My Pretty Girl. | Mattheo riddle

Chapitre 9eme

Ces yeux verts, autant verts que ceux de sa mère étaient devenus scintillants et un sourire habitait son visage.

— Maman.
Rose planta son regard dans celui de sa fille

Elle avait mis le blanc dans les conversations de tout le monde mais rien ne comptais plus que de prendre sa mère dans ces bras.
Rose avança vers Mathilde et la serra contre elle, elle en lâcha quelques larmes.
Mathilde ferma les yeux et ressentie un sentiment de soulagement. Ça douce odeur de vanille avait imbibé son nez.

— Ma petite fille devenue une magnifique adolescente, j'en crois à peine mes yeux...
Rose pris lés longs cheveux noir et bouclées de Mathilde dans ses mains avant de se faire interrompre.

— Es que je peux aussi dire bonjour à ma nièce ?

Alors que Rose se décala Mathilde vit Regulus, elle était d'elle même partie prendre son oncle dans ses bras avant que tout le monde s'asseyait pour les cadeaux.

Molly lui avait offert un pull d'un rouge bordeaux fait elle même, Remus lui avait offert un appareil photo jetable et Rose et Regulus lui avait offert un collier portant une fiole d'un bleu fluo avec une boîte de fiole pareille.

— Pour t'es cicatrice mon coeur, tu en étalera dessus et ça les arrangera un minimum.
Lui avait elle chuchoté Rose.

Mathilde était contente, elle attendait quelques chose comme ça depuis longtemps.
Alors que tout le monde parlait et manger Mathilde fit vite mise à l'écart. Alors elle partie dans sa chambre, une lettre était disposé sur son bureau et ça ne pouvait être autre que Mattheo.

Pour math'
Joyeux Noël à ma gryffondor préféré, je serai en face de chez toi demain matin, je te prépare une surprise.
Hâte de te voir.

M.R

Évidement Mathilde fut très heureuse de cette lettre, que demander de plus qu'un rendez-vous avec son ami... enfin son ami ce n'est qu'une facette, Mathilde était tombé amoureuse de Mattheo après tout ça qu'il avait fait pour elle, mais elle préférait ce voilé la face plutôt que de l'avouer.

Lorsque tout le monde fit coucher, Mathilde redescends, elle souhaitait parler avec ça mère et son oncle ce qui est normal.
Remus, Sirius était là également mais ce ne l'a dérangeait pas du tout.

— Mathilde te voilà, pourquoi tu n'es pas resté ? Questionna Regulus
Sirius se tourna vers sa fille
— Elle n'était pas au centre de l'attention alors elle c'est enfuis. N'es pas ?
— Sirius ! Fit Remus
— C'est bon remus. Je vais retourner dans ma chambre, moi qui voulais passer un moment en famille, comme je l'ai toujours voulu.
— Nous sommes en famille depuis ce matin ! Ne raconte pas n'importe quoi ! Cria Sirius
— Si la famille se résume a l'idée du phœnix et Harry, alors je n'en fais pas partie crois moi !
— De toute manière je ne t'ai jamais demandé d'en faire partie ! Cracha t-il ce qui fit retourner Mathilde prête a monter dans lés escalier
— Sirius ! Mais Ques qu'il te prend ! Cria Rose

Mathilde les larmes au yeux regarda son père.

—  De toute manière le seul homme ici qui peut me donner des ordres et me crier dessus c'est Remus ! Pas toi ! Ça ne sera jamais toi de toute manière ! Tu es un vrai connard avec moi quand Harry et la et ne me reproche pas mon langage ! Tu pense toujours à lui avant moi ! La preuve je n'ai eu aucun cadeau de ta part et la seul personne qui c'est inquiéter pour mes cicatrices c'est remus ! Alors fiche moi la paix sirius.
— Mathilde... fit remus et rose en même temps

Sirius était devenu spectateur et ne savait quoi répondre à sa fille, Mathilde partie s'enfermer à double tour dans sa chambre devenue froide après être partie sans avoir fermer la fenêtre.

Quelques instants plus tard un morceau de papier se glissa sous sa porte:

Viens parler avec moi. Reggie

Mathilde ouvra sa porte et se dirigea dans celle de Regulus, il était assis sur la chaise positionnée près de son bureau. Ça chambre était presque aussi froide que celle de Mathilde mais cela ne l'a dérangea pas pour autant.

— Approche Mathilde, je ne vais pas te reprocher d'avoir parler ainsi à Sirius. C'était mérité.
Elle ria
— Tiens. C'est la clé de ce tiroir là, le troisième. Tu n'auras le droit de l'ouvrir qu'après ma mort ! Pas avant si non c'est pas drôle.
— Et Ques que c'est ?
— Je ne vais pas te le dire, mais ce sera pour toi ne l'oublie pas. Promis?
— Promis.

Ils firent la promesse mythique du petit doigt avant que Mathilde retourne dans sa chambre pour s'endormir.

Le lendemain lorsqu'elle se réveilla sur les coups de 7h elle s'empressât de s'habiller, rien de très extravagant une simple tenue blanche tachée par un jean noir. Elle ouvrit ces rideaux et vit la neige tomber ce qui l'a rendait encore plus heureuse.
Elle fit un bref bonjour à tout le monde pour partir devant chez elle où Monsieur Riddle était déjà.

La neige tombait sur leurs bonnet et les sourires plaqués sur leurs visages en disant long.

— Dépêche toi ! Ta surprise t'attends.

Il pris la main de Mathilde en rigolant pour la faire transplaner dans une petite rue pleine de lumière de Noël pour arriver devant un grand magasin noir illuminer par quelques guirlandes jaunes.

— Avant de rentrée je te bande les yeux !
— Tu en fais tellement trop !
Il plaça ses mains sur lés yeux de Mathilde qui l'es tenaient fermement. Mattheo salua le vendeur apparement âgé avant de la faire avancer un peut plus loin, franchissant des portes et des couloirs étroits.

— Très bien nous y sommes, caché tes yeux et jeté dit quand les ouvrir !
— D'accord.

Il fit des pas rapide sur le parquet avant de soulever un draps ? De ce que Mathilde pouvait entendre.

— Ouvre tes yeux !!

Lorsqu'elle les ouvrit un magnifique piano à queue noir était au milieu d'une grande pièce s'illuminer de bougies et de guirlande scintillante.
Le piano d'un noir scintillant, n'attendait qu'une seule chose, c'était d'être utilisé.
Mattheo avait l'air si fière de sa surprise il ne c'était pas arrêter de sourire, ces bouclettes plaqué sur son front pars son bonnet rendait son visage plus rond et plus enfantin au quel Mathilde avait du mal à résister.
Elle se précipita vers Mattheo pour le remercier mille fois puis s'installa pour y jouer.

Le piano était parfaitement accordé et incroyablement beaux ! Ce qui changeait du vieux piano de chez les black.

— Je n'est rien a t'offrir Mattheo je suis vraiment désolé. Dit elle en se relevant
— Ne t'excuse pas tout ceux qui compte c'est que ça te fasse plaisir crois moi !
Il se rapprocha d'elle et enleva le reste de flocons dans ces cheveux noirs

Alors que la tension entre les deux adolescents devenait plus que palpable Mathilde sauta le pas et plaqua ces lèvres sur celle de Mattheo qui, par pure bonheurs pour Mathilde ne s'ecarta pas au contraire même, qui plaça ces mains sur ces hanches pour la rapprocher un peut plus de lui.