Chap/14 ✓

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Ça fait trente minutes qu'Herman est parti et toujours aucune trace de lui. Je me suis rendue dans la salle de bain et à mon retour il y avait quatres hommes braqués dans la chambre.

Aucune trace d'Herman, paniquée, j'ai voulu prendre mon sac et m'en aller mais l'un d'eux m'a arrêtée en me barrant le chemin tandis que les trois autres avaient des sourires au coin des lèvres. Ce dernier me dit

Lui : Ma beauté où vas-tu comme ça ? Tu ne vas pas  nous laisser sans rien faire

Moi: ( En baigayant ) Je crois que vous vous êtes trompés de chambre Messieurs

Lui: Mais non ma petite Kayla, c'est bien la chambre 132 et nous venons de la part d'Herman te faire passer un moment de pur plaisir

Le deuxième : Tu es satisfaites maintenant madame je me prends pour le nombril du monde

Le troisième : Déshabille-toi, nous allons passer aux choses sérieuses

Le quatrième : Ne sois pas pressé Marc, nous avons toute la nuit pour ça, et si elle nous faisait une danse comme les prostituées car tu vois elle est bien pire que ça

Moi: S'il vous plaît, laissez-moi partir si c'est l'argent que vous voulez, je vais vous le donner sans problème.

Les quatres se sont mis à rire comme si j'avais dit des choses débiles

Marc : L'argent, nous en avons assez petite, déshabille-toi et mets-toi à danser je suis impatient de te faire du sale cette nuit. Après ça tu ne voudras plus jamais coucher avec un homme et à plus forte raison tromper un homme dans ta misérable vie.

Je me suis mise à pleurer, dans quoi je me suis fourrée mon Dieu, je me suis déshabillée et commençait à bouger comme ils me l'avaient demandé.

J'étais toute nue devant eux, le quatrième du nom de Jules qui paraissait calme se leva et me donna une fessée avec ses grosses mains.

Je suis me mise à pleurer à nouveau, les trois autres m'ont intimé de me taire sinon ils allaient me battre avant de faire ce qu'ils voulaient de moi.

Jules me demanda de me couché sur le lit, il fit sortir des menottes qu'il me passa au bras et écarta mes jambes violement, il se positionna entre celle- ci et fit sortir sa verge qui était très énorme, dès que je la vis.

J'ai essayé de me débattre, les autres ont éclaté de rire, il me demanda d'ouvrir la bouche mais j'ai refusé, Marc qui était assis sur le canapé se leva et me gifla puis l'ouvra de force, Jules enfonça sa verge dans ma bouche.

J'étouffais alors que celui-ci gémissait, ses amis se sont  déshabillés à tour de rôle avec des membres tout aussi impressionnant et se sont installés sur le lit.

Le deuxième du nom de Gaston et le troisième appelé Fred se sont mit à me caresser les cuisses et le vagin de manière violente, ce qui me faisait bouger dans tous les sens.

Jules retira sa verge de moi et se leva pour entrer dans la salle de bain quand Gaston lui dit

Gaston : Tu ne vas pas me dire que tu as fini avec elle pour aujourd'hui

Jules: Bien-sûr que non faite ce que vous voulez, j'ai un rendez vous je reviens dans deux heures et je vais prendre la relève.

Gaston : Marc nous allons le faire à deux où tu la prendras seul

Marc : D'accord tous les deux et ensuite individuellement qu'est-ce que vous en dites

Fred : J'adore cette idée.

Marc me porta et Gaston se coucha sur le lit, il me fit étendre sur ce dernier de sorte à ce que sa verge soit entre mes fesses et lui même se coucha sur moi.

Marc qui était au dessus de moi entra brutalement en moi de manière sec, ce m'arrachait des cris stridents, il le faisait rapidement tandis que Gaston se frottait à moi.

Marc en sortit et lui et Gaston se sont donné le mot d'ordre pour entrer en moi, j'avais tellement mal que je me suis évanouie.

Je ne sais plus ce qui s'est passé mais à mon réveil, j'étais toute nue sur le sol de la chambre d'hôtel avec du sperme sur moi partout.

J'ai voulu me lever mais c'était quasiment impossible, mes fesses et mon vagin me faisaient atrocement mal, je venais de me faire violer par quatres hommes.

Je suis restée couchée, j'ai levé les yeux et l'horloge de la chambre affichait huit heure six minutes.

Je ne faisais que pleurer toujours allongée dans la chambre lorsqu'une une dame entra avec des seaux faire le ménage, elle m'aida à me relever et m'aida à prendre mon bain et me donna ma robe de la veille.

Elle sortit et m'envoya des comprimés contre la douleur et un petit déj. C'est au environ de treize heures quand je n'avais plus trop mal que Herman débarqua et me dit

Herman : Je vois par ton visage que cette nuit a été mémorable pour toi Kayla

Moi: Tu n'es qu'un imbécile et salopard de la pire espèce, je te le ferais payer, tu peux en être sûr

Il se mit à rire à gorge déployée et me dit

Lui : Tu vois, moi contrairement à toi, je suis très intelligent car tout ce qui s'est passé ici cette nuit a été enregistrée. Après ton évanouissement si tu as vu les différentes positions dans lesquelles ce cher Jules t' a prise tu voudras te donner la mort et le pire c'est qu'ils sont tous séropositive du faite que des femmes de ton espèces les ont trahis. Le plus drôle c'est qu'ils vont en profiter durant longtemps avant de se lasser de toi et de passer la relève à leurs amis car ils sont de la mafia.

Moi: Quoi! Comment peux-tu faire ça à la femme de ton ami Herman, tu me dégoutes

Lui: Tu ne trouves pas que c'est à moi de te dire cela. Prend tes affaires et rentre chez toi car ce week-end tu as rendez-vous avec tes quatres amoureux et peut-être même plus.

Une Adolescence VoléeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant