Dans tes iris dorés,
Je prends et n'ai jamais assez.
C'est trop dur de décrire.
Cette passion que personne ne peut lire.
Alors je plonge mon regard,
Dans tes yeux possédé de brouillard.
La poésie ne sera pas de trop,
Dans notre relation en porte-à-faux.
J'ai peur de te faire fuir.
Face aux mots que je fais périr.
Comme des bizarreries,
Découvertes petit à petit.
Je construis mes couplets,
Dans le calme et la paix.
C'est bien contradictoire,
Compte tenu de leur contenu sans espoir.
C'est facile de se plaindre,
Et surement trop de feindre.
Alors les meilleur préfère peindre,
Les visages que personne n'aime étreindre.
Dans tes iris dorés,
Je construis à la volée.
C'qu'il est trop dur de décrire.
Comme cette haine qui nous déchire.
Alors je plonge mon regard,
Pour voir ces moments devenus rares.
La poésie ne sera pas de trop,
Dans notre relation en porte-à-faux.
J'ai peur de te faire fuir.
En te montrant le pire.
Comme des gamineries,
Faites petit à petit.
Je construis mes strophes
Dans le calme sans personne qui m'apostrophe.
C'est bien contradictoire,
Compte tenu de leur contenu sans espoir.
C'est facile de se plaindre,
Et surement trop de feindre.
Alors les meilleur préfère peindre,
Les visages que personne n'aime étreindre.
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Bouquet de pleurs
PoesíaUn recueil de 50 poème où je vous livre mes expériences à travers des poèmes, des slams ou des simples textes. J'y cache mes plus grandes peurs, mes découvertes et mes doutes.