Armageddon

Plan d'infiltration.

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La nuit était tombé sur la ville. Les réverbères s'était petit à petit allumé éclairant des parcelles de rues par parcimonie. Freya et Côme étaient rentré assez tard. Tous deux étaient repassés par le plus grand des calmes par la porte du placard à balais. Freya, remit c'est talons et s'avança dans la cuisine pour boire un verre d'eau. Puis, elle leva les yeux vers son meilleur ami.

- On va le faire notre coup en douce à l'hôpital ? Dit elle un rictus sur les lèvres.

Côme regarda alors Freya avec fierté et rouvrit la porte du placard à balai. De l'autre côté de cette dernière, une scène d'une horreur sans nom se dessina, c'était la chambre 304. Freya s'avança alors vers celle ci.

- Les dames d'abord. Dit il.

- T'as désactivé les caméras ? Lui demanda t'elle.

- Pourquoi on est filmé ? J'ai pas vue de caméra, moi. Conclut il en esquissant un vaste sourire. Je le suis chargé de les faites disparaître, enfin l'entité la fais.

Freya rentra alors dans la pièce et eu un arrêt de sursaut en voyant le corp de la femme étendu sur le mur de gauche. Elle était assise dos au murs, les bras perpendiculaires au reste de son corps. Sur ses poignets avait été taillader à l'aide du couteau posé au sol des failles profonde et sanguinolente. Freya s'approcha doucement vers elle, amassant tous son courage pour ça, et regarda les plaies.

- « Jesus enfonce toi le crucifix ». Lit Freya. Visiblement cette femme avait un problème d'ordre religieux pour se scalper ça sur la peau.

Côme s'avança vers le murs lui aussi. Il regarda les inscriptions marquer au sang puis regarda les doigts de la victime.

- Et visiblement elle était décoratrice d'intérieur. Pas fan du choix de la peinture en revanche. Mais je pense pas que ce soit elle qui c'est fais ça. Dit il en regardant le visage baigné de sang de la femme . Regarde ses mains ont été cloué sur le mur.

Freya regarda alors les paumes de mains et remarqua qu'effectivement deux énormes clous avait été planter à même la chair. Seulement, dans la main droite, un monceaux de tissus était cloué avec la main. Freya attrapa le tissu.

- Touche pas, Freya ! Tu va laisser des empreintes !

- Je l'emmène t'en fais pas.

Elle arracha le tissu et l'ouvrit. Dessus était brodé une inscription : « Ava ». Elle retourna alors le tissu pour voir si il y avait autre chose. Mais rien. Elle l'inséra alors dans sa poche et se releva. Elle fixa le sol. Le sang c'était étalé sur tous le parquet de la chambre d'hôpital. Mais une longue traîner c'était un peu trop étalé pour que cela soit normal. La ligne sanguine s'étendait jusqu'en dessous du lit.

- T'as vue ça. Commença t'elle. Le sang.

Côme regarda et ayant compris où elle voulait en venir poussa d'une seul pensée l'intégralité du lit en fer forgé. Sous celui ci, le sang, c'était former en amalgame de chiffres et de lettres sur le sol. Freya saisit son cellulaire et pris cette formation en photo. Elle se dit que cela n'était pas du au hasard. Tous deux se regardèrent, perplexe. Ils avait tous deux un mauvais pressentiment...

•¥•

Ils tournaient en rond de le salon de la maison a Côme depuis une heure. Ils essayaient d'élucider tous ça mais aucune réponse ne leurs semblait appropriée. Côme déposa sur le bar deux assiettes de croque monsieur avant de s'asseoir en face de Freya. Il saisit sa fourchette en enfourna celle ci dans le pain croustillant.

- Comment peut tu avoir faim, Côme ?

Il releva la tête, la bouche pleine, des miettes sur le coin des lèvres, emmitouflé dans la barbes.

- Parce qu'on a rien manger ce midi. Lui répondit il après avoir avalé ça nourriture. Qu'on a rien manger de la journée et qu'il est déjà bientôt minuit passé.

- Tu as raison. Mais tous ça ne me plaît pas. Quelque chose n'est pas clair. Qui est Ava ? Qui a fais ça à cette femme ? Ava ? Quelqu'un d'autres ? Et ces chiffres sur le sol, ils veulent dire quoi ?

- Pour ce qui est des chiffres ça peut tous et rien dire. Ce qu'il me plaît pas, moi, c'est que j'ai l'impression de me jeter vivant dans une toile d'araignée géante. Sauf que les proies, c'est nous. Elle était sûrement là au mauvais moment.

Freya regarda la photo sur son téléphone. Il attrapa le bout de tissu dans ça poche, un stylo posé sur le bar, et se mit à retranscrire presque parfaitement le cliché. C'était un pentacle, une étoile dessiné d'un trait, en son centre trois chiffre :3,0,4. Les mêmes numéro que celui de la chambre. Ce dessin avait quelque chose d'étrangement familier. Freya l'avait déjà vue quelque part mais elle ne se souvenait pas d'où. Freya eu l'idée du siècle qui fusa alors dans ça tête. Elle attrapa son téléphone et ouvrit Google.

- Tu fais quoi ? Lui dit Côme. Tu viens de le refaire pour le reprendre en photo ?

- Je fais confiance à la nouvelle technologie Côme, l'intelligence artificielle. Je la prend en photo dans Google et lui va me donner toute les infos qu'il possède de cette image.

En un rien temps, Google lui ouvrit une page internet. C'était le site d'une boutique de prêt de sandwich qui avait ce symbole sur son enseigne. Et elle se situer non loin de la tour Effeil.

- Je sais où on va aller demain. Dit elle en tournant son téléphone vers Côme.

- une sandwicherie ?

- C'est ça. Mais pour l'heure on va allez se coucher. Autant prendre des forces pour demain. Bonne nuit, Côme.

- Mais... commença t'il en la voyant partir. T'as pas toucher à ton croque monsieur.

Le temps qu'il finisse sa phrase, Freya était déjà en haut des escaliers. Lui qui était d'un tempérament de feu n'arrivai plus à suivre sa meilleure pote qui semblait se métamorphoser sous ses yeux, impuissant. Il termina son assiette, la mis dans le lave vaisselle et monta dans ça chambre. Il s'installa sur son lit, les yeux rivé dans les étoiles qui transperçait son velux. Il finit par tomber de fatigue...

D̸̜̼̻̟̺̘͉͉̍̀̈è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜s̷̠͕̪̥͐̌ō̵̝̭͙̊l̶̘̫͚͎̟̙̺̼̦͈̋̽̔è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ d̶͇͆̓̂̆͌͛͠ â̸̠̋v̷̧̬̽͂́̎̉ō̵̝̭͙̊ī̶̧͙͖̲̘r̵̨͇̰̭̜̈́͑ â̸̠̋ v̷̧̬̽͂́̎̉ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜s̷̠͕̪̥͐̌ f̴̧̭͓̘̱̖̯͋̇͒̀́â̸̠̋ī̶̧͙͖̲̘r̵̨͇̰̭̜̈́͑è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ c̷̡̪̘͎̻̦̀͑̒̈̂̿̑̓̚͜͝â̸̠̋
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