Chapitre 5

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Mes joues devenait froide à force d'être humide. Je pleurais comme jamais au paravant. J'avais si peur de mourir j'étais très accrocheuse à la vie. La voiture s'arrête mon cœur se remis à battre très fort. Cet homme était effrayant, il était d'une beauté magnifique, sexy, séduisant. Il pourrait avoir tout les femmes qui le désirent, pourquoi moi. Avait- il intentions de me faire du mal?
Le coffre s'ouvre, je voyais à peine son visage à cause de la noirceur, il était sûrement minuit. Il y avait un vent frais qui flottait dans l'air qui me fut frissonné de froid. Il me prend par la nuque pour me sortir du coffre c'était douloureux. Je grognais pour qu'il me lâche mais messieurs s'en fou.
J'étais devant une villa de luxe, pour nous accueillir il y avait un grand jardin où au milieu était situé une fontaine grec C'était magnifique. Il me pousse à l'intérieur, il y a une question que je me posait. Sa femme était- elle là, si ce pas une criminel comme lui elle pourrait peut-être m'aider. Enfin j'espère!

Il monte un long escalier qui menait au troisième étage de la maison. Il nous fait rentrer dans une pièce que je suppose est sa chambre, oui il allait me violer ce probable je ne sais pas j'étais pas certaine, mais selon les nombreux film de drame que je vu durant ma vie je pense que quand l'agresseur fait rentrer sa victime dans une chambre c'était pour la violer non.

Il ferma la porte à clé, et se retourne vers moi avec un sourire sadique. J'avais encore plus peur, je commençais à prier dans mon cœur moi qui ne prie presque jamais, ce nouveau. Je ne savais pas où me mettre, j'étais plus capable de me mettre sur mes deux jambes. J'étais devenu parano face à lui. Il y avait personne pour m'aider? Vu son visage on se courrait dans un film d'horreur. Attention je ne dis pas qu'il est laid mais la tournure de la situation.

- Tas peur? Si t'es sage je ne vais te faire aucun mal.
Sa voix grave me glace le sang.
Je ne pouvais pas bouger mes lèvres et sortir une lettre Alphabétique de ma bouche.
Je me contentait de le fixer.
Il s'assoit sur un fauteuil, il sorti une arme de sa veste pour le déposer sur la table de chevet. Pour m'effrayé et pour autant me prévenir de faire gaffe. Si je fais un truc qui ne lui plaisait pas il allait tirer sur moi. Les larmes revenait, pourquoi veut-il me faire du mal? J'ai lui ai rien fait.

-Couche toi sur le lit.
Je ne bougeais pas je n'avais pas l'intention de faire quoi se soit. C'était plus fort que moi. Mon instinct me dis déjà se qu'il allait arriver si je lui obéir.

Il se lève, et avance tranquillement vers moi arriver à ma hauteur, il me pousse sur le lit. J'étais aplati sur le matelas. Il se penche pour admirer ma poitrine. Il dépose un baiser sur mon ventre se que me fait trembler il montait tout en m'embrassant le corps de la manière la plus sensuelle. Je commençais à sueur, j'avais peur mais quelque chose d'autre se déclenche en moi telle d'une incendie. Arriver à mon visage il me regarde dans les yeux, ses yeux bleu gris était hypnotisant. Ses cheveux étaient en bataille, il regarde mes lèvres, je pensais qu'il allait m'embrasser mais non il se dirige plutôt vers mon cou, dés que ses lèvres possédait celui-ci des milliers de frissons parcourue tout le long de mon corps. Je fixais ses cheveux je me demandait s'il fallait que je passe ma main. Je sais je suis bizarre et ridicule mais la chose qui avait mis le feu en moi me contrôlait. Il passa de mon cou à ma mâchoire et puis enfin mes lèvres. Il les fixa comme s'il était gêné, Je me surpris moi même et je pressa mes lèvres sur les siennes là enfin je possède ses cheveux pour l'attirer vers moi. C'était complètement une énorme erreur mais je ne pouvais pas m'arrêter. Il se colla à moi encore plus, notre baiser dura un bon temps puis on se sépare il lève un peu pour enlever mon jean que j'avais encore garder. Après ça je me souviens plus de rien c'était le trou noir total. Ce tous que je me rappelais de cette nuit.

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Je me réveille sous une couverture douillet je me sentais dans mon lit, mais pas dans ma chambre je fixais les alentours c'était une chambre très beau et luxueuse. Je me rappelle de cette nuit, je me posait mille questions en même temps, je soulève ma couverture pour voir si j'étais toute nue par chance j'avais encore mes sous vêtements. Mais qu'est-ce qui à bien puis passer pour que je me rappelle de rien. c'était flippant, il n'était pas la, j'en profite pour me lever et m'habille, je suis aller dans sa dressing pour me prendre un chandail vu qu'il a déchiré le mien. Quand j'allais mettre celui-ci la porte s'ouvrit sur un corps d'apollon. Il avait une serviette autour de sa taille, son corps était bronzé son corps était juste parfait, avec ses tablettes. Je devenais rouge, oh non pas encore je me retourne pour qu'il me remarque pas. J'avais toujours pas oublier qu'il était un fou, qu'il pouvait me faire du mal, et que j'avais dix-sept de suite lui vingt quatre ça faisait un peu pédophile à mon avis. Mais il faut avouer qu'il est pas mal sexy seigneur.

- Salut poupée alors ta bien dormi? Sa voix était lent et grave cela ferait frissonner n'importe qu'elle fille. Surtout le prénom qu'il vient de me donner.

Je secoue la tête en guise de oui, gêné de parler.

- Est-ce que je pourrais rentrer chez moi? Et qu'est-ce qui se passer hier soir? J'avais énormément peur de sa réponse, cette nuit était tellement effrayant, toute personne normal aurait eu peur. Je voulais juste partir d'ici le plus vite possible à la vitesse de la lumière.

Il sourit son sourire était à tomber, il était tellement beau. J'avais peur de se sourire était-ce bon signe? Allait- il me laisser partir. J'espère de tout cœur qu'il vas pas recommencer ses avances. Puis je voudrais bien sa voir la fin d'hier soir, étais-ce une fin triste ou heureuse dans le bon sens.

- Oui tu peux rentrer mais si tu raconte à qui se soit ce qui ce passer je te règlerait ton compte. Je pourrais te tuer quand je voudrais. Ou faire du mal à ta pauvre familles. Et hier je découvert que tu étais vierge, les vierges ne m'attire pas. Mais toi t'avais l'air de t'en foutre tu me voulais tellement. Cependant je ne suis pas comme ça. Le jour où tu seras diverger on pourra terminer se qu'on a commencé.

Je mis mes mains dans mon visage. C'était humiliant je me dégoûte sérieux. Sur la table de chevet il y avait mes choses j'étais surprise de voir, je les ai pris je passe à côté de lui pour m'en aller. Il m'attrape par le bras puis me murmure dans l'oreille.

- Malgré ta virginité tu es pas mal. Jolie cul que t'a là un jour je pourrais la toucher comme ça me chante.

- Dit. tu n'es pas marier? Il se conduisait comme  quelqu'un qui ne portait pas d'anneau dans son annulaire.

- Pas de tes affaires maintenant tu peux partir. Si seulement sa femme connaissais ses activités pendant son absence. La pauvre je presque de la peine pour elle. Les hommes peut être des fois des humains sans cœur. Nous on ne peut rien faire, les femmes sont considérés comme des faibles dans la société.

Je sors de cette maison merdique, j'appelle un taxi je ne savais pas où j'étais. J'avais hâte de rentrer chez moi. cette nuit le fait que ce moi qui l'ai embrassé ne prouve rien du tout. J'avais pas toute ma tête ce tout. Il était cinglé, il était fêlé, je me demande si lundi j'aurais le courage de retourner au travail comme si de rien n'était. Il avait dit que les vierges ne l'intéressait pas je comprends parfaitement donc ce fini il ne s'intéresse plus à moi, cette idée ne plaisait pas dans tout ses sens. Il fallait que j'arrête de penser à lui. Le taxi s'arrête devant chez moi pile. Je lui paie et descend. Je rentre avec ma clé à peine mis les pieds ma mère cours dans mes bras pour me serrer ou me tuer d'étouffement.

-Maman tu m'étouffe...
Elle se retire puis dépose mille baiser sur mon front.

- Où était- tu passer tu m'as fait peur bon sang. Elle parlait très rapidement.

- Je suis désoler j'avais passer chez Angie et j'ai fini par dormir chez elle.
Mentais-je

- Ne me refait plus jamais ça si tu étais pas revenu j'aurais fait une crise cardiaque. Je crus qu'il te arriver quelque chose putain.

C'était la première fois que j'entendais ma mère jurer ainsi c'était drôle à entendre.

- Où sont les petits? Je me demande il est quelle heure?

- Ils sont encore au lit il est 9h du matin, quand je me suis réveiller se matin je suis aller voir si tu dormais bien mais je te pas vu et je commencer à paniquer comme une folle dans la maison. Je te le dis que tu serais morte de rire.
Dit elle en rigolant nerveusement pour montrer son inquiétude.

- Je suis vraiment désoler maman c'était pas mon intention j'espère que tu le sais, mon téléphone n'avais pas de charge.
Menteuse ton téléphone était charger à 67%.

- Je te pardonne maintenant va manger je suis sur que tu meurs de faim.

- D'accord maman! Je vais dans la cuisine ce vrai j'avais une faim énorme.

J'arrêtais pas de penser à Chris, si je n'étais pas vierge aurons nous coucher ensemble? J'ignore pourquoi mais se penser ne me déplaît pas. Mais se serait la plus grande bêtise de ma vie. Mais je ne peux ignorer le feu qu'il avait déclenché en moi.
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Penser vous que sa vas s'arrêter là entre eux penser vous qu'il vas continuer à la suivre. Et comment avez vous trouvez se chapitre?

Tu es à moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant