𝙘𝙝𝙖𝙥𝙞𝙩𝙧𝙚 𝙙𝙞𝙭-𝙝𝙪𝙞𝙩

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𝟏𝟑 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟏𝟔

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𝟏𝟑 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟏𝟔

𝟐𝟐:𝟎𝟐

𝐀𝐔𝐓𝐎𝐔𝐑 𝐃'𝐔𝐍𝐄 𝐓𝐀𝐁𝐋𝐄 𝐃'𝐔𝐍 célèbre restaurant de Tokyo, la troupe d'amis dévorait le repas sous leurs nez, tous animés par diverses discussions endiablées. La salle chic avait une odeur de luxe qui, honnêtement, ne déplaisait absolument pas aux jeunes gens, ravis de profiter d'un tel repas.

S'ils s'étaient réunis autour de cette table ayant coûté bien trop cher pour leurs portefeuilles en faux cuir, c'était pout les vingt-six ans de la jolie brune, qui avait pris un immense plaisir à organiser ce repas, et qui avait sauté sur l'occasion pour que le petit groupe de réunisse après de longs mois.

À côté d'elle, Ken riait de bon coeur aux plaisanteries douteuses de Nahoya, ou appelé par ses amis Smiley, toutes suivies d'un commentaire négatif de Souya, appelé lui Angry. Pachin et Peyan se plaignaient de ne rien comprendre à ce que racontait Mitsuya lorsqu'il parlait de son atelier de couture, mais aussi de l'agence de mannequinat où travaillait Hakai. Takemichi répondait aux questions que lui posaient Chifuyu et Kazutora sur son mariage, toujours gêné. Oyakawa, elle, racontait des anecdotes sur des clients plutôt spéciaux qui visitaient le magasin où elle travaillait.

     Embauchée comme vendeuse dans une boutique de maroquinerie trois ans auparavant, elle était devenue amoureuse de ce milieu inconnu pour elle, et commençait sérieusement à se demander si elle était capable de se lancer dans de nouvelles études.

     Soutenue par ses amis, c'était surtout les encouragements de son petit-ami qui l'avaient convaincue qu'elle en était capable.

     Seulement quelques mois après s'être mis ensemble, la jeune femme avait laissé tomber son petit appartement qui commençait à tomber en ruines pour rejoindre le noiraud chez lui, et s'y installer confortablement. Et en quatre longues années, rien n'avait changé, ni leur situation, ni l'appartement.

𝐓𝐑𝐄𝐈𝐙𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant