LIX.

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Anika - Une princesse couronnée par un homme d'affaires.

Partie - 56

Je m'étais allongée sur mon lit en pleurant. Je me sentais si ridicule et si mal à la fois. J'ai repensé a mes disputes avec Idriss, à mes paroles ou je défendais Myriam et sérieux ça me faisait très mal. 10 minutes après que je sois rentrée, c'est Idriss qui me rejoint. Je l'ai regardé avec mes larmes qui coulaient, il était adossé à la porte de notre chambre.

Moi : Je suis désolée Idriss. Excuse-moi

Idriss : Arrête de pleurer.

Moi : Tu avais raison, j'ai rien vu venir. Je m'en excuse, dorénavant je t'écouterai

Idriss : C'est vrai ça ?

Après sa phrase il s'était mis à sourire. J'ai cru qu'il m'en voulait mais voir son sourire m'a apaisé.

Moi : Oui c'est vrai

Idriss : Tu peux arrêter de pleurer ? Y a toute ma famille en bas, essuie moi tes larmes puis tu viens me faire un câlin et on descend rejoindre ma famille

Moi : Non j'ai trop honte

Idriss : Honte de quoi ? Viens

Moi : Non je ne descends pas. Ta mère va me poser beaucoup de questions et je ne saurai pas comment la répondre. Idriss j'ai trop honte

Il s'était mis à rire puis il est venu s'asseoir sur le lit.

Idriss : Je t'aime Anika, ne pense pas que la scène que tu as vu à baisser mon amour ou que ma famille va avoir des pensées bizarres. Il est vrai que ta cousine est bizarre mais pas grave. On fait avec, lave toi le visage et on descend. Ma mère te cherche, à peine rentrer dans le salon que t'a demandé et c'est Mehdi qui nous a dit que tu étais dans la chambre

Moi : T'es sur Idriss que ta mère ne va pas me poser des questions ou autre.

Idriss : Certain même, aller dépêche toi.

Je suis allée laver mon visage, j'ai mis de la crème puis je suis revenue dans la chambre. Idriss m'a fait un gros câlin, je l'aime cet homme. Il m'a répété qu'il m'aimait, j'ai eu droit à un bisou sur le front puis nous sommes descendus au salon. De ma petite voix j'ai salué tout le monde.

Moi : Salam aleykoum

Ma belle-mère : Aleykoum salam ma fille

Mon beau-père : Aleykoum salam, waouw donc ton ventre se fait autant voir maintenant 

Moi : Oui oui

Nayah : C'est trop bien, je suis trop pressée que tu accouches

Houssen : Pourquoi tu tiens Idriss comme ça ? Tu as peur de qui ?

Idriss : Moi même je ne comprends pas pourquoi elle tient mon bras comme ça

Saïd : Les choses de l'amour

Mehdi : Laissez là

Idriss s'est mis à parler en arabe, je ne comprenais rien. Mais j'ai compris que c'est de moi dont il parlait. Houssen me regardait et essayait de me faire rire. Je suis allée dans la cuisine, j'ai sorti à boire que j'ai posé sur la table puis j'ai demandé à les servir mais ils ont refusé sous prétexte qu'ils allaient eux même le faire.

Kassim : Anika ça va ?

Moi : Oui et toi Kassim ?

Kassim : Ça va aussi.

Anika Buhari's storyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant