Bonjours messieurs,
Enfin, c'est ainsi que vous aimez vous surnommer...
Les messieurs, gentlemans, n'sont pas aussi irrespectueux,
Mais, vu c'qui suit, cette appellation, j'vais vous la laisser.
Ici, j'n'ai même pas besoin d'présentations,
De toute façon, jamais, vous ne les entendrez !
Là-bas ? J'n'ai pas non plus besoin d'valorisation,
Puisque chez vous j'suis déjà catégorisée...
Me demandez-vous si j'ai bu ?
Bien sûr, pour le courage, mais sans abus !
Ne m'interrompez pas,
Je sais qu'aucun d'vous ne me reconnaîtra !
Mais vous devinez ce qui suit ?
Vous savez que j'vais lancer vos quatre vérités dans ces jolis visages !
Enfin quatre, plutôt trente-sept et demie,
Toutes bien écrites sur les versos de mes pages...
J'ai plusieurs choses à vous rappeler,
Tandis que vous essayez de me discerner...
Je suis venue pour me révolter,
De toutes vos insultes passées !
"La beauté est dans les yeux de celui qui regarde" mes chéris,
Comme Wilde l'a si bien dit !
Pourquoi vous faites mal à tant de ladies,
Lorsqu'elles n'ont pas les formes pulpeuses qui vous donnent envie ?
"Pour critiquer les gens, il faut les connaitre...
Et pour les connaitre, faut les aimer", vous n'êtes donc que des traitres !
Ça Coluche l'a cité avant de disparaitre,
Alors pourquoi je devrais comparaitre ?
Faut-il que je continue avec Bob Marley ?
Ne juge pas, car tu n'es pas prêt pour le jugement...
Quand tu parles de moi, quelqu'un d'autre te juge sûrement !
Est-ce trop vous d'mander de me foutre la paix ?
Comprenez-vous, au moins, que vos rumeurs n'sont pas crédible ?
Savez-vous que les gens écoutent pour que vous n'fassiez pas d'eux vos cibles ?
Les chats ont sept vies, moi, j'en ai trois...
La mienne, celle qu'les autres pensent et celle que certain inventent sur moi !
Même les auteurs inconnus l'ont dit,
Vos paroles sont durs avec celle qui vous font rêver ou pas,
Comprenez donc que je n'veux pas être désirée ici,
Par ceux qui, "les principes", ne connaissent pas...
Alors, oui, j'en ai trop dit,
Ou pas assez, puisque c'n'est jamais assez !
Vous faites plus pleurer que la maladie.
Je suis forte, mais pas assez...
Parce que c'n'est jamais assez...
Pour le concours de @Nyn_Everdeen <3
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Bouquet de pleurs
PoetryUn recueil de 50 poème où je vous livre mes expériences à travers des poèmes, des slams ou des simples textes. J'y cache mes plus grandes peurs, mes découvertes et mes doutes.