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Anika - Une princesse couronné par un homme d'affaires.

Partie - 48

Je m'étais endormie avec beaucoup de difficultés. Le lendemain je m'étais réveille fatiguée, Idriss n'était pas à côté de moi. Je regarde l'heure, il était midi. J'étais allée prendre ma douche puis j'étais revenue dans la chambre. Au même moment Idriss entrait, il ne m'avait même pas lancé un regard. Durant deux petites minutes je faisais que de le fixer.

Moi : Idriss ?

Il avait tourné son visage vers le mien.

Moi : Tu peux répondre avec ta bouche

Idriss : Si t'as un truc intéressant à dire parle je t'écoute

Moi : Sérieux Idriss c'est quoi le souci ? On passe un bon séjour au Qatar, tu gâches tout à notre retour en France. Qu'est-ce qui t'arrive ?

Idriss : T'es une comédienne toi. Qui gâche quoi ? C'est toi qui ne sait pas t'exprimer, on t'explique un truc mais t'es tellement... je manque les mots

Moi : Tu parles mal de ma cousine Idriss, tu veux que je te dise quoi ? Oui ma cousine c'est une pute, je vais arrêter de traîner avec elle ?

Idriss : De toute façon c'est passé. Ta famille avant tout non ? J'ai compris

Moi : Tu mélanges tout. Ma cousine c'est ma cousine et toi t'es toi

Idriss : Moi je suis qui pour toi ? Ta merde ?

Moi : Non, t'es mon mari

Idriss : Donc toi tu manques de respect à ton mari ? Moi Anika j'essaie d'être parfait avec toi. Je ne le suis peut-être pas mais j'essaie de l'être. J'ai des défauts tout comme j'ai des qualités, je te donne toujours du respect, je t'élève partout où je vais parce que t'es mon trophée, j'essaie de te combler, je t'épaule mais sincèrement si tu n'es pas capable de me donner du respect alors toi et moi on a rien à faire ensemble

Mon cœur a faillit lâcher. Je n'étais pas prête, il m'a clairement fait comprendre qu'il serait prêt à me quitter. Tout le long de son discours il m'avait regardé droit dans les yeux.

Moi : T'es prêt à me quitter ?

Idriss : Je te fais juste comprendre que le respect passe avant tout. Depuis qu'on se connaît je te l'ai toujours dit, pour moi le respect est important, je respecte tout le monde donc je ne vois pas pourquoi on me manquerait de respect. Anika fait des efforts là dessus, toi et moi on est pas amis. Je suis pas tes potes de l'ifsi ou autre, apprends à me parler

Moi : Hmm

Idriss : C'était tout ?

Moi : Je ne veux pas qu'on soit en froid

Idriss : C'est toi même qui a cherché. Je t'ai expliqué un cas qui me dérange, je ne t'ai jamais demandé d'arrêter de traîner avec elle comme tu le cris. Je t'ai demandé de mettre des distances, je ne supporte pas le comportement de ta cousine. Son comportement me dépasse, c'est plus fort que moi. Hier j'étais gentil, je t'ai gentiment demandé un service, tu ne l'as pas fait. Là je te regarde dans les yeux, je ne veux plus voir ta cousine chez moi. Tu veux la voir ? Pas de souci, voyez-vous où vous voulez mais pas chez moi

Moi : Idriss tu vas loin

Idriss : Je t'ai prévenu

Moi : Chasse moi pendant qu'on y est

Idriss : Je ne chasse personne. Tu veux partir ? Pars, la porte est grande ouverte

Il m'énervait et je commençais à perdre patience

Anika Buhari's storyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant