Chap 15: Je suis devenu la mort, le destructeur des mondes - Robert Oppenheimer

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La peur de vivre un évènement traumatique une deuxième fois, une prévision destructive. Que l'on ne peut ni retarder ni empêcher.

Un funeste destin que le désespoir nous réduis à attendre.

L'arrêt d'une vie et l'infâme continuité d'une autre faite de solitude.

Une maladie qui seule n'importe que peut, mais donne aux autres une toute nouvelle gravité.

Le retour un vainqueur d'une plaie qui ne cicatrisera jamais entièrement.

Une nouvelle aire de désolation se rouvre, accompagnée de son paysage cataclysmique, qui assassine toute chance de paix et de rédemption.

C'est dans un unique esprit que se réuniront les rois des enfers, afin de continuer de faire couler des larmes dans un monde où le soleil n'a de cesse de briller, ou le vent balaye les feuilles colorés et ou l'herbe verdoyante chatouille les pieds.

Une bombe nucléaire, c'est l'effet de la perte sur un corps.

L'impression que l'intégralité de sa peau se déchire, se décompose et exposé la chaire aux feu ardent, qui ne laissera même pas les os, d'un jadis dit humain.

Mon ressentiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant