Je me réveille en entendant du bruit en bas et le ciel qui grondait en même temps comme si le temps était en accord avec son humeur.
Les murs de cette maison étaient entrain de trembler et sa langue traditionnelle claquait fermement et d'une voix aussi ténébreuse que puissante.
Il était là.
Probablement au courant, où peut-être, autre chose le mettait en colère.
Et juste au ton de sa voix, on pouvait comprendre qu'il n'était pas dans ses bons jours.
Je souffle et me relève doucement en remarquant que Omar et les garçons n'étaient plus la.
Je passe ma main sur mon visage, écarte les draps pour me lever.
Le bruit excessif que faisait les gardes devant ma chambre m'ont direct alerté. Mais mon cœur se mit à battre rapidement lorsque ils se mirent tous à saluer son altesse.
Et leurs discussions dans leur langue s'ensuivent avec une fermeté assourdissante.
Il venait par ici ? ... Il était l -
La porte s'ouvre brutalement me faisant sursauter la main sur la bouche mais lorsque je le vis pénétrer dans la chambre, les sourcils froncés, la respiration brutale et le regard brûlant.
J'ai pas pu comprendre ce qu'il ressentait tellement il était impassible.
Il se mit à me chercher du regard vu que je m'étais faufiler contre l'arrière de la salle de bain.
Ilyas - Putain Tan -
Je sortis timidement de ma cachette et lorsqu'il me vit, d'un pas furtif, il se retrouve rapidement vers moi, je fermai les yeux ne sachant pas ce qui allait suivre, et lorsque je sentis la force puissante de ses bras se caler contre mon dos et me ramener contre sa taille en pierre, je rouvri mes yeux limite du choque.
Il .. il s'est inquiété ? Il était inquiet ?
Il grognai me serrant un peu plus contre lui cherchant mon contact sauvagement, mais j'étais sous le coup de la surprise, incapable de faire un mouvement.
Il murmura deux mots en arabe faisant ressortir en moi multiples sensations inexplicable.
Il posa sa tête contre mes cheveux et me bombarder de bisous ce qui me fit réagir d'un petit rire à cause de sa barbe qui me chatouiller, avant que je ne puisse avoir la possession de mes bras à nouveau et le serre.
Enfin, avec son grand corps, le serrer, c'était un peu abusé.
Je mis juste mes bras autour de son large dos imposant.
Il sent bon..
Ilyas - Tu m'as foutu une ... une putain de peur bordel. Refait plus sa mama * dépose un baiser sur mon front * refait plus sa * un autre baiser *
Mes joues s'empourprer à la suite de ce petit surnom.
Je souris timidement et il prend mon visage entre ses deux mains.
