Armageddon

Meme les monstres ont eu le coeur détruit.

J̶̛̙͓͂͊̿̃͛̽̿̂è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ v̷̧̬̽͂́̎̉ō̵̝̭͙̊ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜l̶̘̫͚͎̟̙̺̼̦͈̋̽̔â̸̠̋ī̶̧͙͖̲̘s̷̠͕̪̥͐̌ j̸͈̆͌̂̋̑́͂͜͠ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜s̷̠͕̪̥͐̌ţ̸̛̞̒̑̌́̄̽̀͝è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜ q̶̗̪̲̓͆̑͒͝ų̷͕̙͚͖̲̱̐̒̀̆̎̈͜ ī̶̧͙͖̲̘n̸͉̠̘̲̼̼̩͗͒̕͝͝ m̶̜̍̄ â̸̠̋ī̶̧͙͖̲̘m̶̜̍̄è̷̛̗̳͚̙͇̘͍͕̊̑̿͘͜

Côme se réveilla calmement de sa nuit. Il se leva de son lit, descendit dans le salon afin d'aller boire son café. Avant il saisit son paquet de cigarettes posé sur sa table de chevet. Arriver en bas, Freya avait déjà servi deux tasses. Côme s'asseyait sur sa chaise tandis que Freya lui emmener le cendrier. Il alluma sa cigarette d'un coup de briquet et se retourna vers elle. Elle tournait sa cuillère machinalement, le regard visé sur l'horloge cloué au mur: 7 heure 30.

- Je pense qu'on va devoir une discussion toi et moi. Dit il en expirant un amas de fumée grisâtre.

Freya se retourna vers lui, pris une cigarette elle aussi dans le paquet et se l'alluma.

- Tu va pas reprendre la clope. Lui dit il en l'attrapant rapidement avant qu'elle ne touche ses lèvres. T'avais réussi à arrêter.

- Tous ça,..., c'est effrayant. Et t'as raison. On avance vers cette toile d'araignée inexorablement mais sans savoir vraiment pourquoi on le fait. Reprit en elle en ressaisissant sa cigarette. Mais comme le monde risque de disparaître autant que je profite de ma vie, même si ça me pourrie la santé.

- Freya, tu ne crois pas cette vieille folle.

- Je suis pas sûr qu'on ai le choix d'y croire. Regarde nous. On est,..., différent. On fais des prouesses comme ci on l'avait toujours fais. On est capable de choses que le commun des mortels rêve de faire depuis des siècles. Mais je veux pas que tous ça disparaisse.

Côme vit Freya attristée, apeurée. Il lui attrapa la main, se rappelant qu'elle avait été là pour lui quand ça n'allait pas.

- Dans ce cas on fera en sorte que tous ça ne bouge pas d'un pouce. Que ce monde garde de sa superbe.

Freya se tourna vers lui, une larme sur la joue. Elle se leva et l'attrapa dans les bras. Elle remerciait les anges d'avoir permis que leurs chemins se croisent, que leurs cœurs ait le sentiment d'être entier à deux. Puis Freya, après quelques instant, se détacha de ses bras, bu son café et parti prendre sa douche. Elle alluma l'eau, la plus chaude possible. Ôta ses vêtements avant de se tourner devant le miroir pour se regarder. « J'aimerai tellement que tu soit là, Papa. » pensa t'elle. Elle rentra dans la douche. L'eau chaude se condensait en une épaisse buée sur le miroir de la salle de bain. Après dix minutes, elle sortit de la douche et attrapa une serviette qu'elle noua autour de sa poitrine. Elle brossa ses longs cheveux noir de jais tandis que devant elle, sur le miroir, un écriteau se dessina sur la buée. Freya regarda se dessin se former sous yeux, sans comprendre ce qu'il se passait. Au travers d'une lettre elle vit son œil qui avait pris cette couleur bleu électrique. Elle lut « Je suis la ». Freya courir alors dans le couloir, le corps encore trempé par l'eau de la douche, laissant derrière elle une traîne translucide. Elle descendit les marches à la vitesse d'un faucon pèlerin. Dans le salon, Côme ranger la vaisselle mais voyant son amie arriver en courant, s'arrêta. Freya, saisit son poigne le suppliant de venir.

- Mais... dit il. Que fais tu ?

- Viens voir ça !

Arrivé dans la salle de bain, Come se retrouva devant un miroir signé d'une magnifique écriture. Il eut du mal à comprendre le temps d'un instant.