Chapitre 3

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PDV externe.

Une camionnette blanche zigzagait sur l'autoroute A15. Elle paraissait neuve, mais elle roulait au dessus des réglementations de vitesse.
Ce qui m'était en péril la vie des autres conducteurs.
Au volant se trouvait un homme d'une trentaine d'années à la corpulence imposante, suivit d'une barbe rasé de la veille.
Il possédait sur l'avant bras un tatouage considérable et voyant.
L'homme portait sur lui un marcel blanc, ou s'y échappait sa pilosité abondante et tenait dans ça main gauche, une cigarette.

Il était environ 6h 00 du matin.

Dans le coffre de la camionnette à la couleur blanchâtre, il n'y avait rien. Strictement rien. Il paraissait pourtant d'une grosseur conséquente..

Toute les fenêtres du véhicule était cacher d'un voile noir épais superposés d'une peinture noire.

Bizarre..

Le conducteur vira sur la droite vers une aire d'autoroute, et se gara le plus loins possible des autres véhicule vers la fin du parking rectangulaire.
Sortit, il se dirigea d'un pas lourd et d'une dégaine pesante vers l'entrée d'un supermarché sous les critiques et jugements de client.
Il sortit, avec, deux gros sacs de provisions.

La camionnette était toujours immobilisé sur ça place de parking et rien n'y sortait et n'y entrait.

Louche..

PDV Alysee Gavest.

Un horrible mal de crâne me tira du sommeil. J'avais du mal à ouvrir mes yeux.
Je me trouvais dans un endroit lugubre et confiné dans le noir totale.

Mes mains, bras, jambes et chevilles était accroché par des chaînes.

Oulaaa..

Je commençais à stressé et à avoir peur.

Du calme, Alysee ce n'est qu'un cauchemars.. me chuchotais- je.

Je cligna, et rouvra mes yeux de bonne dizaine de fois.
Mais... J'étais toujours la, dans cette endroit clôt et sombre.. attaché.

Merde..

Un sifflement parvenue à mes oreilles, suivit d'un grognement.
Quelqu'un..Quelqu'un ronfle?
Euh..

J'agitais mes chevilles le moins fort possible pour essayer de me détacher; cette effort fue en vain..

" - Tu peux toujours essayer ça ne changera rien. " dit un homme d'une voix somnolente.

Je ne répondis pas, que dire?

Il essaya de se mettre debout mais ça corpulence de grande taille, je présume le lui empêchait, il s'est alors positionne à quatre pattes.

" ta soif? dit il simplement.
- Nan. dis - je fermement.
- ok c'est con. "

J'avais portant la gorge sèche, et presque plus de salive pour hydrater ma bouche.
J'étais obliger de lui demander de l'eau.

Youpiie.

" enfaite j'veux boire. demandais - je.
- ouais.. j'le savais. "

Il pris je ne sais quoi, et fis tomber le liquide dans ma bouche.

Vlaaaaan, tout les objets présent se dirigèrent du côté droit de l'espace ou j'étais positionnée. Moi j'étais attacher, je risquais pas de tomber mais ça m'inquiétais tout de même.

* l'homme à ma gauche toqua à un " mur "

" - va moins vite, on risque de devenir de la bouillis si tu continue et les flics vont nous apercevoir! Cria -t -il.
- OUAIS OUAIS. entendais - je.

Ah, il y en avait un autre.

Des bruits raisonnèrent, ou plutôt une mélodie. C'était floue, je n'entendais pas très bien mais peut être que ça pouvais me sauver.

Un coups arrêta tout.

Qu'était le coup?
Et quesqui venait d'être arrêté?

" vos papier du véhicule monsieur. Entendis- je.
" ouaip. " répondit un homme.

Un seule envie me demanda c'était de crier, d'hurler que l'on vienne me sauver, c'était des policier ils en étaient capable.

Mais je n'eus le temps de prononcer un mots qu'une main dur s'empila sur mes lèvres.

Je gigotais et tournais la tête mais rien. Rien ne se passait il ne lâchait pas.

Puis un coup s'assainit sur la bas de mon crâne qui m'enmenna dans les bras de morphée sans que je ne puise réagir.
Je n'avais n'y force n'y possibilité de contré le coups.

PDV externe.

Le conducteur tendit au main du policier les papier réclamé.
Ceux ci acquièserent d'un signe de tête après avoir vérifier les papiers.

" pourraient- t- on voir les coffres du véhicules monsieur? Demanda froidement l'un des deux contrôleur.
- Je n'ai pas vraiment le temps monsi..
- ce n'étais pas une questions, ouvrez le coffre. "

Il sortit de la camionnette en faisant la moue et ouvrir contre son grès le coffre.
Les agents de police examina le coffre, sans rien trouver de suspect.

" huum d'accord. Merci monsieur au revoir. " dirent les deux flics envers le fumeur.

Il rentra dans son véhicule en sueur froide.

" c'est bon, ils n'ont rien vue " dit il.

Un soulagement se fis entendre.

" ta fais comment pour la gamine? Continue- t- il.
- j'l'ai assommé elle voulait criée.. dit il nerveusement.
- ta bien fais." Répond- il.

Le silence raigna dans la camionnette jusqu'au point d'arrivée, des gémissement, soufflement ou respiration coupaient le silence profond de temps en temps.

kidnapping spécial, histoire d'Alysee.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant