Torture et Espoir

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ATTENTION, ce chapitre comprend des scènes VIOLENTES(mutilations) et un LANGAGE VULGAIRE. Âmes sensibles, s'abstenir! Je mettrai un chapitre de résumer pour les plus sensibles.

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PDV Ayame (Itami):

Alors que le ninja disparaît dans un tourbillon de pétale, je souris et tombe à genoux de douleur. La marque du sceau laisse échapper une fumée violette preuve que ce maudis serpent la activé... Tout mon être semble se consumer de l'intérieur. Mon sang pulse dans mes veines et mon nez se met à saigner.

"J'espère que se ninja pourra rentrer chez lui" pensais-je

Orochimaru: -Sâle incapable! N'as-tu donc pas compris que tu m'appartiens?! Tu n'aurais jamais dû faire ça Itami..!
J'avais la tête baisser repensant à ces dernières années avec honte. Comment avais-je pu laisser tomber?
Abandonner l'espoir de revoir ma famille?! Abandonner jusqu'à mon nom...

"Je ne le laisserai pas gagné! Je suis Ayame Uchiwa et je ne laisserai pas Orochimaru me faire oublier qui je suis!"

Moi: -Ayame...
Ma voix est basse cependant j'ai parlé assez fort pour que le serpent l'entende.
Orochimaru: -Quoi?!
Je relève la tête vers lui rageusement.
Moi: -Je m'appelle Ayame sale serpent!
Ma voix, clair et forte, résonne dans la salle. Je sais que je vais payer cher cet affront, mais je ne regrette rien. Malgré la douleur que m'inflige le sceau, je me sens pour la première fois, depuis 12 ans, libre.
Orochimaru, dans un excès de colère, me giffle violemment. Sous la puissance du coup, ma tête par sur le côté.Cependant, je me tourne à nouveau vers lui et le toise méchamment.
Orochimaru: -Il semblerait que je doive te dresser une nouvelle fois. Emmenez la!

Sous les ordes d'Orochimaru ses deux laquets s'avancent vers moi. Ils m'attrapent les bras et commence à me traîner vers la sortie. Leurs poignent sont si fortes que je suis persuadé qu'elles me laisseront des bleues. Mes jambes, à bout de force, traînent parterre ne pouvant plus me porter. Mes paupières, de plus en plus lourdes, ne cessent de se fermer et de se réouvrirent. Épuisée par la douleur, je finis par m'évanouir.

~élipse de quelques heures~

Je me réveille dans la même position qu'il y a 12 ans. Attachée par les poignets aux chaînes relier au plafont, humide et couvert de moisissures, de la salle de torture. Plongée dans le noir, la seule lumière traversant la pièce provient du dessout de la lourde porte en métal en face de moi. Mes pieds touchent à peine le sol et mes bras, seuls supporteurs de mon poids, me font si mal qu'ils me donnent l'impression de pouvoir céder à tout moment. La tête lourde et brumeuse, à cause des derniers événements, j'analyse ma situation et cherche, vainement, une échappatoire à ce cauchemar commencé il y a maintenant 14 ans.

"Il faut que je sorte de là!"

Je commence à m'agiter cherchant une faille aux chaînes qui me retiennent. Vite épuisée de mon acharnement, je cesse tout mouvement, ferme les yeux, et me concentre sur mon chakra. Rien. Il ne me reste plus une goutte de chakra.

"La faute à ce maudit sceau!" Me dis-je

Au bout de quelques minutes, j'entends des bruits de pats de l'autre côté des murs. Une ombre s'arrête en dessout de la porte et un bruit de serrure se fait entendre.

"Merde!"

La porte, rouillée, s'ouvre dans un boucant de tout les diables. Un homme, aussi musclé qu'un buffle de foire, entre dans la pièce. Il est grand, environ 1,90m. Habillé tout de noir, le grand sourire sadique qu'il me porte me donne des frissons de peur et de dégoût. Cet homme, je le connais très bien. C'est le bourreau du serpent. Sans nom, les ninjas d'Oto l'appelle la vipère noir. Sadique et sans pitié, c'est lui qui s'occupe des tortures.

La vipère: -On se retrouve enfin Itami. Je suis heureux de pouvoir à nouveau m'amuser avec mon jouet préféré...
Il avance vers moi et caresse ma joue en souriant avant de me donner violemment un coup de poing dans le ventre. Je couine, ne voulant pas lui donner la satisfaction de crier ou pleurer. À demi replié sur moi même, et toujours suspendue au plafond, je tousse, essayant de reprendre difficilement mon souffle.
Il referme la porte et allume quelques torches accrochées aux murs. La pièce enfin illuminé, je remaque une table à ma gauche remplie d'outils de torture.  Il en prend un, que je devine être un fouet, avant de se retourner vers moi et de me dire:
-Tu vas voir on va bien s'amuser toi et moi!

Il me contourne et dechire le dos de mon T-shirt avant de s'éloigner et de me donner un premier coup. Le cuire du fouet me lancère la peau. Je sens mon sang couler de la blessure. La douleur est atroce, mais je me promis de ne pas crier. À la place, je me mords fortement la lange, laissant le goût ferreu du sang me remplir la bouche. Lorsque le deuxième puis le troisième coup fus donner je refis le même procédé. À chaque nouveau coups, l'arme repasse sur les plaies précédemment infligées. La peau et la chair de mon dos charcuté, se détachent par morceau, pour les plaies les plus importantes. La pièce se remplit vite de l'odeur acre de mon sang immaculant le sol. Je ne sais combien de fois le fouet a touché ma peau, mais mon bourreau contrarié de ne pas m'entendre hurler ou pleurer a soudainement arrêté et est sorti de la pièce furieux en claquant la porte.

"Je sais qu'il reviendra, mais je dois profiter de son absence pour trouver un moyen de m'échapper."

La douleur de mes blessures déjà insupportable est accentuée par chacun des mouvements entrepris pour m'échapper. Mon sang coule à flot et je me sens vite étourdie et vidée de toute énergie.

"Aller Ayame, n'abandonne pas. Pas maintenant que tu as retrouvé un semblant d'espoir!" Je me répète ces mots, encore et encore, pour garder l'espoir que ce ninja m'as apporté, malgré lui.

Ces mots, je me les répète depuis 3 jours. 2 jours où la vipère viens me torturer durant de longues heures en m'arrachant les ongles, un par un, tantôt lentement, tantôt brusquement. En me transpercant la peau avec ses kunaïs. En me brisant les os de la main avec une masse. Ou encore en me brûlant avec de l'acide. Pendant ces 2 putain de jours, je n'ai pas pleurée, je n'ai pas criée. Mais le jour où il est venu me violer, j'ai hurlée à m'en briser la voix, j'ai pleurée à en vaincre la sécheresse de Suna. Mais jamais je n'ai perdu l'espoir de rentrer chez moi et de revoir ma famille... Jamais!

À suivre: ➡️

La princesse au Sharingan doré. { Kakashi Romance }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant