𝐄𝐒𝐂𝐀𝐏𝐄 𝐓𝐇𝐄 𝐎𝐑𝐃𝐈𝐍𝐀𝐑𝐘.

191 30 44
                                    

    𝐂𝐑𝐀𝐘𝐎𝐍 de papier à la main, feuille posée devant elle et gomme ainsi que café sur les côtés de celle-ci, Margaret s'acharnait à réfléchir sur quelle expérience elle travaillerait aujourd'hui

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

𝐂𝐑𝐀𝐘𝐎𝐍 de papier à la main, feuille posée devant elle et gomme ainsi que café sur les côtés de celle-ci, Margaret s'acharnait à réfléchir sur quelle expérience elle travaillerait aujourd'hui.

En effet, après le départ précipité et par la même occasion paniqué de Hange, la rousse n'avait pas revu la concernée depuis une semaine. Elle n'avait eu aucun appel ni même un simple message ce qui devait signifier que soit cet Ackerman avait fini par la tuer - c'était très dommage si ça s'avérait être le cas, Hange était tout de même une bonne amie – ou ça voulait simplement dire que cet Ackerman, encore une fois, avait séquestré Hange afin qu'elle fasse son travail correctement, chose qui s'avérait le plus probable bien qu'elle ne connaissait aucunement cet homme. Par ailleurs, elle ne voulait pas spécialement le rencontrer au vu des réactions de ses deux amis scientifiques. Cet homme devait bien effrayé la brunette puisqu'il était rare que celle-ci ne s'inquiète autant. La dernière fois qu'elle avait vu Hange inquiète c'était quand elle avait finit à l'hôpital pour intoxication – foutue pesticide –. La biologiste était restée au chevet de la scientifique durant plusieurs jours entiers avant que la brune ne soit guérite à nouveau. Maintenant qu'elle y repensait, elle pourrait peut-être rendre visite à la chercheuse, si elle ne se trompait pas, la femme était ingénieuse de police technique et scientifique. En soit, elle était cloîtrée dans son laboratoire en train d'examiner divers empruntes ADN ou bien d'analyser des faux papiers pour ses collègues qui ont besoin de preuves pour leurs enquêtes. Chose qui s'avérait être compréhensible quand on faisait partit de la PTS. Sur cette pensée, la rousse termina d'une traite son café qu'elle avait tendrement préparé pour elle-même n'ayant pas de collègue travaillant avec elle, aujourd'hui. L'auburn ne prit le temps de ranger ses affaires et attrapa directement son téléphone – avec ses écouteurs –, sa veste, ses clés ainsi que le dossier Hitch Dreyse. Elle en profiterait pour lui rendre afin que cette enquête avance du mieux que possible. Margaret ferma son laboratoire à clé et partit sans même prendre le temps de prévenir Abel son patron, de son déplacement. Il était habitué à ce que la jeune femme parte une fois qu'elle avait fini son travail ou bien, simplement lorsque celle-ci était en panne d'indice ou d'informations. Chose qui arrivait une fois par semaine, environ. Elle sortit du bâtiment tout en saluant la seule secrétaire présente, Nifa. L'auburn déboucha dans sa rue animée puisque celle-ci se trouvait près de la Oebashi – oui, elle habitait Osaka –. La biologiste avait plus d'une vingtaine de minutes à pied avant de retrouver son amie qui travaillait à la Higashi Police Station. La naturaliste enfourna ses mains dans sa veste brun clair sans oublié d'avoir mis ses écouteurs et sa musique en route. Elle passa près de la Dojima River, passa devant plusieurs buildings d'affaires, école et halls bien connus par les habitants de Osaka. Comme elle l'avait prédit après une vingtaine de minute, elle arriva devant l'endroit où travaillait Hange. Enfin, ce n'était pas trop tôt. Au vu du froid qu'il faisait, elle aurait donné son âme pour arriver le plus vite possible. Margaret enleva ses écouteurs et désactiva par la même occasion sa musique. Elle rangea tranquillement son téléphone dans sa poche de jean et soupira un bon coup tout en se mettant droite puis, elle arbora un air confiant et sûre d'elle. La biologiste regarda un instant la grande bâtisse étrange. Cette station avait toujours été ainsi et les gens travaillant dedans étaient eux aussi étranges. Ou du moins, ils avaient tous des personnalités bien concrètes et particulières leurs correspondants parfaitement.

La naturaliste entra enfin dans la station non sans un petit soupir de courage. Voir toutes les têtes de ce commissariat et pour voir celle de ce dénommé « Ackerman », elle ne doutait pas un seul instant qu'il fallait avoir du courage. L'auburn se dirigea vers le comptoir où se trouvait certains policiers, elle reconnut aisément la vieille tête blonde qui lui faisait face. Elle n'avait pas besoin d'indices sur lui, il n'avait pas changé ne serait-ce que d'un seul de ses détails. Son air tête en l'air, ses sourcils blonds froncés et ses cheveux blonds rasés de près. Même sa moustache était restée indemne, mal entretenue. Il fronça encore plus les sourcils à la vue de la rousse qui lui fit un petit hochement de tête. Le blond se leva d'un coup sec en la pointant du doigt.

– La gamine bourrée comme un trou ! Cria-t-il dans tout le commissariat faisant retourné, derrière ses paroles, tous ses collègues. L'auburn eût un petit rire gêné.

– Et vous êtes Hannes.. Le blond reprit son calme et s'assit à nouveau. Il lui fit un simple sourire tandis que ses collègues retournèrent à leurs occupations.

– J'y crois pas.. T'as retenu mon nom même bourrée. Lâcha-t-il d'un air stupéfait.

– Faut croire.. Et vous avez oublié le mien. Le blondin se passa la main dans la nuque à son tour gêné. Il fouilla dans des papiers puis reporta son regard sur la jeune femme.

– Et donc ? Qu'est-ce qui t'amènes ici ma grande ? Me dis pas que tu as causé des problèmes à cause de ton alcool agité ? Questionna l'ambré sous le regard mi-pessimiste mi-sceptique de la rouquine.

– Pardon ? Elle haussa un sourcil pour appuyer ses pensées avant de soupirer. Non, je viens simplement voir Hange Zoe, votre membre de PTS, une femme brune aux cheveux ébouriffés et des lunettes.

– Oh je sais très bien de qui tu parles ! Margaret hocha la tête.

– Merci Hannes.. Je peux la trouver où alors ? Interrogea alors l'auburn.

– En bas, tout en bas.. Il y a des escaliers au fond, là. Montra le policier en pointant du doigt une porte juste à côté d'un bureau en verre. Ils étaient en réunion avant mais maintenant ça devrait être fini. Outre si cet Ackerman passe plus de trois heures sur ses réunions. Déclara-t-il en fronçant les sourcils. Margaret retroussa légèrement son nez signe que cela l'intéressait bien plus que ça ne le devrait.

– Ackerman ? J'entends beaucoup parler de cet homme, qui est-il ?

– Ackerman.. Un homme sortant de l'ordinaire, je peux te le dire. La rousse haussa les épaules, bien curieuse au sujet de cet 𝐇𝐎𝐌𝐌𝐄.

Sasha :p

Note de l'auteur : Oops, ça s'est publié tout seul 👀

𝐒𝐓𝐀𝐑𝐆𝐀𝐙𝐈𝐍𝐆Où les histoires vivent. Découvrez maintenant