Tu es à moi

Chapitre 4

"Psychopathe"
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Samedi enfin! J'étais resté dans mon lit même si j'étais réveiller pas question de me lever. Mais après il faut que j'aille bosser c'était très frustrant, j'étais là bien confortable enfuis dans mon lit douillet. J'étais si bien je ne voulait tellement pas y aller. On était samedi c'était la journée où les restaurants était rempli à bloc, ça veut dire plus de boulot pour moi. J'étais dans mes pensées à réfléchir a tout et de rien. Je pensais à messieurs imbécile, se surprenant comme à chaque fois je le don de lui trouver le bon surnom.

Après quelque minute des pas ce faisaient entendre dernière ma porte, on pourrait croire que la personne courrais. Je m'arrangeais pour donner l'impression que je dors à point fermé, je suis sur que ce ma mère elle vas sûrement me demander un truc où un corvée à aller faire. Tout les ados connais ce technique, faire semblant dormir pour que les parents nous laisse tranquille. La porte s'ouvrit et je ferme les yeux rapidement. Trente secondes plu tard, des petits pieds montèrent sur mon lit et commence à sauter. J'ouvre un œil pour voir qu'est-ce qui se trame sur mon pauvre mari adoré. Moi et mon lit avions une liaison discret ce mon mari que j'aime à la folie, ne le dites à personne! chute!

Je les fixa entrain de rigoler, leur sourire d'enfant était contagieux et leur rire aussi. J'avais le goût de me lâcher comme eux. Je me met debout sur mon lit et saute! C'était plutôt amusant. Je ressemblais à un enfant trop exciter sérieux vous devriez venir voir ça je me donne en spectacle. Les petits était affecté par la mort de papa, mais ce sont des enfants très jeune alors ils ne comprennent pas vraiment. Ils pensent que après quelques temps papa vas revenir d'entre les morts, vas ressusciter quoi. Ça me brisait le cœur, un jour je suis sur qu'il comprendront.

Toute essoufflée, on était couché sur le lit la tête collée ensemble, en sueur pis entrain de rigoler encore. Mon cœur battait fort je l'impression de faire le tour du gymnase en éducation physique. Mon lit était tout froisser, je me suis lever pour me préparer pour à aller au boulot. Alors que je choisis mes vêtements Jonas me posèrent une question.

- Weve où tu vas? Reste avec nous on veut jouer encore s'il te plaît.
Il était tellement mignon, je soupire et vas le prendre dans mes bras, je m'assois à côté de lui pour lui parler.

- Jonas moi aussi j'aimerais rester avec toi et jouer mais il faut que je travaille sinon tu n'auras rien a manger, tu vas devoir habiter dans la rue. Tu n'aimerais pas ça je te le dit.

il me fait ses grands yeux il ne voulait en aucun cas être dans la rue. Quand tu es enfants profite de ton enfance parce que grandir n'est pas une tache facile. Je suis une ado et regarde moi je fais un travail d'homme. Je fixe Jonas et le prend encore dans mes bras pour le serrer contre moi pis je vais sous la douche.
Quand je fini de me préparer je sors de l'appartement comme d'habitude je prend le bus pour m'y rendre.

Après de long heures de travail je vais en pause c'était bien mérité. Je suis aller dans la salle réservée aux employés seulement. Je vois la rousse de l'autre fois, je n'avais personne à qui m'entendre ici cependant je décide d'aller lui parler.

- Salut! Je m'appelle Weve.
C'est tous que tu as dire tu me déçois Weve franchement tu es nul en conversation! La ferme conscience.
Elle me souris pis me tend la main ses fossette était tellement beau.

- Moi ce Juliette, si je une bonne mémoire tu es nouvelle se ça.

- Oui!

- Tu as quel âge sérieux, à ton âge tu ne devrais pas faire se genre de travail surtout que tu es une fille, en plus d'une telle beauté aussi magnifique.

Elle était très sympa enfin de compte, je ne vais pas commencer à expliquer mes problèmes à tout le monde.

- J'ai 17 ans, c'était le seul job qui restait. Surtout que dans cette ville c'était très difficile de se trouver un travail, si on se faisait renvoyer il y a des chances que tu te trouvera jamais un autre boulot donc...