(Urss x Reich) Tome 2/3 : Une Vie un Amour

Chapitre 9 : Discussion dans le dos...

Pour la première fois Urss n'avait pas son cache œil, ce qui laissait apparaître un œil d'une couleur or et un symbole de la même couleur. Une sorte de marteau et une faucille ?... Reich était surpris de voir l'autre œil de Urss, d'une beauté inimaginable...
Urss plaque Eprye à terre, il commence à le frapper de tout ces forces, Eprye essayer de se relever sans succès. Reich intervient, il prend Urss par le dos et le serre.

D Reich : Urss je t'en prie ! Arrête !

Urss : Pourquoi ? "s'arrête mais reste sur Eprye"

D Reich : Je sais qu'au fond c'est quelqu'un de bien... "chuchote à Urss"

Urss : Vraiment ?..

D Reich : Aller, s'il te plaît... Partons... Je ne veux pas rester là...

Urss : D'accord... De toute façon... J'ai gagné...

Eprye : Comme tu veux...

Urss : Hum...

D Reich : Aller... Urss...

Urss se lève et part avec Reich dans un endroit plus calme. Reich soigne Urss et lui met des bandages pour recouvrir son œil de couleur or.

Urss : Pourquoi tu les défends ?

D Reich : Eprye a l'air plus juste que les autres...

Urss : Tu trouves ?... "Dit-il douteux"

D Reich : Oui ! Enfin...

Urss : Si tu le dis... Merci de me soigner...

D Reich : De rien... Idiot...

Urss : Vraiment... "Rit-il un peu"

Après des courts bien chargé, Reich attend sa voiture auprès de son ami. Lorsqu'elle arrive il fait un dernier au revoir et monte. Que fut sa surprise de voir son frère assis lisant un livre.

E Germany : Guten Abend Dritte.

D Reich : Guten Abend große Brüder...

E Germany : Comment était ta journée ?

D Reich : Bien... Je me suis juste fait un peu mal à la main... Sûrement rien de grave.

E Germany : Laisse moi voir ta main.

Reich montre ça main à son frère. Germany appuie un peu sur la main de Reich.

D Reich : Aye !

E Germany : Ça n'a pas l'air d'être cassé...

D Reich : Ce n'est rien...

E Germany : Je demanderai quand même à vater de regarder pour toi.

D Reich : Ce n'est pas la peine... Il a d'autres affaires affaires... Je ne suis rien d'important...

E Germany : Hm...

Rentrer chez eux, Reich vit son père sortir de sa chambre d'un air exaspéré et partir en direction de son bureau.

E Germany : Vater !

Prusse : Qui y a t-il, Zweite ?

E Germany : Dritte s'est blessé à la main. Je me demandais si vous pourriez regarder voir s'il n'y a rien...

Prusse : "soupire" Bien, Dritte. "Dit-il se tournant vers le plus petit"

D Reich : Oui vater...

Prusse : Laisse-moi voir ta main.

D Reich : Ce n'est pas la peine, vater...

Prusse : Ne me fait pas répéter.

D Reich : Ou- oui...