Armageddon

Appel anonyme.

J̶̛̙͓͂͊̿̃͛̽̿̂è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ v̷̧̬̽͂́̎̉â̸̠̋ī̶̧͙͖̲̘s̷̠͕̪̥͐̌ d̶͇͆̓̂̆͌͛͠è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜v̷̧̬̽͂́̎̉è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ī̶̧͙͖̲̘r̵̨͇̰̭̜̈́͑ d̶͇͆̓̂̆͌͛͠ī̶̧͙͖̲̘è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜ v̷̧̬̽͂́̎̉ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜s̷̠͕̪̥͐̌ v̷̧̬̽͂́̎̉è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜r̵̨͇̰̭̜̈́͑r̵̨͇̰̭̜̈́͑è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜z̷͋̎͒̆͂̏̔̓͜

Côme et Freya, traversèrent alors la porte. Ils avaient un léger goût âpre dans le fonds de leurs palais. Tous ça c'était enchaîner si vite pour eux. Comme quoi la vie peut parfois être étrangement folle. Freya, referma alors doucement la porte et abaissa la tête vers le bois sillonné du parquet. Côme se retourna alors vers elle et la fixa un instant de ses yeux bleus où un océan de sentiments faisait rage.

- S'il te plait, Freya, dit moi que c'est un rêve ou je ne sais quoi. Dit-il tout calmement. Je crois devenir fou, rassure moi.

Freya releva alors la tête vers son ami. Une question avait surgit en elle comme un lion sur ça proie au milieu d'une savane. Une question qui n'avait pourtant aucune réponse raisonnable et fiable.

- En y réfléchissant... Commença t'elle.

- Me dit pas que tu va croire a tous ça et encore moins pas a cette vieille chouette cinglée, je t'en pris.

- Non mais... Tu mas bien dit que l'hôpital t'avais contacter quand j'étais là bas ? lui demanda t'elle en regardant son ami qui semblait tracasser par tous ça.

- Oui, ils m'ont appeler. Et ça change quoi à la donne, Freya ?

- Ca change que je ne sais pas comment ils auraient put obtenir ton numéro de téléphone alors que tu n'est pas de ma famille ni même inscrit dans n'importe laquelle de mes fiches médicales. Comment ils auraient pu t'appeler dans ce cas la ?

Côme regarda Freya un instant. Effectivement quelque-choses n'allait pas dans tous ça. Rien ne pouvait justifier qu'ils aient eut accès à son numéro de téléphone.

- Je n'en ai aucune idée, Freya. Dit il de façon détacher. Je me suis jamais poser la question en réalité.

- Moi non plus je ne me l'étais jamais posée, Côme. Mais faut bien dire que ce n'est pas vraiment logiques maintenant qu'on y pense ?

- Le mieux pour en avoir le coeur net serait d'aller leurs demander le pourquoi du comment. Dit Come, comme ci il était devenu l'enquêteur de cette affaire.

- On ira leurs demander dès demain matin, à la première heure. C'est là où il y'a le moins de monde. En attendant je pense que le mieux serait qu'on aillent se coucher.

- T'as raison. Bonne nuit à toi, Freya.

Les deux se séparèrent pour rejoindre leurs chambres respectives. Freya, arriva dans sa chambre et s'installa alors sur son lit. Elle regarda longuement le plafond avec un œil contemplateur. Elle se demandait si tous ça n'avait pas un sens finalement. Est ce que la vieille dame avait raison malgré son dépit. Elle tapota son oreiller avant d'essayer de s'endormir, vidant son esprit tant bien que mal. En moins de temps qu'il ne faut à la lune pour dominer le ciel nocturne, elle s'en alla chez Morphée.