J'ouvris les yeux avec difficultés. Mon crâne souffrais atrocement. J'avais peine à garder les yeux ouverts sous les néon de la petite pièce en béton ou j'étais enfermé. Ma bouche étais pâteuse et ma gorge me brûlait. Depuis combien de temps j'étais enfermé ? Nous avais t'il seulement donner de l'eau et de la nourriture ? À se nom mon estomac gronda férocement. Ou étais les filles ? Nos familles devait commencé à s'inquiéter.Nous avions toute les quatre une famille, qui nous aimais et nous chérissait loin au Canada. Au Québec. Depuis un ans et trois mois nous vivions les cinq dans une belle maison en Ontario. Ce qui étais assez loin de notre famille. La porte s'ouvris et un homme grand et musclé entra dans la pièces.Il devait avoir 5 ans de plus que moi tout au plus. Des cheveux châtain frisé et une carrure impressionnante.-Allez ont se lève. Il dit. Le Chef est prêt à vous recevoir. Il me tendis un t-shirt beaucoup trop grand et des pantalon jean ordinaire. Il jeta un oeil furtif au niveau de ma Poitrine. Il n'y a rien à voir connard. Je n'hésita pas et lui jeta un regard sombre. Il détourna le regard avec un sourire en coin. Je me changea devant lui sachant qu'il ne baisserait pas sa garde. Le tout étant très difficile à cause de la chaîne qui liais mes poignets. Je vis qu'il m'observais légèrement mais sans rien de plus. J'avais envis de lui jeté une insulte au visage mais je m'abstiens. Réservant ma colère pour celui qui avais manigancer tout ceci.
Je sortis la première sans pouvoir m'empêcher de murmurer un petit : Pervers. Il souris et posa sa main dans le creux de mon dos me fesant signe d'aller plus vite. Nous allâmes de couloir en couloir. De gauche à droite puis de droite à gauche.
-Ont arrive bientôt ? Je soupira.
-Ont est arriver dans 3 , 2 , 1...Voilà princesse. Satisfaites de la balade ? Je lui jeta un regard noir et me plaça derrière lui pendant qu'il ouvrais une lourde porte de métal avec une clé ancienne accrocher à son cou. Un long grincement metalique s'en suivis. La pièces étais beaucoup plus grande que je l'avais d'abord cru. Eva,Faith, Haley et Layla étais assis sur des chaises autour d'une table. Aux extrémités et à l'autres côté des filles se tenait quelques uns des hommes qui nous avais attaqué à la boite de nuit.Elles avaient toutes les mains lier derrière leur chaise. J'essaya de communiquer avec elle par l'esprit mais en vint.
-Ne gaspille pas ton énergie inutilement. Vos chaîne sont fait d'un argent pur et ancien. Elles empêche toute énergie de circulé en toi quand tu la porte à la gorge et ou au poignet. Un homme âgée dans la trentaine aux cheveux poivre et sel, aux yeux noir se tenait assis à l'extrémité ouest de la table. A l'autre extrimité je pouvais voir le blondinets qui avais menacé Eva. Il portais des bottes d'armés avec un pantalon kaki et une chemise noire. Il posa ses pieds avec un bruit lourd sur la table. Les mains croisé derrière la tête. Je détestais et m'éprisait avec colère se mec a présent. Le sentiment avais l'air d'être partagé car celui-ci me jeta un regard emplis de haine. Une décharge puissante de colere m'électrisa de pars en pars. Je lui souris sournoisement et lui envoya des décharge de sentiment pur telle que l'amour et l'amitié. Il fremis et je lui souris maniaquement. J'avais apris a mes dépent que mieux valais surprendre son adversaire que le suivre dans son jeu.
-Qui êtes vous ? Je Demanda à l'homme à l'extrémité Ouest. Je fis de mon mieux pour que ma voix reste impassible et ne trahisse rien.
-Je suis Harris Anderson et voici Xander Black. Il désigna Blondinet du menton. Et le reste de c'est homme son mes meilleurs allié et soldat alors toutes révolte de votre pars sera inutile,voir un gâchis. Je vis alors se qui clochait a l'autre bout de la pièces se tenait de gigantesque chaîne en argent solidement accrocher au sol. Je regarda Harris droit dans les yeux.
-Que voulez vous ? Je Demande. Ses yeux sourirent,satisfait. Il croisa ses main devant lui sur la table.
-Pour l'instant nous voulons seulement te voir sous ta forme de louve. Je resta béate. Comment savait-il ?
-Jamais. Je siffla. Hors de question.
-Tu voit, je laisse le soin a mes hommes de te montrer un appercu de nos moyen de persuasion. Il rit sournoisement en se retournant.
-Apporter les chiens.
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Heavenly White ; Les Reines Éxilés
Fantasía《 -Attend ! J'aggripe son chandail tremper par la pluie. Explique moi alors, explique moi se que nous étions. Je lui demande doucement. Il se retourne et appuie son corps contre le mien. Je réprime un hoquet de surprise. Mes pieds touchent à peine l...