Chapitre 7, Rosalie Cullen.

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Nom de dieu

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Nom de dieu. Une autre Cullen venait lui parler? Après Edward et le père de famille, Rosalie? Malorie n'osait pas répondre à la jeune femme, alors que celle-ci l'observait intensément. Finalement, elle bégaya:

-J-je suis Malorie, je suis a-aussi ravie.

Son regard descenda vers le cahier de littérature que son bras droit protégeait. La vampire engage encore la discussion:

-Tu aime la littérature Malorie?

-oui..., répondit-t-elle.

-Moi aussi, j'aime bien. Tu serais libre à midi? Alice veut faire ta connaissance. Edward t'apprécie, annonça-t-elle.

-Ha oui? Je veux bien venir à midi, aquesta timidement Malorie.

Une pause silencieuse se créa, avant que la plus vieille des deux posa une question un peu trop délicate:

-Pourquoi voulais-tu cogner à la porte du spécialiste psychologique?

L'humaine ne dit rien. Elle pris un aire plus froid, mais pas si méchant et répondit:

-À ce midi Rosalie. Avec joie de rencontrer le reste de ta famille, elle fit un sourire crispé à celle-ci.

Puis elle prit la route vers la grande classe de littérature.

Le professeur la salua poliment, regardant étrangement les quelques cicatrices sur son visage. Rien de grave je l'assure, mais quelque peu voyante. Le médecin lui avait précédemment dit que celles-ci disparaîtront un jour.

Malorie s'assit sur un banc dans le fond de la classe, histoire de ne pas être dérangée si lui prenait l'envie de faire une petite sieste. Elle posait sans délicatesse ses choses sur la pauvre table, donc son livre préféré, "La haut des vents". Encore une triste histoire d'amour. Un homme sans espoir qui rencontre une femme sans destin. L'amour les emportés au point de les détruire et de finalement les tuer sans pitié. Elle adore ce roman, malgré son dénouement rempli de larmes.

Une personne de grande taille s'installa à ses côtés alors que son cerveau flottait dans le monde de la lecture. Malorie tourna la tête vers la droite, et y vit son éternelle connaissance, Edward.

Celui-ci débuta un discussion sympathique:

-J'en connais une qui viendra manger à la table des ténébreux Cullen.

-J'espère que tu sais que tu viens d'insulter ta propre famille, elle ricana, oui ta sœur, Rosalie, m'a gentiment invité, annonça-t-elle.

-Gentiment, rigola Edward, Rosalie te la vraiment demander gentiment?

-Oui un peu bizarre, mais gentille, répondit-t-elle.

-Surprenant, termina le vampire.

Le cours reprit de plus belle, l'enseignant montrait les façons et langage pour écrire un roman de tout genre dans nos années. Quand t'aurais deux amis, ils écoutaient le cours sans rien dire, mais rigolaient dès certains silences malaisants.

Midi et cinq sonna, alors que les nombreuses classes se vidaient rapidement. La jeune fille suivait le garçon devenu depuis peu son ami. Sa grande carrure cachait la petite taille de Malorie qui se trouvait derrière elle, timide des regards. Des gens chuchotaient sur leur passage, leur compagnie était-elle si inhabituelle et sans normalité? Son ami donnait des petits regards derrière lui, espérant que la pauvre Malorie n'était pas partie en courant du sens inverse. Tous deux arrivèrent dans l'énorme salle, puis se dirigèrent vers le comptoir de cuisine et prirent chacun un plateau de nourriture. Ils le remplissent et partirent à la quête d'une table libre.

Une Alice toute joyeuse leva le bras et le secoua de gauche à droite afin de montrer leur présence aux deux amis. Ceux-ci se dirigèrent vers la table, la ou toute la famille les attendait. Tout deux s'assirent et Malorie commença a manger, tandis que la famille restaient immobile. 

Ils ne mangent pas?, pensa-t-elle curieuse.

La petite vampirette qui ressemblais a une fée, pris parole dans ce silence accablant:

-Malorie non? Comme tu le sais, je suis Alice Cullen. Tu as déménagé ici il y a presque un mois non?

-Oui, ma famille et moi sommes nouveaux. Ma sœur Léa, est la fille qui discute avec, cette jalouse, de Jessica.

-Tu n'avais pas l'air très heureuse a ton arrivée à l'école, pourquoi a tu déménager?

Et tout comme avec Rosalie plus tôt, son visage se fit plus froid, Malorie répondit:

-Pour certaine raison, privé.

 Alice ne posa plus de question, un peu vexé de son ton employé. Ce fut là que Malorie eu le courage de poser la question tant réfléchis:

-Votre père, hum Carlisle pas vrais? Il...-

-Célibataire oui!, cria presque Alice dans un élan de joie extrême.

Les joues de Malorie prirent une teinte pourpre, encore une fois. Puis, malaisé, elle la corrigea:

-Je me demandais plus s' il était votre vrai père.

Tous les Cullens présents partirent dans un fou rire alors que la petite fée boudait.

Le midi et la journée furent surprenants. Entre les cours avec certains Cullen et l'invitation à un magasinage lancé par Alice. Malheureusement refuser, vue la fin de la dernière.

Mais Alice et le reste des Cullens se promirent de trouver une solution pour que leur père, Carlisle et leur nouvelle amie, Malorie, se rencontrent outre l'accident et les rendez-vous médicaux.

Ils prenaient plusieurs risques en tentant une telle approche, ils le savaient. Mais les vampires devaient faire le tout pour le tout. Seulement, si la jeune femme venait a apprendre leur vrai nature, dieu seul sait se que les Volturi ferait. Ou même que Malorie ferait...

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Le CullenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant