𝐃𝐎𝐍'𝐓 𝐆𝐄𝐓 𝐓𝐎𝐎 𝐀𝐓𝐓𝐀𝐂𝐇𝐄𝐃.

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    𝐒𝐎𝐍 regard se posa sur les deux hommes devant elle, assis tout les deux aux côtés de Jean

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  𝐒𝐎𝐍 regard se posa sur les deux hommes devant elle, assis tout les deux aux côtés de Jean. Ses perles vertes passèrent du blond à l'allure colossal au brun aux airs timides. Elle souffla un court instant avant de croiser ses jambes devant elle. Elle était littéralement épuisée de cette situation. Cette enquête lui retournait le cerveau et lui donnait e,vie de rejoindre son père, au Japon.

– Donc, vous êtes Margaret Iyagi, la seconde biologiste aux côtés de Jean ? Demanda le blond dans un anglais parfait. Levi qui se trouvait à ses côtés haussa un sourcil, surpris. Margaret hocha la tête pour confirmer ses dires.

– Reiner et Berthold. Sachez que ce n'est pas contre vous, cet interrogation. Disons que je ne vous connaissez pas avant, erreur du Docteur Grisha Jeager. Mais croyez-moi, je suis sincèrement désolée de ne pas vous avoir rencontré plus tôt. J'aurai dû me douter que si j'avais une équipe à mes côtés, Jean devait également en avoir une. Souffla-t-elle en se passant la main dans les cheveux. Les cernes qu'elle avait sous les yeux montraient bien sa fatigue à ses interlocuteurs. Elle qui était hypersomniaque voyait ses heures de sommeil s'envolaient doucement.

– Ce n'est rien, nous aurions dû nous présenter plus tôt pour être honnête. Nous savions que vous étiez là, contrairement à nous. Jean nous l'avait dit. Déclara timidement le brun, Berthold. Margaret acquiesça la tête avant de porter son regard sur Levi.

– Tu veux bien me laisser faire ou bien je te laisse tout gérer comme le petit chef que tu es ? Demanda-t-elle se faisant fusiller du regard par le concerné.

– Ferme la, branle couille. Répliqua froidement Levi. La jeune femme fit une expression outrée en portant ses mains à son cœur.

– T'es le pire homme au monde. Comment peux-tu briser le cœur d'une femme ainsi ? Je croyais que toi et moi étions inséparables... Soupira-t-elle en faisant semblant de pleurer. Ce qui énerva, un peu, le plus âgé. Elle était vraiment, extrêmement, chiante parfois. Peut-être pire qu'Hange. Non, là, il abusait c'est vrai. Personne en pouvait être pire qu'Hange. A part une Hange venu d'une autre vie.

– Tiens, vous avez vu une femme ici ? Non parce que je n'en vois aucune. C'est fou que tu te considères comme une femme vu comment tu te comportes... Murmura le noiraud faisant un clin d'œil à sa collègue.

– Euh, culotté venant d'un homme qui fait fuir toutes les femmes en un regard. On est d'accord, les gars ? S'adressa-t-elle aux trois autres hommes qui regardaient la scène avec des airs amusés.

– Vous ressemblez à des chiens et des chats. Vraiment. Déclara Jean en riant ce qui fit sourire Margaret.

– Je suis le chien et t'es le chat, Levi. Même si t'es pas d'accord, tu ressembles à un chat noir alors l'affaire est vite réglée. En parlant d'affaire, il est temps de régler la nôtre. Les garçons, mettez-vous à l'aise. On a pas terminé. Reprit-elle en parlant sérieusement. La jeune femme se mit bien droite et prit un air confiant, peut-être trop sur le moment. Levi à ses côtés se mit plus à l'aise et imposant. Il écarta ses jambes et posa ses coudes sur ses genoux. Son regard vacillait clairement entre le blond et le brun.

– Vous étiez où hier en fin d'après-midi ? Demanda simplement la rousse en les regardant. Berthold se frotta ses mains qui paraissaient moites. Et ça, ni Levi ni Margaret ne l'avait loupé. Le brun lança un regard au blond qui hocha légèrement la tête, donnant son accord pour qu'il réponde à la question.

– Nous étions avec Mike et Nanaba. Nous voulions mettre des informations en commun sur les recherches que nous faisons, chacun de son côté. Répondit-il en regardant le mur derrière Levi. Son regard ne se posait jamais sur Margaret ou bien sur le caporal, Levi.

– Mais, à moins que je me trompe bien évidemment, c'est déjà ce que nous faisons lors de nos réunions matinales, n'est-ce pas ? Ce fût au tour de Reiner, le blond, de prendre la parole.

– Oui, Margaret. Cependant, il arrive que nous, les historiens, nous réunissons en plein après-midi pour parler de telles ou telles hypothèses que nous n'avons pas émis lors de la réunion matinale. Nous ne voulons pas laisser planer un doute surtout si une information que nous avons donné est fausse. J'imagine que vous pouvez comprendre puisque vous êtes une biologiste. Vous devez analyser chaque chose avant d'être sûre de vous et d'affirmer ce que vous recherchez ou sur quoi vous travaillez. N'est-ce pas ?

– C'est vrai, je comprends cette réunion dans ce cas. Mais, j'aimerai que si vous teniez ce genre de réunion, Jean et moi y soyons conviés. C'est important pour nous, les biologistes, d'écouter chacune de vos théories. Même si elles sont fausses, elles peuvent peut-être nous aider, vous comprenez ? Demanda-t-elle calmement avec un petit sourire. Les deux concernés hochèrent la tête.

– Et, à toute hasard, vous n'avez jamais parler de cette affaire à vos proches, n'est-ce pas ? Parce qu'avec ce qu'il se passe, si vous en avez parlé, le mieux c'est de me prévenir. Vous êtes tous en danger ici mais les personnes extérieures qui sont au courant de ce qui se passe ici, sont les plus en danger. Parce que vous, vous êtes protégés. Eux, non. Alors, si vous en avez parlé, j'aimerai vraiment être au courant. Je ne vous blâmerai pas de l'avoir fait. Lorsque nous sommes épuisés, nous pouvons facilement lâché une information sans le vouloir. Expliqua le noiraud en observant les réactions des historiens.

– Non non, Reiner et moi vivons ensemble et, honnêtement, nous ne voyons pas grand monde en ce moment à cause de toute cette affaire. Si nous avions dit quelque chose, je pense que l'un de nous deux s'en seraient rendus compte. Assura Berthold en rougissant sous ses propres paroles. Margaret haussa les sourcils face à ses dires avant de faire un grand sourire.

– Bon et bien, nous en avons terminé ! Désolée de vous avoir embêter avec ça mais nous ne sommes jamais trop sûrs surtout en ce moment. Jean, on se revoit plus tard pour la suite de nos recherches ! S'exclama-t-elle en se levant suivit de Levi.

Les deux sortirent de la tente sans dire un mot. Ils s'éloignèrent de celle-ci et sortir même du sentier. Margaret observa le ciel puis soupira. Elle devait réfléchir à toute cette histoire calmement. Levi semblait penser la même chose vu son air distrait.

– Margaret, on est d'accord que Berthold était angoissé ? Demanda le noiraud en regardant sa collègue qui hocha la tête.

– J'ai pensé la même chose mais vu qu'il a dit que lui et Reiner habitent ensemble, ça me semble logique.

– Comment ça ?

– Bah, Levi, ça semble logique. Réfléchis, si deux mecs comme eux, baraqués et grands, disent qu'ils vivent ensemble ? Tu ne crois pas que l'un deux va rougir ? Surtout si, en vérité, il se passe quelque chose entre eux. Non, franchement, je suis mitigée les concernant. Oui, ils pourraient être des traîtres mais je ne sais pas. J'ai ce sentiment qui me dit que ce n'est pas eux. Peut-être que la personne est proche de nous mais que nous nous doutons pas que ce soit elle ? Fit Margaret en pleine réflexion.

– Alors, tu penses à quelqu'un ? Demanda Levi sceptique.

– Non, c'est bien ça le problème.

Pourtant, jamais ils ne se douteraient que la personne... Non, les traîtres étaient proches d'eux. Ou le 𝐃𝐄𝐕𝐈𝐄𝐍𝐃𝐑𝐀𝐈𝐄𝐍𝐓.

OMG STOP J'AI TROP HÂTE DE VOUS ÉCRIRE LA FIN ALORS QU'ON EN EST LOIN. 🐰

𝐒𝐓𝐀𝐑𝐆𝐀𝐙𝐈𝐍𝐆Où les histoires vivent. Découvrez maintenant