Une Capo De Gang Et Un Capo De Police Tome III

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PDV DE ESSAN

J'étais en train de faire du sport, quand je vois une voiture s'arrêter devant ma maison bien évidemment je savais que c'était Aykan, elle a commencé à taper sur la grille comme une folle, l'interphone me demandait si j'autorisais l'accès

Moi : Accès autorisé

Elle est entrée en furie dans la maison

Aykan : SALE TROU DU CUL OÙ ES-TU MONTRE-TOI, JE SAIS TRÈS BIEN QUE TU ES LÀ.

Moi : Bien sûr que je suis là, c'est ma maison, je te signale, d'ailleurs bienvenue dans mon humble demeure.

Aykan : NON MAIS POUR QUI TU TE PREND ?

Moi : Oh, mais oui que je suis tête en l'air, je ne t'ai même pas proposé de boisson, alors que désir tu, du thé, du jus d'ananas, ou souhaiterais-tu manger ?

Aykan : Arrête de te foutre de moi, quelle est cette histoire de convocation ?

Moi : Ah parce que maintenant tu ne sais plus ce que ça veut dire une convocation ? Bon ok, ce n'est pas grave je vais t'expliquer. Ce document stipule que je demande la garde exclusive de mes enfants, donc ce fait tu es convoqué pour une première audience le 16

Aykan : Tes enfants ? Imbécile c'est moi qui les ai porté et mis au monde.

Moi : Et sans moi tu ne les aurais pas porté, encore moins mis au monde donc oui mes enfants.

Aykan : Si tu crois que je vais rester les bras croisés alors c'est que tu es complètement stupide.

Moi : Le contraire m'aurais étonné d'ailleurs, mais je te préviens tout de suite, c'est perdue d'avance.

Aykan : Je suis leurs mères...

Moi : Ça aurais compté dans la balance si tu n'étais pas Aykan ou la clé, tu croyais que changer d'identité aurait changé qui tu es en réalité, tu vois bien que non n'est-ce pas parce que tu restes toujours arnaqueuse, une manipulatrice, une criminelle, une menteuse et bien plus encore.

Aykan : Tu ne me dénonceras pas...

Moi : *rire* Je vais me gêner, qui es-tu pour moi ? Rien du tout, donc je ferai tout pour éloigner mes enfants de toi, cela dit même si je dois avouer au monde entier que la femme d'affaire Delila Givens n'est en réalité que Aykan Salas et la clé, ça risque fort d'arriver, donc si j'étais toi je me dépêcherai de trouver quoi dire pour ma défense.

Aykan : Tu veux aller dans ce terrain, ok pas de problème sache juste une chose, je serai capable de tout pour ne pas être séparé de mes enfants et ça même si ça implique de te tuer.

Moi : Et moi je serai prête à tout pour récupérer mes enfants, donc je vois qu'une solution, rendez-vous au tribunal dans quelques jours.

Aykan : Comment j'ai pu coucher avec toi ?

Moi : Je te l'ai dit tu es une pute, il suffit qu'on te dise deux ou trois trucs pour que tu ouvres tes cuisses.

Aykan : *rire nerveux* Tu as raison, mais j'espère que tu en as bien profité parce que c'était la dernière fois que j'ouvrais les cuisses pour toi.