femme d'hurler. Roh, sérieusement, ils peuvent pas fermer leur grande gueule ?

Soudain, une douleur fulgurante me traversa le bras.

Je venais vraiment de me faire planter le bras par un sac à merde comme elle ?

Seul la colère déformant mes traits, je fixai le visage de cette femme tordu par la peur, le souffle haletant et sa poitrine se levant frénétiquement au rythme de sa respiration saccadée.

Pathétique.

Je la repoussai avec mon pied, la faisant basculer violemment en arrière. Avec une grimace, je retirai d'un coup sec le couteau resté planté dans mon bras. Je m'approchai de mes deux victimes, sortant la corde que j'avais gardé dans ma poche et les attachai.

-Si tu penses pouvoir t'en sortir comme ça, tu te trompes ! Dit l'homme, et il me cracha dessus.

Je m'essuyai, dégoûtée.

-Peut-être bien, commençai-je en m'agenouillant, mais j'ai bien peur que vous ne soyez malheureusement plus en vie d'ici quelques heures.

-Co-comment ça quelques heures ? bredouilla la femme.

-Ne t'en fais pas, tu vas bientôt le savoir, lui répondis-je en souriant, dites moi, vous ne pouvez pas me donner le nom de mes parents biologiques ? Ce serait sympa de le savoir tiens.

-Alors là.. commença-t-il en rigolant, je sais même pas. Et tu sais le plus drôle dans l'histoire, ce sont leurs dernières paroles...

Trop c'est trop. Je commençai à le ruer de coups de poings, pendant que l'autre truie hurlait sur le côté. Cette raclure de mes deux osait mal parler de mes parents biologiques ? Et en plus, de ce que j'ai cru comprendre, c'est lui qui les avait tués ?

Pourquoi ? Pourquoi avoir fait ça ?? Il m'avait volé une enfance normale, des parents aimants, toute une vie. Tout avait été foutu en l'air par sa faute, et il osait encore ouvrir sa grande gueule. Et ben très bien, je vais te l'ouvrir encore plus grand ta sale gueule.

Je pris mon couteau, et alors que je l'approchai de son visage, un coup de pied que je n'avais pas anticipé de sa part vint s'abattre sur ma jambe.

Ouch.

Je reculai en grognant, et re-sorti encore plus de corde pour attacher ses jambes à cette enfoiré. Maintenant, je pouvais y aller.

Après de longues minutes où des cris de douleur me cassèrent les oreilles, et les pleurs de la femme, je les achevai tous les deux d'un coup de flèche en les insultant.