Une Capo De Gang Et Un Capo De Police Tome III

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Moi : Arya qu'est-ce qui se passe, qui a convoqué cette réunion ?

Arya : C'est Monsieur Azer Ben Ali qui a convoqué la reunion et il y a aussi le conseil qui a été reporter à aujourd'hui en raison de votre absence hier.

Moi : Qu'est-ce que ces vieux boucs veulent encore ?*en entrant dans la salle*

J'ai salué ces foutus membres du conseil!puis Zelika est entré suivie de son père et de son connard d'amant, elle me dévisageait, comme si son regard me faire un truc.

Moi : Je peux savoir pourquoi réunion ?

Hassan : Pour...

??? : Comment vous pouvez commencer la réunion sans le principal concerner.

C'était Essan avec sa grosse tête là, il c'est assis

Essan : C'est vous pouvez commencé maintenant que tout le monde est présent.

Hassan : J'ai convoqué cette réunion pour vous annoncer le retrait de la famille Azer Ben Ali de la compagnie...

Moi : Quoi ?

Zelika: Fait pas semblant de ne pas savoir, je suis sûr que tu es derrière tout ça.

Hassan : Comme je le disait mes enfants et moi avons décidé de vendre nos parts.

Moi : C'est une blague ?

Zelika : Arrête de faire semblant.

Moi : Vas y toi ferme là, à qui vous avez vendu vos parts ?

Hassan : À mon beau...

Essan : À moi.

Moi : Quoi, c'est quoi cette histoire ?

Essan : Comme tu sembles de pas comprendre, je vais t'expliquer. Les 3 Azer Ben Ali m'ont vendu leur part, c'est-à-dire en plus simple que je suis détenteur de 45 % de la compagnie.

Moi : Comment ça se fait que je n'ai pas été mis au courant.

Essan : Tu l'ai maintenant.

Hamit : Arrêtez de vous payer notre tête, vous êtes de mèche tous les deux.

Essan : Hassan j'aimerais que vos enfants et toi libériez les lieux, parce que ça ne serai pas bien vu que vous traîniez encore ici alors que vous n'y avez rien affaire.

Hassan : Le conseil...

Essan : Je sûr que le conseil n'a aucune objection, pas vrai Messieurs ?

Un membre : Tant que la compagnie continue ces activités et qu'elle se porte bien, alors non on a pas d'objection, après tout c'était leur choix de vendre, ils ydevaient devez avoir leur raison, mais yyyyyyc'est pas ça qui nous intéresse, donc Monsieur Bel-Asad bienvenue.

Essan : Merci, vous verrez à nous deux, Delila et moi on ferra fruitier cette compagnie comme elle ne l'a jamais été.