Tu es à moi

Chapitre 1

J'étais là dans ma chambre à me fixer dans un miroir, le sentiment de vide et de solitude était visible dans mes yeux. Malgré ma queue de cheval blonde, ma robe moulante et mes ballerine, je pouvais paraître comme quelqu'un d'heureux et motiver, malheureusement ce n'est pas le cas. Mon visage était sombre remplie de tristesse et de désespoir. Je me demandait si je devais sortir ou pas. J'étais bien obligé, j'étais l'espoir de ma famille. J'étais très jeune mais il le fallait je veux rendre ma mère heureuse. Je soupire puis prend ma sacoche bleu et sors pour retrouver ma mère dans le salon qui était d'une mine à briser le cur je comprends sa douleur épouvantable. Quand une drame fait son apparition dans une famille c'est une catastrophe, ma petite sur était dans ses bras et mon petit frère également. J'affiche immédiatement un faut sourire sur mon visage, si je ne veux pas tomber dans une mer de larme. Ce sentiment me serrait le cur. La douleur de perdre un être cher était si grande.

-Maman je suis prête! Tu me donne un peu de sous pour que je puisse prendre le bus s'il te plaît? Dis je normalement avec un peu de bégaiement dans la voix.

Je ne voulais pas la stresser encore plus donc je fais des efforts pour garder la tête haute pour ne pas tomber. Mais c'était pas une tâche facile d'élargir notre visage triste pour y laisser place pour un sourire.

Elle se tourne vers moi, je ne jamais vu une femme aussi triste et faible. Ses lèvres pulpeuses étaient tremblantes, ses yeux succombaient au larmes de près. Mes yeux me piquait l'envie de pleurer me prenais à chaque fois que je la regardais je ne voulais pas qu'elle souffre autant, c'était atroce, je voudrais remballer ses douleur le mettre sur mon dos.

- Ma chérie je suis tellement fière de toi, ton père le serais aussi... Je sais que ce beaucoup demandé mais... Je peux travailler à ta place je suis très bien... Puis je dois...

- Maman arrêtes...tu n'est pas en état de travailler, Tu es presque que dépressive! Je suis heureuse de pouvoir t'aider tu as tout fait pour moi pourquoi moi je ne ferais pas autant? Les petits il faut bien quelqu'un pour veiller sur eux et pour les envoyer à l'école.

Elle me dessine sur son visage le sourire le plus forcer que je ne jamais vu mais que je suis quand même très satisfait de voir, au moins elle essaie ça faisait chaud au cur.

- Tu es la fille que toutes les mères rêvent d'avoir! J'espère que tu auras ce travail je ne suis pas inquiet tu es la fille de ton père.

Elle se lève pour venir m'enlacer aussi fort qu'elle peut, je lui rend son câlin moi aussi, les petits sont venus eux aussi se serrer à nous. Mon cur était réchauffé d'une amour maternelle qui vient du fond du cur. Après deux longues minutes je me sépare d'eux je soupire d'enthousiasme. Je replace mes vêtements en place un geste que j'aimais faire depuis toute petite qui avait le don de faire rigoler ma mère. Elle me sors un petit ricanement.

-allez il faut que j'aille! Maman fait attention à toi, et les petits monstres soyez sages votre sur revient bientôt!

- Tiens ton argent pour l'autobus!

Me tends ma mère sa main tremblait, il faisait pas mal froid à l'appartement, normal il n y avait pas de chauffage.

Je leur fait un clin d'il, je mets ma veste en cuire et mes chaussure usées. Il faisait très froid dehors et les gens cris le printemps ouais ce ça. Je crois vraiment pas aux réchauffement climatique, j'aime bien être positive pour continué à croire que la chaleur est à nos porte pour bientôt. Je crois que ce réchauffement climatique est un mythe invité par les scientifiques pour avéré leur prédictions sur la terre et quand la fin du monde seras à nos portes. Je me rendit à l'arrêt de bus. J'étais très nerveuse mais j'avais très hâte de commencer à travailler. Être serveuse n'était pas une tâche facile au contraire à se qu'il peut laisser paraître logiquement.