Côme, l'enfant miracle.

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D̸̜̼̻̟̺̘͉͉̍̀̈ī̶̧͙͖̲̘è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜ â̸̠̋ ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ p̸͕̗̃̔́͑́͝r̵̨͇̰̭̜̈́͑ō̵̝̭͙̊j̸͈̆͌̂̋̑́͂͜͠è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ţ̸̛̞̒̑̌́̄̽̀͝v̷̧̬̽͂́̎̉p̸͕̗̃̔́͑́͝ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜r̵̨͇̰̭̜̈́͑ c̷̡̪̘͎̻̦̀͑̒̈̂̿̑̓̚͜͝h̸͎̲͍̉̉͊̈́̓̕͝z̷͋̎͒̆͂̏̔̓͜c̷̡̪̘͎̻̦̀͑̒̈̂̿̑̓̚͜͝ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ d̶͇͆̓̂̆͌͛͠ è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ţ̸̛̞̒̑̌́̄̽̀͝r̵̨͇̰̭̜̈́͑è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜s̷̠͕̪̥͐̌

La nuit s'était soudainement retourné au noir, le ciel perdit rapidement sa teinte rouge pour une robe noir, sinistres. Un jeune homme était allongé sur son lit, il avait les yeux bleus, plongé à travers un vasistas à peine ouvert. Son regard scrutait les étoiles qui d'ici lui semblaient comme un voile noir percé de troue. Ses cheveux blond, coiffé en bataille, reflétaient la douce lumière d'une bougie qu'il avait mis sur sa table de chevet pour désodorisé sa chambre. A 22 ans il avait toujours la tête ailleurs, pas par envie mais parce que son enfance lui avait été volé. Son corps en paraissait 22 mais son âme étais déjà aussi mûre que celle d'une personne de 75 ans et a la fois si jeune. Il se releva de son lit, mis les deux pieds à terre mais pas ça tête, puis il s'avança vers la cuisine pour se servir un verre d'eau. Il eu une pensée à tous ces hommes qui manifestaient dans les rues, il fallait en avoir du courage pensait-il d'eux.

Après quelques minutes dans ça cuisine, il se résigna à allumer ça télévision pour y voir les informations. Bien qu'habituellement ce n'était pas ça préoccupation mais vue ce qu'il se tramait se soir, il jugea positive de s'y intéresser. Il regarda alors une femme, des larmes sur chaque coin des ses joue. C'était la présentatrice du journal.  Pour une raison inconnue elle faisait son journal à bord d'un hélicoptère, derrière elle en arrière plan des nuées d'oiseau noir et un épais nuage. Côme pensa qu'il s'agissait des bombes lacrymogènes ou de tous autres moyens que la sécurité aurait trouvé pour éloigner la foule. Il comprit vite que la réalité était tous autre.

- ... un massacre. Une foule d'homme en noir a surgit de part et d'autres de la manifestation et ont abattue des centaines d'hommes. Les autorités qui n'ont pas été touché tente de sauver ceux pour qui ils ne leurs est quasiment rien arrivé phy...

Côme compris que tout était fais pour qu'une bonne nouvelle soit une désillusion. Il prit son téléphone en main et envoya un message à ça meilleur amie dans la seconde qui a suivit cette phrases. Ne voyant aucune réponse, il appela alors directement Freya à la quête d'une réponse sûre et rassurante. Après quelque sonneries ils tomba sur sa messagerie. Aussitôt son coeur percuta sa cage d'os, le stress pris en lui une place si grande qu'il eu l'impression de mourir. C'est alors que son téléphone se mit a sonner, l'appel était anonyme. Il ne se fit pas prier pour décrocher.

- Freya t'es où ?! Dit il aussi vite qu'une balle en argent.

**Monsieur Walters. Dit une voix féminine. Hôpital Dieu-donné, je vous appelle car votre meilleur amie est actu...**

- Comment va t'elle ?! Coupa t'il d'un ton sec, dur comme le diamant.

**Votre amie est dans le coma, nous la prenons en cha...**

- J'arrive de suite !

Côme raccrocha immédiatement. Il attrapa sa veste en jean, les clés de sa voiture et claqua la porte aussitôt sans même la verrouiller. Il détala alors les marches extérieures de chez lui et courut jusqu'à ça Berlines allemande, il l'ouvrit aussi vite, il alluma le contact et d'un geste unifier démarra le véhicule et pris la route. Il prit les rues si vite que les aiguilles kilométriques tremblait sur le compteur. Il vrilla pendant 10 minutes dans les rues de la capital a 250 kilomètre heures, si rapidement que sa voiture semblait avoir Parkinson. Une fois arrivé sur le parking, il arrêta brusquement sa voiture et en descendit aussitôt pour courir jusqu'au baie vitré de l'hôpital Dieu-donné. Il poussa les portes d'un coups sec et s'avança rapidement vers la concierge qui se releva de sa chaise. Les murs de l'hôpital baignait dans un clignotement bleu et rouge, des sirènes accompagné en musique les pleures et les cris d'une foule traumatisée.

- Monsieur les visites s'arrête à 19 heure. Dit elle en le voyant prendre les couloirs.

Côme ne savait pas où était Freya, mais quelque chose en lui semblait avoir l'information. C'est quand un médecin accourut vers lui comme pour lui faire barrage qu'il sentit être pris par une entité. Le médecin s'interposa face à Côme et lui dit d'un ton désapprobateur :

- Vous ne pouvez pas aller plus loin. Pas de soir en tous...

Mais le corps de Côme ne lui appartenait déjà plus. Tous deux avançait l'un vers l'autre d'un pas aussi déterminé qu'une marche militaire. On semblait assister à deux antagonistes qui ne s'était pourtant jamais vue. C'est à ce moment que le médecin senti ces pieds s'enfonçaient dans le carrelage. Il s'arrêta alors et compris que ce n'était pas au sens figuré qu'il s'enfonçait mais au sens propre. Le sol était devenu comme par magie un sable mouvant et avait perdu peu à peu une quelconque solidité. L'homme continua à s'effondrer jusqu'à à la taille tandis que Côme continua son chemin vers l'escalier, les yeux vert et lumineux comme ci une lumière ardente flambait à l'intérieur. En quelques seconde l'homme se retrouva totalement ensevelis par les carreaux en grès et commença à suffoquer dans le sol. Côme, inconscient de ses actes, prit la direction des marches et monta jusqu'au troisième étage. Il arriva là bas et avança jusqu'à la chambre 304. Comment le savait t'il ? Lui même n'en était pas sûr, juste un doux murmure ténébreux dans ça tête qui contrôlait ces fais et gestes. Arrivé devant elle, il traversa la porte comme ci elle n'avait pas existé, comme un mur d'air, une cascade d'eau. La porte était pourtant solide mais quelque chose à l'intérieur de Côme contrôlait son âme et son être et semblait être capable de manier la matière à sa guise.

Il regarda la pièce et y vit sa meilleure amie, elle était branché à un cardiogramme qui tissé sur des pixels noirs des va et viens blanc. Des lignes fines mais pourtant si habiles qu'on aurait dit une danseuse classique. Côme lui prit la main, caressa sa joue, et disparut aussi profondément en lui que dans la fosses des Mariannes. Quelques secondes sans même bougé un seul cil et le miracle se produit. Freya eu une respiration soudaine, comme ci elle revenait d'une terrible noyade. Et d'un seul et même souffle, son corps s'éleva et elle prononça, d'une voix qui semblait venir d'ailleurs :

- Armageddon.

Avant de retomber brusquement mais consciente sur son lit. Côme repris ses esprit soudainement et serra, avec de ci belles larmes, sa meilleure amie.

- A la vie... commença Freya.

- ... A la morgue. Conclut Côme.



L̸̼̞̰͘ h̸͎̲͍̉̉͊̈́̓̕͝ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜m̶̜̍̄â̸̠̋ī̶̧͙͖̲̘n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜s̷̠͕̪̥͐̌ţ̸̛̞̒̑̌́̄̽̀͝ p̸͕̗̃̔́͑́͝ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜r̵̨͇̰̭̜̈́͑r̵̨͇̰̭̜̈́͑ī̶̧͙͖̲̘è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ j̸͈̆͌̂̋̑́͂͜͠ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜s̷̠͕̪̥͐̌q̶̗̪̲̓͆̑͒͝ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜ â̸̠̋ l̶̘̫͚͎̟̙̺̼̦͈̋̽̔â̸̠̋ m̶̜̍̄ō̵̝̭͙̊è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜l̶̘̫͚͎̟̙̺̼̦͈̋̽̔l̶̘̫͚͎̟̙̺̼̦͈̋̽̔è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜p̸͕̗̃̔́͑́͝ī̶̧͙͖̲̘n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ī̶̧͙͖̲̘è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜r̵̨͇̰̭̜̈́͑è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ţ̸̛̞̒̑̌́̄̽̀͝ ī̶̧͙͖̲̘l̶̘̫͚͎̟̙̺̼̦͈̋̽̔
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Armageddon Where stories live. Discover now