Freya, l'enfant pois(s)on.

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Notre histoire débute au beau milieu d'une foule en colère. Les rues parisiennes sont ravagées, les poubelles enflammées, les devantures de boutique de luxe fracassées, les forces de l'ordre ont perdu le contrôles. Les français ont passé la dernière années à voir leurs droits bafoués, leurs paroles ignorées, et la France assiste en ce 23 juillet 2024 à la plus grande révolution qu'elle eut à connaître. Le peuple était anarchique et les bombe lacrymogène n'avait plus aucun effet sur une foule en délire. À chaque fois qu'un nuage éclatait il y'avait toujours quelqu'un qui en sortait pour ravagé encore plus. C'est au beau milieu d'un soleil déjà bien couché que se dresse une silhouette féminine, sa longue chevelure fouettant l'air grisonnant de la capital. Elle avait le teint frais comme le cristal et des yeux vert comme l'émeraude la plus pure. Elle avait la digne chance d'être belle, extrêmement belle. Elle le savait mais n'avait pour autant jamais usée de son charme pour amadouer. Freya n'avait qu'une vingtaine d'année ce qui n'empêchait pas qu'elle aurait aimer avoir un monde encore assez longtemps en vie pour s'épanouir.

Le soleil disparaissait à l'horizon, malgré ça, jamais une nuit n'avait été aussi lumineuse. Les pneus calciné dans les déflagrations flamboyantes de flamme révoltés. Peu à peu, la lune prit le relais, regardant des cieux la France qui baignait l'océan d'une rage rouge et lumineuse. Freya, rejoignit son père qui été accoudé à un bar. C'était un homme sur lequel on pouvait lire sur le visage les marques de la vie. Il avait les yeux brun, des cheveux à peine grisonnés. Son père lui paya un verre avant de la regarder:

- Alors, cette manifestation t'en pense quoi ? Dit il d'une voix rauque, presque rêche.

- J'ai l'impression d'assister a la décapitation de louis XVI. C'est à la fois plaisant et effrayant. Elle avait une voix douce et chantante.

- C'est ce qui arrive quand le peuple n'a plus son droit de liberté. Cela aurait pu être évité si cette maudite réforme n'était pas passée.

- Dire qu'on se réveillera demain sans savoir si cette révolte aura servie à quelque chose. Dit elle sur un ton qui faisait ressentir son pessimisme.

Elle prononça c'est mot sans savoir que se soir serait le dernier de beaucoup d'entre eux. La foule était déjà bruyante mais elle le devenait de façon anormale. Les cris de révoltes laissèrent place peu à peu à des hurlements de douleur. Quelque chose d'effroyable semblait se passer mais, de son emplacement, Freya ne voyait pas grand chose. Les hommes et les femmes coururent au loin, dans une seul et même direction, tel des fourmis qui fuyait un insecticide. Freya s'avança un peu et vit la tour Effel qui s'effondrait sur le sol dans un bruit sourd, métallique. Puis une énorme détonation retentit, enfumant les rues d'un épais brouillard noir. Freya fut propulsé dix mètres plus loin dans les débris. Elle eu du mal à reprendre total connaissance. Quant elle se senti apte à se relever elle regarda les alentours avec un bruit sourd dans les tympans. Des centaines de corps inerte jonchaient le sol, baignant dans leurs propre sang, c'était une scène d'une horreur sans nul autre pareil. Freya n'eu qu'une seule idée en tête, retrouver au plus vite son père. Elle accourut dans les catacombes de la capitale recherchant au plus vite son père. Elle arriva devant le bar qui n'était devenu qu'un immense tas de roche et de corps. Elle regarda les lieux, une larme salée glissant le long de sa joue. C'est quand cette larmes se cala le long de ses lèvres qu'un homme sortit d'un peu plus loin. Freya courut en larmes rejoindre son père et le serra dans ses bras. Son père avait l'arcade droite baigné de sang.

- Ou est la voiture ! Dit elle a son père.

- Dans le parking souterrain vers la boutique Dior. Lui répondit il la voix affaibli.

Freya attrapa son père et l'extirpa des roche. Tous deux prirent la rues, si on pouvait encore appeler ça une rue, et s'avancèrent tant bien que mal vers le magasin. Ils n'étaient pas très loin, et rapidement les reste de la devanture apparurent sous leurs yeux. Ils y était presque quand le bruit sous d'une arme à feu traversa l'épais brouillard éclatant dans la rue une peur insoutenable. Freya se figea soudainement, regardant son père qui avait pris la balle en pleine cage thoracique s'effondrer sur le sol, elle vit alors dans ces yeux la vie partirent de lui. Freya regarda les alentours pour savoir d'où ça venait, mais l'air était si opaque qu'une chauve-souris s'y perdrait. Freya éclata en sanglot sur le corps inerte de son père. C'était son seul parent, elle qui l'avait chérie ne pouvait se résigner à le perdre de la sorte. Elle caressa sa joue comme si elle attendait une approbation, un mot, un acte mais rien. Rien. Son père n'était plus à ses côté en tant que vivant. Ou était il maintenant se demandait-elle. Et elle hurla, hurla un cri de douleur qui trancha le silence et rompit à jamais le calme éternel. Soudainement elle sentit en elle une étrange sensation, une rage pigmentée de remord. De remord car c'est elle qui avait incité son père à venir participer à la révolution, sans ça il serait rester sur son canapé. Et elle hurla pendant des minutes et des minutes, c'est quand elle reprit son souffle qu'une vive lumière bleu envahit ses yeux. Eux qui était vert changèrent pour un bleu glacial comme le sommet du mont Everest. Un bleu électrique et lumineux comme les néon d'un cabaret. Elle se releva peu à peu laissant son être aller à la folie. Une étrange entité semblait s'emparer de chacun de ces membres. Comme posséder, ses pieds s'élevèrent peu à peu du sol, elle flottait dans un océan de colère. Elle se tourna légèrement et vit au loin deux silhouettes qui apparaissaient en bleu comme ci elle avait sur le nez des lunettes de vision nocturne. Une part restante de Freya compris qu'elle ne les voyait pas mais les ressentaient comme un faucon ressentirait sa proie, un serpent ressentirait la chaleur de son repas. Elle les visionna avant d'agir à par le biais de l'entité, le son des os se brisant sous ça simple volonté.. Les deux hommes s'effondrèrent sur le sol. Freya venait de les tuer à distance sans qu'elle n'eu a faire quoique se soit. Puis elle aussi retomba sur le sol et plongea dans un profond sommeil, un coma lourd.

A̶̤͍̟̲͓͕͍̼͕͎̽́̒̇͝ţ̸̛̞̒̑̌́̄̽̀͝m̶̜̍̄â̸̠̋ḡ̴̛͓̬͒̓̉̉̐́͘̕͜è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜d̶͇͆̓̂̆͌͛͠d̶͇͆̓̂̆͌͛͠ō̵̝̭͙̊n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜s̷̠͕̪̥͐̌r̵̨͇̰̭̜̈́͑ è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ c̷̡̪̘͎̻̦̀͑̒̈̂̿̑̓̚͜͝h̸͎̲͍̉̉͊̈́̓̕͝â̸̠̋c̷̡̪̘͎̻̦̀͑̒̈̂̿̑̓̚͜͝ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ d̶͇͆̓̂̆͌͛͠è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜s̷̠͕̪̥͐̌

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