𝙘𝙝𝙖𝙥𝙞𝙩𝙧𝙚 𝙝𝙪𝙞𝙩

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𝟏 𝐣𝐚𝐧𝐯𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟏𝟐

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𝟏 𝐣𝐚𝐧𝐯𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟏𝟐

𝟎𝟖:𝟓𝟒

𝐄𝐋𝐋𝐄 plissait les yeux, éblouie par la lumière vive qui frappait sa rétine, toujours appuyée sur cette rambarde aux côtés de Ken, qui suivait le chemin du soleil et profitait des premiers rayons de chaleur qui caressaient sa peau pâle. De longues minutes durant, elle gardait l'image des deux amoureux à quelques mètres d'eux, avec la certitude que son tour ne risquait pas d'arriver tout de suite.

Les plus frileux étaient déjà retournés à l'intérieur, après avoir aperçu le soleil, laissant les plus courageux seuls à braver le froid hivernal et matinal pour observer le ciel se colorer de plus belle.

Une petite moitié de la joyeuse bande d'amis continuait alors de papoter, vestes et manteaux que le dos, mains coincées dans les poches, avec de longs filets de buée qui s'échappaient de leurs bouches lorsqu'ils l'ouvraient.

Oyakawa, elle aussi grelottant et le bout des doigts glacé, s'avança vers la porte afin de rentrer et rejoindre les autres. Mais une pression sur son poignet l'en empêcha. Elle haussa un sourcil en direction du noiraud qui avait attrapé sa manche, curieuse, mais surtout pressée de retourner se mettre au chaud.


Attends, faut que je te parle, lâchait-il, incertain, ce que remarqua bien vite la jeune femme.

On peut pas en parler à l'intérieur ? On pourra se mettre à l'écart, suggéra Oyakawa, toujours le poignet enfermé dans la main du noiraud.


Celui-ci hocha la tête, lâchant la jeune femme pour la suivre.


𝟎𝟖:𝟓𝟖


Désormais dans la cuisine, là où le reste ses convives dans le salon ne pouvait les entendre, Oyakawa et Ken continuaient leur conversation débutée sur le toit, sans grande importance. Oyakawa, les cuisses collées sur un radiateur allumé et bien chaud, les mains placées juste derrière ses cuisses, s'était arrêtée de parler, attendant que son ami termine sa phrase pour lui demander ce qu'il avait à lui dire, quelques minutes plus tôt sur le toit.

𝐓𝐑𝐄𝐈𝐙𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant