Chapitre 18

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Volkov sourit en entendant les mots fais-moi l'amour. Il n'aurait jamais pensé que cette jeune femme se montre si audacieuse. Le criminel s'écarta de la blonde sans la lâcher du regard, puis il s'agenouilla le plus lentement du monde devant elle, dans le but qu'elle sache ce qui allait lui arriver ; cela fonctionna à merveille. Éléna rougit davantage.

Volkov releva lentement la robe rouge. Éléna, franchement embarrassée par la production excessive de fluide intime, serra ses cuisses au possible et priait pour que son amant ne soit pas rebuté par son excitation. Ce dernier coinça le bas de la robe dans la partie supérieure, puis il plaça ses mains entre les jambes de la jeune femme. Cette dernière, honteuse, plaqua les siennes sur les doigts de son amant.

— Un problème ? s'enquit-il.

— Je... Vous voyez, je...

— Tu mouilles beaucoup ? demanda-t-il en regardant Éléna, droit dans les yeux.

Cette dernière déglutit et rougit encore plus. Quelle honte, mais quelle honte ! Elle n'avait pas besoin de répondre, Volkov connaissait la réponse.

— Laisse-toi faire, ma belle. Rien ne me gêne venant de toi. Bien au contraire.

Le criminel écarta les cuisses humides de la blonde et lorgna un instant son intimité, puis il procéda de même avec ses grandes lèvres afin de dévoiler la petite friandise qui l'excitait tant. Il ne fallut pas longtemps à la jeune femme pour laisser échapper un soupir. Volkov mordilla doucement l'extrémité de son clitoris avant de la lécher. Éléna avait longuement attendu ce moment. Le brun prit soin d'alterné des mordillements à des succions, puis il introduisit deux doigts en elle et rapidement un troisième. Sa Rose gémissait de plaisir en voyant le bel inconnu entre ses jambes lui procurer énormément de plaisir.

Cela faisait plusieurs jours que Volkov s'était langui de revoir Éléna au club, avec l'envie de lui faire l'amour, mais malheureusement, à cause de ses affaires, ou plutôt des problèmes liés à son business, il n'avait pas pu s'y rendre. Pour autant, bien qu'en manque, il n'avait pas touché une autre femme depuis qu'il avait fait sa rencontre. C'est Éléna qu'il voulait, pas une autre et ce n'étaient pas les filles qui lui tournaient autour qui manquaient. Même sa favorite n'avait pas eu le droit à ses honneurs, alors que d'habitude, il la voyait au moins une fois par semaine. C'était la blonde qu'il désirait, c'était en elle qu'il voulait jouir.

Volkov leva les yeux sur son amante. Cette dernière, les yeux fermés, se mordillait la lèvre inférieure en haletant de plaisir. Elle avait une main posée sur le lavabo, elle s'y accrochait fermement pour ne pas perdre pied et sa seconde main agrippait doucement les cheveux de son amant. Ce dernier remonta, mordilla ses tétons sans cesser de caresser sa vulve avec son pouce. La jeune femme s'accrocha à ses bras musclés ; elle chancelait. S'il ne la tenait pas, elle se serait écroulée par terre. Tout ce que cet homme lui faisait était bon. Il poursuivit ses caresses et ses délicieuses intrusions jusqu'à ce qu'elle jouisse, criant contre son torse. Toutefois, elle eut tellement honte d'avoir autant mouillé qu'elle ne savait plus où se mettre.

— Pardon...

— Pourquoi tu t'excuses ? demanda-t-il, ses doigts toujours dans son petit intérieur.

— Je... Je vous ai sali.

Le criminel sourit, satisfait de l'état dans lequel il venait de mettre sa partenaire. Volkov l'embrassa et retira doucement ses doigts, puis il attrapa des feuilles dans le distributeur et s'essuya la main, sous le regard gêné de la jeune femme.

— Tu ne me salis pas. Au contraire. Ne dis pas ce genre de bêtises. J'aime ça. J'aime quand tu mouilles, quand tu gémis, que tu couines parce que je te fais du bien, énuméra-t-il en déposant des baisers le long du cou de la blonde.

MafiyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant